10 DE JULHO DE 1893 - NÎMES: UMA CORRIDA COM TOUROS MÉDIOS...


 

CHRONIQUE

La Course espagnole d'hier. — Malgré un temps incertain, près de 18,000 personnes avaient pris place hier dans nos arènes pour la troisième corrida de muerte de la saison.

Sur l'estrade officielle étaient assis MM. le maire, Charrier, Tissot et Angleviel, adjoints; nadal, procureur général; des conseillers municipaux, etc.

Nous remarquons aus premières MM. le Mailler, préfet du Gard, Caze, général commandant d'armes et de nombreux fonctionnaires.

A 3 heures et demie le cortège composé des alguazils, caballeros, quadrilles, picadors et tout le personnel de l'arène fait une entrée très applaudie.

Bientôt le toril s'ouvre.

Le premier taureau apparait. Il est réservé à (José) Bento (de Araújo). Un peu fuyard il reçoit néanmoins 3 javelines et une banderille. (Applaudissements).

Grâce au train de cabestros il est rapidement désemboulé. El Gallo et Bonarillo lui font quelques jolies passes de manteau. Il reçoit trois magnifiques paires de banderilles. El Gallo le passe à la muleta et fait un bon simulacre. Le public est bien impressioné, il applaudit chaleureusement.

Le deuxième taureau est pour Maria Gentis, qui dans un beau costume bleu et grenat, monte en amazone un superbe cheval noir. Le taureau ne se prête pas facilement à la pose des javelines; elle en pique cependant une très bonne. On lui fait une ovation.

Le troisième taureau fait une belle entrée. Il ne va bien aux picadors qu'après les deux premières piques. Au total il en reçoit six coups. Après quatre paires de banderilles, El Gallo le passe ensuite à la muleta et le mate par deux pinchazos, un mete y saca et un descabello. (Mélange d'applaudissements et de siflets.)

Entr'acte de 20 minutes.

Le quatrième taureau, blanc et noir, parait devoir fournir une bonne course, mais bientôt il devient un peu fuyard; il saute la barrière. Il reçoit néanmoins 9 bonnes piques et une paire et demie de banderilles. Bonarillo dans un moment d'inattention se laisse prendre par la veste; il est soulevé et renversé mais sans blessures. Cet avaro parait avoir démoralisé le matador qui donne trois mauvais pinchazos et une estocade de côté. Les sifflets dominent les applaudissements.

Le cinquième taureau fournit une bonne course. Il prend huit piques. Badila le renverse sous un coup de pique formidable. (Applaudissements enthousiastes). El Gallo se fait frénétiquement applaudir dans un cambio de rodillas. Ce taureau reçoit ensuite une paire et deux demi-paires de banderilles. Bien préparé pour la mort El Gallo lui donne un pinchazo et le mate par une estocade remarquable. (Applaudissements).

Le sixième taureau est un des meilleurs si non le meilleur de la course. Il fonce sur les picadors. Badila et Soria le piquent 8 fois. Bonarillo et Gallo lui placent chacun des banderilles. Ce taureau reçoit une seule estocade de Bonarillo, après de bonnes passes de muleta, qui l'envoie à patres, mais lentement. Le matador par un descabello veut diminuer son agonie, mais le public ignorant proteste et pour satisfaire ce dernier il s'écoule quelques minutes désagréables.

Bibliothèque nationale de France

Résumé: Taureaux de belles performances, beaux d'allures, mais la plupart un peu fuyards, surtout le quatrième; les deux derniers excellents.

El Gallo, courageux, bien à la cape et aux banderilles, matador correct mais manquant un peu d'élégance à la muleta.

Bonarillo, mêmes qualités que le précédent, vaillant et audacieux, a été hier bien inférieur à lui-même, car généralement il tue son taureau du premier coup.

Picadors: excellents, notamment Badilo.

Banderilleros: travailleurs, nous citerons plus volontiers El Nene.

Et maintenant donnons nous rendez-vous le dimanche 13 Août, pour la course de CARA-ANCHA et FUENTÈS, avec six taureaux de Patilla, et remercions les autorités de bien vouloir faciliter, dans son exploitation, M. Fayot qui certainement fera des Arènes nimoises une plaza pouvant rivaliser avec les meilleures d'Espagne au grand contentement des nombreux aficionados de Nimes et de la région.

In LE PETIT MIDI, Nimes - 11 de Julho de 1893

12 DE JULHO DE 1891 - PARIS: CORRIDA DE DOMINGO COM ARTISTAS DE FRANÇA, ESPANHA E PORTUGAL

 


Derrière les Portants

Demain, à la Gran Plaza, 8ème corrida.

Mlle Maria Gentis, M. (José) Bento de Araujo, V. Martin, le Mateito, les picadores et le quadrille landais.

Bibliothèque nationale de France

In L´ÉCHO DU BOULEVARD, Paris - 11 de Julho de 1891

8 DE MAIO DE 1898 - RIO DE JANEIRO: PRIMEIRA TOURADA DA TEMPORADA CARIOCA

 

SPORT

O Club Tauromachico Federal realisa amanhã a primeira funcção deste anno na praça das Laranjeiras.

Serão lidados seis touros portuguezes, sob a direcção dos conhecidos cavalleiros Alfredo Tinoco e José Bento (de Araújo)

Biblioteca nacional do Brasil

In A GAZETA DE NOTICIAS, Rio de Janeiro - 7 de Maio de 1898

31 DE OUTUBRO DE 1893 - NÎMES : RETRATO DA TEMPORADA DE 1893



Bibliothèque nationale de France

CHRONIQUE

La temporada de 1893. — Voici le résumé succinct de la saison tauromachique de 1893, que M. Fayot a dirigée avec tant de succès:

Le 30 avril, 1re course avec Pepe Hillo matador, (José) Bento (de Araújo), cavalier en plaza, les Pegadores nègres, 6 taureaux de Banuelos.

Le 7 mai, 2me course avec Pepe Hillo matador, 2 picadores, (José) Bento (de Araújo) cavalier en place, 6 taureaux de Maxime Hernan.

Le 11 mai, jour de l'Ascension, fête acrobatique par Austenk Wilton.

Le 14 mai, course française avec les quadrilles Monier de Marseille, Racine et Marthe Sabatier, taureaux de la manade Viret.

Le 21 mai, course libre, direction Barandon.

Le 28 mai, course de mise à mort, 2 taureaux, avec (José) Bento (de Araújo), Pepete et El Ecijano matadors, et 6 taureaux d'Aléas. Pepete blessé à Calavera de la Reina (NOTA: Talavera de la Reina) n'a pu venir et a été remplacé par Tortero.

Le 4 juin, Adrada et son quadrille, travaillant les taureaux de Banuelos et Hernandes 30 avril et 31 mai. 

Le 11 juin, sous-location des Arènes à Barandon qui donne une course libre.

Le 18 juin, Adrada et son quadrille, taureaux de Hernan et Banuelos. La course d'eut pas lieu, Adrada voulant faire chanter la direction; les chaises des Arènes furent brûlées.

Le 25 juin, Espartero et Quinito, (José) Bento de Araujo; 6 taureaux de Concha y Sierra. Espartero blessé à Barcelone le 18, ne put venir et se fir remplacer par Centeno, 3 taureaux mis à mort.

Le 2 juillet, course française, quadrilles Fabre et Laurent Guillot, taureaux de la manade Viret.

Le 9 juillet, Bonarillo et Fabrilo, Maria Gentis, caballera en plaza, (José) Bento de Araujo; 6 taureaux de Henrique Salamanca dont 4 furent mis à mort. Fabrilo blessé à Jinaroz se fit remplacer par El Gallo.

Le 16 juillet, course libre.

Le 23 juillet, cirque Casuani.

Le 30 juillet, cirque Casuani.

Le 6 août, course libre.

Le 13 août, Cara Ancha et Fuentes, Maria Gentis, caballera en plaza, (José) Bento de Araujo; 6 taureaux de Patilla dont 4 furent estoqués.


Bibliothèque nationale de France

Le 20 août, novillada, Manene et Gavira, adieux de (José) Bento (de Araújo) qui courut le taureau cornes nues; 4 taureaux courus et 2 toros mis à mort, 1 Banuelos, 1 Hernan.

Le 27 août, course mimique par Barrandon.

Le 3 septembre, course mimique.

Le 10 septembre, Espartero et Quinito, 6 toros de Concha y Sierra estoqués. Espartero blessé à Puerta de Santa Maria se fait remplacer par Centeno.

Le 17 septembre, course mimique par Barrandon.

Le 24 septembre, relâche.

Le 1er octobre, El Gallo, Fabrilo, Jarana et 8 toros de Flores, 6 seulement furent travaillés et estoqués.

Le 8 octobre, course par Lombros, quadrille fin de siècle.

Le 15 octobre, course novillada, Colon y Rojas, Maria Gentis, caballera en plaza.

Le 22 octobre, Espartero et Lagartijillo et 7 toros. 6 toros du duc de Veragua estoqués. Maria Gentis, caballera en plaza travaillant le 7me toro, un Flores.

In LE PETIT MIDI, Nimes - 31 de Outubro de 1893

22 DE SETEMBRO DE 1896 - MADRID: O CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO É REFERIDO VÁRIAS VEZES NO "GRAN DICCIONARIO TAURÓMACO" DE DOM JOSÉ SÁNCHEZ DE NEIRA


 

CRONICA TAURINA

El cuaderno 7.º del "Gran Diccionario Taurino" que dirige el inteligentísimo aficionado don José Sánchez de Neira, viene tan interesante ó más que los anteriores.

Entre los diferentes grabados que ostenta, figuran los de los célebres escritores don Serafin Estebanez Calderon y don Leandro Fernandez Moratin; de los diestros "Bocanegra", "Fuentes", el "Barbi", Valdemoro y Galea, del caballero portugués (José) Bento d'Araujo, y diferentes reproducciones de grabados antiguos alusivos á la fiesta taurina.

Hemeroteca Municipal de Sevilla

En el texto leeran los aficionados con gusto, datos curiosísimos y enseñanzas provechosas que pueden servirles de mucho.

In LA ANDALUCIA, Sevilha - 22 de Setembro de 1896

2 DE MAIO DE 1898 - RIO DE JANEIRO: CHEGADA DOS TOUREIROS E DOS TOUROS PARA A NOVA TEMPORADA


Biblioteca nacional do Brasil 

SPORT

TOUROS

Deve chegar no dia 2 o cavalleiro José Bento (de Araújo), com os toureiros que vêm trabalhar este anno na nova Praça das Larangeiras.

José Bento (de Araújo) traz 18 touros escolhidos nas manadas dos mais acreditados lavradores.

In A GAZETA DE NOTICIAS, Rio de Janeiro - 30 de Abril de 1898

31 DE JULHO DE 1898 - LISBOA: UMA BOA CORRIDA COM TOUREIROS ESPANHÓIS E PORTUGUESES

 



Estafeta taurina

Lisboa. — La corrida celebrada en esta plaza el 31 de Julio pudo calificarse de buena.

Bombita una vez más acreditó ser un buen torero, haciendo con el sexto una faena de muleta magistral. Con los palos, escuchó muchas palmas en el cuarto.

De los caballeros, José Bento (de Araújo) estuvo muy bien en el séptimo, citando y rematando como Dios manda; al terminar la lidia con banderillas, colocó dos buenos pares, como el arte ordena.

Manuel Casimiro, bien en sus dos, en los cuales se hizo aplaudir. Juan Marcellino, mal en uno y peor en el otro.

De los peones, Theodoro y Cadete, que parearon muy bien el sexto y octavo. Moyano y Pulguita, superiores en el noveno; Guillermo Thadeu, que alternó por primera vez en nuestra plaza, quedó regularmente; los demás, medianos.

Los toros, que eran de la ganadería de Emilio Infante, salieron bastantes desiguales; mas con la buena lidia que tuvieron, consiguió salvarse el crédito del ganadero.

Los mozos de forcado, regulares. La presidencia, á veces descuidada. — Carlos Abreu.

In SOL Y SOMBRA, Madrid - 11 de Agosto de 1898

14 DE JULHO DE 1893 - NÎMES: PROGRAMA DA FESTA NACIONAL INCLUI CORRIDA COM QUATRO TOUROS

 


CHRONIQUE

Bibliothèque nationale de France

Le 14 Juillet aura lieu aux Arènes un magnifique spectacle composé d'un lâcher de pigeons, d'exercices de gymnastique et d'une course de 4 taureaux espagnols avec le Pouly d'Aigues Mortes, deux picadors et (José) Bento de Araujo. À bientôt des détails.

In LE PETIT MIDI, Nimes - 7 de Julho de 1893

1 DE JULHO DE 1900 - LISBOA: UMA TOURADA PARA ESQUECER...

 

Biblioteca digital de Castilla y León

Estafeta taurina

Lisboa. — Campo Pequeño. — La corrida verificada el día 1.º del actual fué un verdadero desastre, empezando por el ganado, que era, con seguridad, lo más ordinario que posee en sus vacadas el Sr. Paulino da Cunha, y terminando por la gente de coleta, que no hizo nada que merezca mencionarse.

Pulguita y Chicuelo, con todos sus ayudantes, quedaron mal.

Verdad es que el ganado era pésimo; pero si ellos fueran más inteligentes en el arte, tal vez hubieran sacado algún partido de los bueyes.

Los caballeros José Bento (de Araújo) y Adelino Raposo colocaron algunos rejones buenos, oyendo algunas palmas. Manuel Casimiro y Eduardo Macedo, no consiguieron sangrar una sola vez.

Los banderilleros Theodoro, Cadete, Carlos Gonçalves y Saldanha, agarraron algunos buenos pares, siendo aplaudidos, sobresaliendo, tanto en palos como en la brega, el primero; Pescaderito quebró un par bueno, y nada màs; los chicos de Pulguita y Chicuelo, á la par de los maestros.

La presidencia, aceptable.

La entrada, media plaza.

La tarde, calurosa.

— Carlos Abreu

In SOL Y SOMBRA, Madrid - 19 de Julho de 1900

13 DE JUNHO DE 1901 - LISBOA: OPÇÕES DO CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO QUESTIONADAS POR UMA QUESTÃO DE JUSTIÇA


 

Biblioteca digital de Castilla y León

Estafeta taurina

Lisboa. — Corrida efectuada el 13 de Junio. — Es sabido que todo empresario, sea de toros ó de teatros, tiene que seguir planes, guardar preceptos y respetar privilegios. Pero si ese empresario es también artista, su conducta deberá ser más recta y respetuosa con las costumbres que la de cualquiera otro, para dar así el ejemplo.

Entiéndase dirigida esta observación al caballero José Bento d'Araujo, que en esta tarde celebraba su corrida de beneficio y por esa razón era empresario de hecho.

En la organización del cartel encajó el beneficiado nada menos que ocho banderilleros portugueses, no correspondiendo, por tal motivo, más que un toro á cada cual; y en la distribución de la corrida, atendiendo, no sabemos si á amistades con algunos de esos artistas, ó á circunstancias que ignoramos, lo cierto es que quien gozaba la primacía en alternativa, vió perjudicada su antiguedad, toreando en último lugar, después de diestros mucho más modernos.

A nuestro juicio, el precedente sentado por José Bento (de Araújo) no ha sido acertado, y menos tratándose de un artista como él lo es.

Cadete, como José Martins y Saldanha, de ninguna manera debieron torear en el turno que lo hicieron, y creo que harán mal si se conforman.

Torres Blanco hizo muy bien reclamando su antiguedad, y vió atendida, en justicia, su reclamación.

Crea, José Bento (de Araújo) que sentimos haber de tratar este asunto, partiendo la iniciativa — como ya hemos dicho — de un artista; tanto más, siendo quien, no hace mucho tiempo, en una reunión, á la que asistieron todos los banderilleros y caballeros contratados por la empresa de esta plaza, para fijar las fechas de los respectivos beneficios, hizo prevalecer su antiguedad para ser el primero en realizar la fiesta anual, como en efecto se ha realizado y es justo.

Por eso estimamos que José Bento (de Araújo), después de sus palabras en la citada reunión, de ninguna manera debió perjudicar la antiguedad de otros artistas, celoso como él se ha mostrado de la propia, considerando que cada cual tiene perfecto derecho á que sus preeminencias sean respetadas.

Y vamos á la corrida:

José Bento (de Araújo) que, indudablemente es uno de nuestros toreros más populares y estimados, nos presentó una corrida muy regular, que satisfizo á la afición.

La plaza estaba llena.

D. Tancredo, en el que las empresas han encontrado una mina, que era la figura más discutida del cartel, hizo su experimento con felicidad.

"Chicuelo", el valiente y aplaudido novillero, también figuraba en el cartel; pero antes de comenzar el espectáculo se fijaron notas anunciando que había perdido el tren. El beneficiado, viendo que el público se conformó con la falta del novel matador, resolvió destinar el importe del ajuste á actos benéficos, y esta idea fué muy aplaudida.

LOS TOROS. — Pertenecieron al acreditado ganadero Esteban d'Oliveira, que nos envió diez toros muy bonitos y bien armados, pero algo desiguales en tamaño. Sin embargo, estaban bien criados y en su mayoría hicieron buena pelea. El más bravo fué el segundo y los más bastos, cuarto y octavo.

LOS CABALLEROS. — José Bento (de Araújo) toreó bien los toros quinto y noveno, oyendo palmas, principalmente en su primero, al cual clavó algunos rejones buenos.

Manuel Casimiro estuvo regular en el primero. En el sexto bien, colocando rejones de mérito y dos de las cortas, superiores. En este toro su trabajo — el mejor de la tarde en la gente montada — fué premiado con justos aplausos.

Eduardo de Macedo nada hizo que pueda ser clasificado en el arte de torear á caballo. En nuestra humilde opinión, haría bien no volviendo á entrar en Campo Pequeño, sin estar seguro de que sabe lo que es necesario para que un artista se presente en plazas de primer orden.

LOS BANDERILLEROS. — Teodoro tuvo una buena tarde. Agarró dos pares muy buenos en sel segundo y uno, de igual marca, en el séptimo. Bregando estuvo, como siempre, incansable toda la tarde.

Cadete, un par de mérito en el cuarto y dos en el séptimo. Bregando muy bien en el primer toro.

José Martins y Torres Branco, que se entendieron con el octavo, nada notable hicieron.

Manuel de los Santos agarró tres pares en el segundo, siendo bueno el primero. El el décimo ejecutó regularmente el quiebro en rodillas.

Tomás da Rocha un par superiorísimo, cuarteando á ley, en el toro cuarto, y una buena salida en falso.

Saldanha un par muy bueno en el décimo.

Xavier, que saltó bien la garrocha en el quinto y décimo, puso al último un par aceptable.

Toreando de capa, á falta del maestro, vimos á Teodoro y José Martins, que se portaron regularmente.

Con la muleta salieron Cadete y Manuel de los Santos á ensayarse en los toros séptimo y décimo, respectivamente.

Aunque no podamos aplaudir á uno ni á otro, diremos que Cadete se colocó con más elegancia y serenidad frente á la res, "dejándola llegar" con más sangre fría que Manuel de los Santos.

Deben aprender más por fuera, pero mucho más, para luego torear en la primera plaza del país.

Ayudando, Torres Branco fué el único que hizo algo de particular, metiendo bien el capote en algunas ocasiones; pues otros no hicieron más que tirarlos á los toros antes de que éstos acometieran.

LOS FORCADOS. — "Pegaron" regularmente, de espaldas, al segundo, y de frente al cuarto y al octavo.

La dirección, á cargo de Manuel Botas, acertada.

Asistió á la corrida S. M. el rey D. Carlos. — CARLOS ABREU.

In SOL Y SOMBRA, Madrid - 4 de Julho de 1901

17 DE JULHO DE 1895 - LISBOA: CASA CHEIA PARA UMA CORRIDA COM BONS TOUROS PORTUGUESES

 
Bibloteca digital de Castilla y León

Crónica taurina

Lisboa 17 de Julio.

Lidiáronse en esta corrida seis toros portugueses de D. Emilio Infante (primero, segundo, quinto, séptimo, octavo y undécimo), y seis españoles, de don Valentín Flores, que ocuparon los puestos restantes. Dejaron más satisfechos á los aficionados los de Infante que los de Flores. De los de Infante fueron buenos primero, segundo, octavo y undécimo, y dejaron que desear por sus condiciones los otros dos. De los de Flores, hicieron buena pelea el noveno, que se creció al castigo en el primer tercio, y el duodécimo, que mostró bravura y buenas condiciones de lidia.

Tinoco, que rejoneó los toros primero y séptimo, en el primero clavó seis buenos rejones, y en el otro su trabajo no pasó de regular por las condiciones de la res.

(José) Bento (de Araújo) demostró su inteligencia para la suerte de rejonear en los toros quinto y undécimo, entrando en la cara de sus enemigos en la forma que requerían.

Rafael Guerra estuvo superiorísimo banderilleando á los toros octavo y noveno, infatigable en la brega, muy bueno en los quites, y toreando de muleta y señalando la muerte, á la altura de su reputación, siendo objeto de incesantes aplausos.

Los toros tercero y noveno fueron picados por Pegote y Zurito, que se hicieron aplaudir con justicia, poniendo excelentes varas.

Banderilleando quedaron bien Mojino, Almendro y Minuto.

En la brega, Antonio Guerra y Almendro.

La presidencia, acertada.

La entrada, casi un lleno.

In EL TOREO,Madrid - 26 de Julho de 1895

17 DE JUNHO DE 1900 - ALGÉS: UMA CORRIDA COM BONS TOUROS


Biblioteca Digital de Castilla y León

Estafeta taurina

Lisboa. — Plaza de Algés. — El domingo, 17 de Junio, se efectuó el beneficio del caballero Fernando d'Oliveira.

Se lidiarón nueve toros de D. Faustino da Gama y uno de la ganadería que fué de Mazzantini. Todos resultaron buenos.

El beneficiado y los caballeros José Bento (de Araújo), Ricardo Pereira, Joaquín Alves e Simoes Serra, pusieron buenos rejones y banderillas, siendo muy aplaudidos.

Emilio Torres, Bombita, quedó bien en quites y saltando la garrocha, pero en lo demás no pasó de regular.

Los banderilleros, tanto portugueses como españoles, cumplieron como buenos.

En suma, una corrida que satisfizo á los aficionados y una buena tarde para el simpático artista Fernando d'Oliveira. — Carlos Abreu.

In SOL Y SOMBRA, Madrid - 5 de Julho de 1900

14 DE JULHO DE 1893 - NIMES: CAVALEIRO PORTUGUÊS PARTICIPA DUPLAMENTE NA FESTA NACIONAL


 
Bibliothèque nationale de France

Fête nationale. — Programme. —

Vendredi 14 juillet, à 8 h. 1/2 du matin: Salve de 21 coups de canon. Grande Revue des troupes de la garnison et du bataillon des sapeurs-pompiers sur l'avenue Feuchères et l'Esplanade. Défilé sur l'avenue Feuchères, en face de la Préfecture.

A 10 heures, à la Mairie (salle des mariages): Remise officielle du prix Boucher de Crèvecœur de Perthes (11e année). Sérénade par la musique municipale.

A midi: Salve de 21 coups de canon.


A 3 h. 1/2: Grand Spectacle gratuit aux Arènes. 1er Grand Lâcher de pigeons par la Société colombophile militaire les Aériens du Gard et la Société colombophile indépendante l'Espérance du Gard; 2º Exercice de gymnastique par la Société la Nemausa, sous la direction de M. Guin; 3º Farandole par la Société les Enfants de la Tourmagne, sous la direction de M. Blanc et par la Société les Enfants de l'Ormeau; 4º Course de 4 taureaux espagnols emboulés, avec le bienveillant concours de José Bento de Araujo, caballero en plaza. Les taureaux seront combattus par Manuel Sanchez (a) El Rubio, picador, et un quadrille nimois composé de Le Pouly, d'Aiguesmortes, chef; Paul Grégoire, sauteur à la perche; Gauthier Saumur, sauts périlleux; Ferdinand Auzéby, attaqueur, razetier; Eugène Clarion, sauteur sans perche. — Ordre du spectacle: 1. Lâcher de pigeons; 2. Défilé des Sociétés, du Caballero dans le carrosse de gala, du Picador, du Quadrille des alguazils, etc.; 3. Course de deux taureaux travaillés par le quadrille; 4. Exercices de gymnastique par la Nemausa: Chaîne de gymnastique, mouvements d'ensemble à mains libre; exercices de boxe, barres parallèles et pyramides; 5. Farandole des Treilles par les Enfants de la Tourmagne; 6. Farandole provençale par les Enfants de l'Ormeau; 7. Course d'un taureau par le caballero en plaza et le quadrille; 8. Course d'un taureau travaillé par le picador et le quadrille. Des places seront réservées aux conditions suivantes: Premiéres, 2 fr.; Secondes, 1 fr. Le produit de ces places est destiné aux pauvres. Les portes des Arènes seront ouvertes à 1 h. 1/2. Les places payantes comme les places d'invité sont numérotées. Nul ne pourra occuper une chaise dont le numéro ne correspondrait pas à celui de sa carte.

A 8 heures du soir: Salve de 21 coups de canon.

In LE PETIT MIDI, Nimes - 14 de Julho de 1893

6 DE JUNHO DE 1900 - LISBOA: UMA TOURADA NA PRAÇA DO CAMPO PEQUENO SÓ COM ARTISTAS PORTUGUESES E TOUROS MAUS

 

Biblioteca Digital de Castilla y León

Estafeta taurina

— Por satisfacer los deseos de varios aficionados, y en particular los de un revistero de un importante periódico de la capital, la empresa de Campo Pequeño organizó la sexta corrida de la temporada el domingo 6 del actual, sólo con artistas portugueses. Y la empresa debió quedar satisfechísima, tanto por la concurrencia como por los muchos esfuerzos que los artistas hicieron por cumplir su cometido.

Sonaron las cinco y se nos presentó la gente de sangre torera, compuesta en esta forma:

Caballeros: José Bento (de Araújo), Manuel Casimiro, Adelino Raposo y Eduardo Macedo, que debía tomar la alternativa.

Banderilleros: Juan Calabaça, Rafael, Silvestre Calabaça, José Martins, Cadete, Torres Branco, Manuel dos Santos, Thadeu y Tomás da Rocha.

Según veo, nuestros lectores estarán impacientes por saber lo sucedido en la corrida, ¿no es así? Pues allá va.

El ganado pertenecía á la vacada de D. Francisco da Silva Victorino, que por primera vez veía su nombre en los carteles de esta plaza, y por tal motivo creemos que hízolo de propósito escoger lo más malito que tiene en su cerca; y así no lo hizo y aquéllo es lo mejor que posee, más le valiera remitir toda su ganadería al matadero, ó dedicarlos al arrastre de carretas.

Crea D. Francisco  Victorino que para ver bueyes de labranza, no es preciso pagar dinero ni molestarnos en reseñar tal corrida donde sólo, de doce TOROS (¿?) que nos mandó, vimos uno con cara de tal, y fué (y dispénseme que esto lo diga), debía refinar su gabado, y dejar pasar media docena de años sin correr ningún cornúpeto con su hierro.

Dicho sea con verdad, lo ocurrido en esta tarde fué una pantomina, y un escándalo de los mayores que hasta hoy hemos presenciado; por lo tanto, la empresa debe fijarse bien en esto, porque á ella en lo sucesivo es á la que más debe interesarle.

Los artistas son dignos de elogio, por la mucha voluntad que todos mostraron por sacar algún partido de los de D. Victorino.

Y con esto creo decir, lectores míos, lo suficiente, porque corridas, ú lo que sean como ésta, no merecen la pena de estrechar las columnas de SOL Y SOMBRA para dar cabida á noticias de tal fantochada, y tener que incomodar á los cajistas con esta pelma. — Carlos Abreu.

In SOL Y SOMBRA, Madrid - 21 de Junho de 1900

3 DE JUNHO DE 1900 - ALGÉS: BOA CORRIDA NA PRAÇA DOS ARREDORES DE LISBOA

 



Estafeta taurina

— Plaza de Algés. — La corrida efectuada el 3 del actual, fué buena.

Lidiáronse nueve toros de la ganadería de Emilio Infante, que cumplieron, inutilizándose uno en la plaza.

Los caballeros José Bento (de Araújo), Simoes Serra, Joaquín Alves y Fernando Pereira, estuvieron bien, sobresaliendo los dos primeros.

Revertito tuvo una buena tarde con la flámula y con las banderillas, escuchando muchas palmas.

Los banderilleros Rafael, José Martins y Francisco Cruz, regulares.


In SOL Y SOMBRA, Madrid - 21 de Junho de 1900

11 DE SETEMBRO DE 1892 - PARIS: MAIS UMA TOURADA NA GRAN PLAZA COM ARTISTAS FRANCESES, ESPANHÓIS E O CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO

 


ÉCHOS

Les Arènes de la rue Pergolèse attirent le public grâce à leur programme varié et attrayant.

Courses espagnoles, Remigio Frutos (Ojitos) et sa cuadrilla; José Martinez (Pito), Raphaël Llorens, Braulio, Angel Adrade, banderillos, et les picadores Baulero, Manuel Sanchez et Niquet.

Courses provençales: Marius Monnier et son quadrille, écarteurs, sauteurs; José Bento d'Araujo, caballero en plaza.

THÉO-BAL.

Bibliothèque nationale de Paris

In LA JEUNE GARDE, Paris - 11 de Setembro de 1892

18 DE ABRIL DE 1898 - LISBOA: CAVALOS E MATERIAL DE JOSÉ BENTO DE ARAÚJO A CAMINHO DO BRASIL


 

Biblioteca nacional do Brasil

CARTAS DE LISBOA

18 de abril de 1898

— José Bento de Araujo já despachou e fez embarcar para o Rio de Janeiro, a bordo do Petropolis, os seus cavallos de combate e material para as corridas de touros.

In A GAZETA DE NOTICIAS, Rio de Janeiro - 12 de Maio de 1898

NOTA:

O cavaleiro José Bento de Araújo chegará ao Brasil no dia 2 de Maio de 1898.