13 DE JUNHO DE 1897 - RIO DE JANEIRO: UM HOMEM DE LETRAS NARRA A TOURADA NA PRIMEIRA PÁGINA


 

Biblioteca nacional do Brasil

PALESTRA

Fui hontem matar saudades da praça de touros.

Viagens e doenças me impediram este anno de corresponder mais cedo ao amavel convite especial que me enviou Alfredo Tinoco.


Estava um bonito dia para uma tourada. O sol, cuja presença é ali indispensavel, tão indispensavelcomo a do intelligente, illuminava alegremente a praça, cheia de uma multidão variada e turbulenta, quasi tão turbulenta como a garotada infrene do Theatro Lyrico. Mas a vozeria, as assuadas, os assovios, em uma palavra, o barulho, tambem é condimento imprescindivel n'uma tourada.

Assim, com parte do seu madeiramento ignobil encoberto pelos espectadores, aquella desgraciosa caranguejola, feita sem arte, sem gosto, sem preoccupação de architectura, com os seus inverosimeis camarotes pintados de verde e amarelo, chega a parecer uma praça de touros, illudindo a gente com um falso aspecto de elegancia e conforto.

O que nos vale é que nenhuma praça de touros, desde a Real de Madrid até a da ultima aldeia hespanhola ou arlesiana, tem um plafond mais lindo do que a nossa! Que bello céo azul, limpido, sereno, luminoso e sem nuvens.

Alfredo Tinoco e José Bento de Araujo são os dois artitas mais completos que têm pisado em terras de Santa-Cruz.


Hontem era o reapparecimento de José Bento (de Araújo); Tinoco, esse não trabalhou. Eu tinha lido mal o programma: caiu-me a alma aos pés quando o vi por trás da trincheira sem o seu bello vestuario a marialva, sem o cabello empoado, mettido n'um terno de casimira e coberto com um chapéo, de palha como qualquer mortal. Considerei-me roubado. Uma tourada sem elle é — para mim — um vatapá sem pimenta.

José Bento (de Araújo), sempre galhardo, arrojado sempre, de um enthusiasmo rude, mas sincero e communicativo, estava em um dos seus melhores dias; inflizmente os touros poucas sortes lhe proporcionaram. O publico desgosta-se e impacienta-se quando vê um boi refractario; eu não: basta para minha completa satisfação ver um artista, como José Bento (de Araújo), corcovear sobre o seu bello cavallinho em volta do touro, provocando-o com a bandarilha, insistindo, gritando, em risco de ser inopinadamente atacado pela féra! Metter o ferro é para mim questão secundaria desde que o artista patentei exuberantemente o seu arrojo.

As honras da tourada couberam a um estreiante, o espada Manoel Nieto, El gordito, que enthusiasmou os espectadores a ponto de ganhar, á falta de flores, tantos charutos que póde, se quizer, abrir uma charutaria. Tinha agora a sua graça que El gordito não fumasse!

Elle afigura-se realmente um magnifico artista, notavel pelo sangue-frio e pela destreza. Falta-lhe, porém, a condição que julgo indispensavel n'um toureiro: a plastica. É baixinho e gordo como indica a alcunha que lhe puzeram. Admitto que um homem gordo se entregue a todos os misteres, inclusive este de escrever Palestras, mas não admitto que passe um boi á capa sem se sujeitar antes disso ao regimen do Anti-corpulent wine.

El Chispa, que é um excellente capinha, é magro; mas ora ahi está! — de que lhe serve ser magro se tem uma cara de desmamar crianças?

Nos jogos athleticos a belleza das fórmas é um attributo que não se dispensa. Por isso tanto me agrada Alfredo Tinoco, e eu estou ancioso por tornar a vel-o montado, vestido a marialva, empoado, levantando o chapéo de tres bicos n'um gesto digno de um fidalgo da côrte de D. João V.

A.A.

In O PAIZ, Rio de Janeiro - 14 de Junho de 1897

24 DE JULHO DE 1892 - PARIS: TOURADA COM SUPRESA...

 

Bibliothèque nationale de France

FOYERS ET COULISSES

Aujourd'hui dimanche à trois heures et demie, 9ème grande course de taureaux aux arènes de la rue Pergolèse.


Au programme, Mlle Maria Gentis, caballera en plaza, José Bento de Araujo, caballero en plaza, le Mateïto et sa cuadrilla, Marius Monnier et son quadrille provençal, les picadores. Il paraît que la direction réserve en outre au public une agréable surprise.

Pédrille.

In LE PETIT JOURNAL, Paris - 24 de Julho de 1892

17 DE JUNHO DE 1893 - MONTPELLIER: UMA CORRIDA CHAMADA DESASTRE

 

Bibliothèque nationale de France

EN FRANCE

Montpellier.— M. Fayot, directeur des Arènes de Nîmes, avait loué l'Hippodrome pour y donner deux courses portugaises à la lumière électrique avec taureaux espagnols devant être combattus par Angel Adrada et sa cuadrilla.

Au programme figurait aussi le nom de José Bento de Arajo, caballero en Plaza. Ajoutons que le prix des places avait été fortement augmenté. (Loges 60 f. Réservées 6 fr. Premières 4 fr. Galeries 2 f.)

Aussi n'y avait-il samedi qu'une demi-salle.

Enfin, après une demi-heure d'attente, la cuadrilla fait son entrée, mais dans quel ordre!. Les Alguazils mêlés avec le caballero et les Vaqueros... Passons; voici qu'on sonne au 1. taureau lequel sort mollement, et se place à côté de la barrière, bien décidé à ne pas bouger. Effectivement, Adrada et Domingin lui présentent la cape, il reste immobile. Aux banderilles il ne remue pas davantage malgré la paire et la 1/2 que lui gratifient à Volapiè Domingin et Adrada. Le public commence à siffler et réclame l'argent... Le 1er taureau est chassé, le 2ème taureau n'est pas moins lâche. On le remplace par un 3ème taureau que doit travailler (José) Bento (de Araújo). Une accalmie se produit et des applaudissements saluent l'entrée du Caballero. Mais le taureau à la vue du cheval commence à fuir comme un lièvre. (José) Bento (de Araújo) lui place cependant une bonne javeline. Le taureau fuyant de plus belle, (José) Bento (de Araújo) l'abandonne.— Un 4ème taureau, non, un 4ème boeuf, à peine entré, fait mine de regagner le toril. En vain les toreros, les vaqueros, tout le personnel mobilisé, l'invitent à la valse; il demeure sceptique. C'est un animal philosophe. Le public perd patience; à ce moment commence da démolition de l'Hippodrome. Tout ce qui peut être arraché est lancé dans la piste. Les Vaqueros qui cherchent à pousser le boeuf au corral reçoivent sur la tête des gros morceaux de bois; l'un d'eux est blessé; les loges, successivement démolies, sont jetées dans l'arène.

Les drapeaux ornant celle de la Municipalité sont foulés aux pieds, les 28 lampes à arc sont brisées. Les lampes-bougies fixées aux poutres sont abattues; enfin il ne reste de l'Hippodrome que sa carcasse eu peut-être encore... car le bruit se répand qu'on va y mettre le feu. Le commandant de gendarmerie arrive heureusement avec ses hommes et l'Hippodrome est evacué.

Pendant la bagarre quelques querelles ont éclaté parmi les spectateurs, un conseiller municipal a échangé des coups de poing avec un membre bien connu de la société; ils es question d'un duel.

À l'issue de cette soirée désastreuse, j'ai vu MM. Teysson et Defours qui m'ont affirmé n'avoir eu aucune part dans l'organisation de cette course, ayant loué l'Hippodrome à M. Fayot. Ils vont réparer les dégats dans le plus bref délai et s'occuper activement des véritables courses espagnoles, avec toros de muerte, spectacle inédit à Montpellier et que la population attent dardemment.

Nous enregistrons leur promesse avec un vif plaisir et nous les félicitons de tout coeur.

Samedi 17 et Dimanche 18, grandes ferrades.

J.T.

Le seul correspondant du Torero à Montpellier est M. J. Thérond, 12, rue Puech-Pinson. N.D.L.R.

Quelques journaux parisiens, se méprenant sur l'ironie d'une note d'agence ont cru de bonne foi que les taureaux fournis par M. Fayot à Montpellier étaient réellement en baudruche!...

Et ils ont mis baudruche en lettres grasses, bien étonnés qu'on ait mystifié le public jusqu'à lui donner des taureaux en taffetas ou en caoutchouc gonflé!...

In LE TORERO, Paris - 18 de Junho de 1893

22 DE OUTUBRO DE 1893 - LISBOA: JOSÉ BENTO DE ARAÚJO NO CAMPO PEQUENO

 

Biblioteca nacional de España

ESTAFETA TAURINA

El afamado rejoneador D. José Bento de Araujo tomará parte en la corrida que se dará el domingo venidero en la plaza de Campo Pequeño, en Lisboa, en cuya fiesta se correrá ganado del vizconde de Varzea.


In EL HERALDO DE MADRID, Madrid - 18 de Outubro de 1893

24 DE SETEMBRO DE 1893 - BÉZIERS: MAU TEMPO NA PRAÇA DE TOUROS

 

Bibliothèque nationale de France

BÉZIERS

Les grandes affiches apposées sur les murs de notre ville annonçaient une grande course de gala. Beaucoup de monde aux Arènes malgré une pluie fine qui n'a cessé de tomber. Grande affluence sur le passage du caballero et toreros pendant le tour de ville. A trois heures la clef du toril est remise à un alguazil et la pose commence (applaudissements) au son de la Marseillaise.

Trois heures 10 on sonne au toro: Guillaume sort, noir, joli camargue. Quelques passes de manteau, deux paires de banderilles de Templao.

Guadalajara prend la muleta, essaie maladroitement de faire une passe. Le toro le soulève et l'envoie contre las tablas; il a été dégagé par Método et Loquillo. Guadalajara se retire (sifflets) et ne reparait plus dans la piste..... que pour le paseo final. Le simulacre a été posé et enlevé par Método.

 

2º Toro blanc, tête noire, espagnol, paraît emboité pour le travail du caballero. (José) Bento (de Araújo) lui pose une javeline; le bicho ne bouge pas, on le dirait empaillé; la cuadrilla cherche à l'attirer; le toro fait semblant de la poursuivre, le caballero en profite pour lui poser deux javelines (on entend à plusieurs reprises lou ferré.)

Il revient désemboulé, quelques passes de Valverde et de Dedieu (qui remplace Caretera malade). Método pose le simulacre qu'il enlève immédiatement (Applaudissements).

3º Toro rouge fuyard ne cherche qu'à sauter las tablas; on cherche en vain de le caper. Loquillero est malheureux aux banderilles, n'en pose qu'une demi-paire. Colon se fait applaudir en posant une bonne paire. Templao pose assez bien un simulacre.

4º toro rouge et noir, fuit le manteau. Método, malgré sa bonne volonté, ne peut faire qu'une passe de cape. La pluie tombe fine mais très serrée. Après une paire de Colon, Método prend muleta, adresse le brindis à la présidence, à la ville de Béziers et aux demoiselles, s'avance vers le toro, le pique trois fois, la boue l'oblige à se déchausser, il glisse tout le temps et le bicho fuit la muleta, le pique encore une fois et réussit à lui enfoncer l'épée jusqu'à la garde; mais dans l'épaule. Cette estocade basse donne lieu à quelques sifflets. Le puntillero l'achève et les mulets enlèvent le toro de la piste.

5º toro rouge et noir espagnol, 2 paires de Templao et Morenito. Método prend la muleta. À la 3ème fois, qu'il essaie d'estoquer le toro il est renvoyé sur les tablas et sa tallaguilla déchirée laisse sortir un drapeau blanc (Rires). Il rentre dans la piste en boitant, lui fait une passe et lui enfonce l'épée jusqu'à la garde, mais au milieu de l'épaule (sifflets); l'épée ressortait sous la jambe gauche. Método prend une autre épée et tue le toro par une bonne estocade. Le puntillero lui donne son coup de grâce.


6º toro noir, jolie bête espagnole emboulée; se lance sur le caballero qui lui pique une bonne javeline. Le toro poursuit toujours et s'en laisse planter encore quatre (Applaudissements). (José) Bento (de Araújo) se retire. La cuadrilla sous une pluie de sifflets travaille l'emboulé.

Método ne pouvant s'en tenir s'était retiré de la piste. Une bonne paire de Colon.

Templao prend la muleta essaie de faire une passe et roule sous les pieds du toro.

Il se relève pose et enlève le simulacre.

Course mauvaise. Le bétail était vieux et roublard. Les deux bichos estoqués n'étaient pas à leur première sortie. La pluie, c'est vrai, a contribué à rendre le travail difficile. Les toreros étaient  déchaussés, la piste était pleine de boue. Un peu de sable n'aurait pas été de trop. (José) Bento (de Araújo) a été très applaudi au dernier toro (qui était assez bon et le meilleur de la journée).

Método, quoique blessé, a donné une bonne estocade au dernier. Je ne parlerai pas de Guadalajara qui s'est retiré après avoir reçu une égratignure du premier toro. Templao, Dedieu et Colon ont été passables.

La blessure que Método a reçue à la cuisse a 3 centimètres d'étendue sur 4 de profondeur.

Il en sera quitte pour 6 jours de repos.

R.

 

In LE TORERO, Paris - 1 de Outubro de 1893

OUTUBRO DE 1880 - BARCELONA: NOVILHADAS COM "DIESTROS" ESPANHÓIS, SUAS "CUADRILLAS" E O CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO?

 

Biblioteca nacional de España

SECCIÓN DE TAUROMÁQUIA.

Para las novilladas que probablemente se concierten por la empresa Font de Barcelona para el mes de Octubre próximo, en el caso de salir airosa de las corridas de temporada, se indica para torearlas á los simpáticos diestros Hipólito Sanchez Arjona y Lorenzo Quilez con sus respectivas cuadrillas de picadores y banderilleros, alternando en ellas el caballero portugués rejoneador José Bento D'Araujo que con tanto aplauso se le ha visto en la plaza de Madrid, siendo las reses de la acreditada ganaderia de Carriquiri.


In BOLETÍN DE LOTERÍAS Y DE TOROS, Madrid - 23 de Agosto de 1880

5 DE AGOSTO DE 1900 – BELÉM, PARÁ: UMA TOURADA QUE PROMETE

 


TOIROS

Uma bôa corrida de toiros, annuncia para amanhã á tarde a empreza do Colyseu Paraense.

O programma, como já tivemos occasião de dizer em uma das nossas noticias anteriores, está muito bem escolhido.

José Bento de Araujo, farpeará com a maestria que todos lhe reconhecem, um valente toiro portuguez, e Avelino Raposo picará dois bravissimos animaes do Ribatejo, que promettem esplendidas sortes.


Pechuga, Xavier, Rufino e Gordito, farão a lide a pé.

Dos dois primeiros artistas já o nosso publico conhece o trabalho, e não lhes tem negado as suas palmas.

Rufino é um rapaz brazileito que, como amador, tem dado no Colyseu Paraense, provas de sua coragem, o que esperamos, na corrida de amanhã, seja pelo sympathico bandarilha brilhantemente confirmada. É de coração que o PARÁ almeja para o destemido Rufino um luzido exito em todas as suas sortes.

In O PARÁ, Belém –  4 de Agosto de 1900

18 DE OUTUBRO DE 1891 - PARIS: CASA CHEIA E SUCESSO

 

Bibliothèque nationale de France

FOYERS ET COULISSES

La 22ème course de taureaux, donnée hier aux arènes de la rue Pergolèse, était une des avant-dernières de la saison. Aussi les retardataires en ont-ils profité et y avait-il une foule énorme. Angel Pastor, Valentin Martin, José Ruiz, José Bento de Araujo et les picadores ont été très brillants et ont exécuté avec adresse et courage des passes difficiles.



Ils ont été applaudis à juste titre. Dimanche prochain, 23ème course.

Pédrille.

In LE PETIT JOURNAL, Paris - 19 de Outubro de 1891

28 DE MAIO DE 1893 - NÎMES: UMA TOURADA ANIMADA

 

Biblioteca nacional de España

Fuera de Madrid

Toros en Nimes.—En Granada.—En Sevilla.—En Arévalo.—En Trujillo.

Nimes 29 mayo

El anfiteatro ofrecía un magnífico golpe de vista á las tres y media, hora marcada para dar principio el espectaculo cuyo programa lo componían seis toros de Aleas, las cuadrillas del Ecijano y Pepete, ésta mandada por el Tortero y el rejoneador portugués (José) Bento de Araujo.

El desfile de la cuadrilla se verifica entre los aplausos antusíastas de los 20.000 espectadores que ocupaban el circo.

Primer toro. Papelero. A fuerza de fuerzas consigue (José) Bento (de Araújo) clavarle dos rejoncillos. Ponen los muchachos dos pares y medio. Da unos buenos capotazos el Ecijano y el Tortero simula la muerte marcando una buena estocada en la cruz.

Segundo. Carbonero. Se arrima siete veces á los picadores Telillas y Trescalés. Tortero y Ecijano hacen muy buenos quites. Una vez desembolado se encariña en las tablas y con dificultad los muchachos le clavan par y medio. A petición del público vuelve Carbonero al corral.

Tercero. Negociante. Aguanta cinco sangrías por una caída. Almansa y el Morenito le cuelgan cuatro pares; los de Almansa superiores. El Ecijano, previos siete pases, señala una buena estocada en todo lo alto.

Cuarto. Guindo. Hizo una buena salida. (José) Bento (de Araújo) le colocó un rejón y dos excelentes pares de banderillas cortas (Palmas.) Una vez desembolado, el Ecijano puso un par de banderillas al sesgo, Tortero una al cuarteo y Dominguín uno aprovechando. Tortero le pasa correctamente de muleta y señala una estocada en buen sitio.

Quinto. Criminal. Con disgusto del público sale embolado y aguanta ocho puyazos por dos caídas, uno al descubierto haciendo el Tortero un buen quite. La faena de desembolar al bicho hizo que éste dificultase su lidia. Los chicos le clavaron tres pares.

Tortero toma espada y muleta, brinda y da fin del cornúpeto empleando una faena laboriosa en la que dió dos pinchazos, cuatro estocadas y un sablazo.

Sexto. Polero. Salió sin bolas y aguantó con bravura 10 puyazos.

El Ecijano da varias verónicas que son muy aplaudidas.

Los dos espadas torean á la limón, arrodillán dose al terminar.

El Ecijano pone la montera en un cuerno de la res.

Tortero pone par y medio de banderillas y Ramonet dos medios pares.

El Ecijano, después de brindar por "Francia y España," se deshace del bicho de dos pinchazos y una estocada hasta la mano. (Palmas, sombreros, cigarros.)

Resúmen. Los toros medianos. (José) Bento (de Araújo) bien. Tortero bueno en la brega y quites y sin fortuna en la murte del quinto. Ecijano, trabajador y activo en la brega, desgraciado en banderillas y muy bien estoqueando.

De los banderilleros, Pito, Albañil, Dominguín y Morenito, y de los jinetes, Tetillas y Trescalés. —Aicardo.

In EL ENANO, Madrid - 11 de Junho de 1893

10 DE SETEMBRO DE 1893 - BÉZIERS: MAIS UMA TOURADA COM O CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO NO SUL DE FRANÇA

 


In LE TORERO, Paris - 10 de Setembro de 1893

10 DE SETEMBRO DE 1893 - BÉZIERS: CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO BRILHANTE APESAR DE UM DOS BICHOS SER MOLENGÃO

 

Bibliothèque nationale de France

A BEZIERS

Corrida du 10 septembre.— Les affiches apposées, sur les murs de notre ville, annoncaient qu'un toro serait travaillé "à l'espagnole". Tous les aficionados, et ils sont nombreux à Béziers, s'étaient donné rendez-vous dans notre vaste Plaza.

Dimanche à deux heures, une magnifique calvalcade composée: du Caballero (José) Bento de Araujo, de Metodo et sa cuadrilla, d'alguazils, dans monosabios, train de mulets, etc., parcourait les principales rues de la ville.

À 3 heures les arènes étaient bondées. Un alguazil s'avance, salue le président M. Castelbon de Beauxhostes, vice-consul d'Espagne qui lui remet les clefs du Toril.

On sonne au Toro, VALDEMORE sort, noir bien armé. Metodo lui donne 8 véroniques et lui place une paire à l'écart. Quelques passes de muleta et un bon simulacre. (Ovations.)

RAMILLETO, gris et noir, emboulé pour le travail du caballero. (José) Bento (de Araújo) lui pose crânement 6 javelines. Ce genre de travail tout nouveau pour nous est très applaudi.

LIBERTAO, gris bien armé, est gratifié d'une paire au cuarteo et d'un simulacre que Método enlève avec bonheur.

KAKETON, noir taché de blanc, sans vigueur, emboulé, reçoit de (José) Bento (de Araújo) 2 javelines et une paire de banderilles. Malgré sa meilleure volonté le caballero ne peut le déloger du milieu de la piste. On aurait dit qu'il y était cloué. (José) Bento (de Araújo) est néanmoins fort applaudi.

CAPUCINO, noir taché de blanc, esta capé par toute la cuadrilla. Loquillo se distingue. L'encorné reçoit deux bonnes paires de Loquillo et Colon, et une paire à la chaise de Metodo. Quelques passes de muleta, et un bon simulacre. (Pluie de chapeaux.)

SIGNORITO, chatain, que l'on avait emboulé pour le travail du picador, rentre bientôt au toril et apparaît quelques instants après les cornes nues. Loquillo et Lobito lui placent deux paires. Metodo prend la muleta et l'épée et dédie ce toro "À M. Castelbon de Beauxhostes, à la ville de Béziers, à la République française et à l'Espagne". (Applaudissements.)

Il s'avance d'un pas ferme vers le fauve. Après 3 bonnes passes de muleta le bicho est envoyé ad patres par une demi-estocade.

Le président accorde l'oreille au matador. (Ovations, pluie de cigares et de chapeaux.)

7ème Toro emboulé, après avoir culbuté six amateurs rentre au toril sans cocarde.

RÉSUMÉ. — (José) Bento (de Araújo): très fêté; Metodo: bon à la cape très heureux à l'épée.

La cuadrilla très zélée a bien secondé son chef.

Les toros de la manade du Pouly ont été bons sauf le 4ème.

La Lyre bitteroise a bien voulu remplir les intermèdes par quelques jolis morceaux.

La présidence: excellente.

---

Il me semble bon de rappeler à mes compatriotes que les deux premières corridas de muerte données dans notre ville eurent lieu le 8 et le 14 juillet 1883, avec Francisco Sanchez, frère du célèbre matador Frascuelo, et sa cuadrilla.

Paco Sanchez, travailleur et heureux à l'épée, enthousiasma le public par son jeu magnifique de cape, et il fut comblé d'applaudissements et de cadeaux. — A.R.

In LE TORERO, Paris - 17 de Setembro de 1893

30 DE AGOSTO DE 1891 - PARIS: TOUREIROS, AFICIONADOS, ACTORES DE TEATRO E VIGARISTA DETIDO...

 
Bibliothèque nationale de France

FOYERS ET COULISSES

Aujourd'hui dimanche à trois heures, 15ème grande course de taureaux aux Arènes de la rue Pergolèse.

Au programme:

Bernardo Hierro, Ojéda, José Bento de Araujo, les picadores et l'amateur français piquant à la mexicaine.

Mercredi 2 septembre, reprise des soirées avec Cinq mois au Soudan et la première représentation de l'Avenir (???)

Nous avons mentionné il y a quelques jours l'arrestation pour escroquerie d'un nommé Cartier, qui s'était donné comme faisant partie de la troupe de la Plaza de la rue Pergolèse.

L'administration de la Plaza nous prie de déclarer que Cartier n'a jamais appartenu à son personnel. Nous le faisons volontiers, mais Cartier, lui, avait pris cette qualité.

In LE PETIT JOURNAL, Paris - 30 de Agosto de 1891

16 DE AGOSTO DE 1891 - PARIS: UMA TOURADA À GRANDE E À FRANCESA...

 

Bibliothèque nationale de France

COURRIER DES THÉATRES

Dix mille personnes assistaient, hier, à la 13ème grande course de la Gran Plaza.

Les nouveaux matadores Bernardo, Hierro et Ojéda, ont été très remarquables et fort applaudis.


Très fêtés aussi le Pouly et son quadrille, le cavalier (José) Bento de Araujo, les picadores et l'amateur français piquant à la mexicaine.

Georges Boyer.

In LE FIGARO, Paris - 17 de Agosto de 1891

17 DE JUNHO DE 1880 - LISBOA: UMA BOA TOURADA NA PRAÇA DE SANT'ANNA



Biblioteca nacional de España

TOROS EN LISBOA

El domingo 17 de Junio de 1880, á las nueve de la noche, se verificó la segunda y última corrida de noche de la presente época. La iluminación de la plaza fué considerablemente aumentada, produciendo un efecto deslumbrante.


Se corrieron en dicha noche 13 toros pertenecientes á la muy acreditada ganadería del Sr. José Gaspar de la Mota, opulento labrador del valle de la Figuera, siendo lidiadores el siempre aplaudido y simpático matador Hipólito Sanchez Arjona, su banderillero Manuel y los dos aplaudidos  jóvenes que tanto agradaron el dia 30 de Mayo, siendo caballeros en plaza el siempre aplaudido y primer cabqallero en plaza Manuel Morisca y (José) Bento de Araujo, y banderilleros los jóvenes cordobeses Rafael Rodriguez (Mogino), y Rafael Guerrita, y los portugueses hermanos Peixiños, Caixiña y Sancho, y ocho mozos de forcado de los más afamados.

Hechas las cortesias de costumbre por los caballeros en plaza y saludo por las cuadrillas de á pié, hizo la señal el señor presidente y salió á la arena el

1.º Negro, liston, cornigacho y bravo. El caballero Manuel Morisca le colocó siete rejoncillos, cuatro as sesgo y tres de frente, aprovechando la puerta de gayola, siendo muy aplaudido y llamado á la plaza. Sancho le dió seis verónicas y cuatro navarras buenas, y pegado de frente.

2.º Retinto en negro, cornialto y bravo. Peixiño y Caixiñas le colocaron cinco pares al cuarteo y uno al sesgo, siendo el toro retirado: palmas.

3.º Negro, liston, corniveleto y bravo. Sancho y Arjona le colocaron seis pares por mitad. Hipólito le dió seis naturales, dos de pecho, cuatro por detrás y seis por encima de la cabeza, y el toro fué pegado de frente. Palmas á Hipólito; este toro fué bien pasado y recibió puros el diestro.

4.º Verdugo en colorado, cornialto y bravo. Mogino le puso un buen par al cuarteo y su compañero le colocó otro bueno, con cinco más al cuarteo y sesgo, siendo muy aplaudidos; uno le dió seis lances de capa y pegado de lado.


5.º Negro, bragado y bien armado. El caballero (José Bento de) Araujo le colocó seis rejoncillos aprovechando la puerta de gayola, siendo muy aplaudido. Peixiño le dió cinco verónicas y tres navarras buenas, siendo muy aplaudido y pegado de frente.

6.º Retinto en negro, cornalon y abanto. Caixiñas y Rafael Peixiño le pusieron seis pares por mitad al cuarteo y como pudieron: este toro fué muy mal banderilleado; silba.

7.º Verdugo en negro y bravo. Hipólito Sanchez le colocó un buen par dando el quiebro, y cinco más al sesgo y al cuarteo en su sitio. Tomó la capa dándole cuatro verónicas, dos navarras y con la muleta seis naturales y dos de pecho, señalando la muerte y pegado el toro de frente.

8.º Berrendo en negro, bien armado y bravo. El caballero Morisca le colocó seis rejoncillos aprovechando la puerta de gayola, y Peixiños le dió cuatro navarras y tres verónicas y pegado de lado.

9.º Negro, bragado, bien armado y abanto. Le colocaron un buen par dando el quiebro y cuatro más al sesgo y al cuarteo, todos buenos, dándole dos verónicas y dos navarras buenas, siendo pegado de frente.

10.º Verdugo en negro, bien armado y bravo. (José Bento de) Araujo le puso seis rejoncillos buenos, al sesgo la mitad, y fué aplaudido.

11.º Negro, liston, cornicorto y bravo. Entre Peixiño y Sancho le pusieron seis pares al cuarteo y de frente; fueron muy aplaudidos. Sancho le dió seis verónicas y tres navarras y pegado de frente.

12.º Le banderillearon admirablemente los jóvenes cordobeses, poniéndole ocho pares por mitad, al cuarteo y de frente; el público les aplaudió con justicia; gustaron mucho y fueron obsequiados con buenos puros.

13.º Negro, liston, corniabierto y abanto. Entre Arjona y Rafael le colocaron cuatro pares al cuarteo y como pudieron; era casi de noche.


Resúmen.

La corrida buena, y la entrada por ser la última de noche, casi un lleno.

Los toros cumplieron como buenos.

Los toreros españoles muy bien; pusieron buenos pares. Hipólito Sanchez Arjona toreó bien de capa y dió dos excelentes quiebros, uno á puerta de gayola principalmente.

Los banderilleros cordobeses banderillearon bien y fueron muy aplaudidos, así como los portugueses Sancho y Peixiño.

El corresponsal.

In BOLETÍN DE LOTERÍAS Y DE TOROS, Madrid - 20 de Dezembro de 1880

8 DE NOVEMBRO DE 1891 - PARIS: BENEFÍCIO DO CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO NA ÚLTIMA CORRIDA DA TEMPORADA PARISIENSE

 

Bibliothèque nationale de France

THÉATRES ET CONCERTS

Aujourd'hui à 2 heures 1/2, 26ème et dernière grande course de taureaux, au bénéfice de José Bento de Araujo, le brillant caballero en plaza.


Au programme:


Mlle Maria Gentis, Valentin Martin, José Bento de Araujo et les piccadores.

EMILE DANIEL.

In LA PETITE PRESSE, Paris - 9 de Novembro de 1891

12 DE JUNHO DE 1910 - LISBOA: BENEFÍCIO DO CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO COM ALGUNS TOUROS MANSOS

 

Biblioteca nacional de España

DESDE LISBOA

El día 12 se realizó en Campo Pequeño la fiesta del rejoneador José Bento de Araujo, lidiandose toros de Paulino da Cunha y Silva, que resultaron medianos algunos, y otros mansos.

Los rejoneadores (José) Bento (de Araújo) y Macedo, regulares; el amador, bien.


Bienvenida, a pesar de la mansedumbre de los toros, ha sido el artista elegante y artistico de siempre, escuchando grandes ovaciones, no sólo en el trasteo de muleta y capote, sino en banderillas; no se puede ser más artista ni más elegante; innegablemente, Bienvenida es el espada que aquí más gusta y que más simpatias tiene.

Maera, que es un gran peón y un excelente banderillero, estuvo muy bien.

Bienvenida chico, regular, siendo cogido sin consecuencias.

Los saltadores landeses no gustaron.

Para el domingo 26 tenemos á Machaquito, y para el 3 de Julio á Cocherito, Fernando Gómez y Ostioncito.

MANUEL J. GÓMEZ

In EL TOREO, Madrid - 30 de Junho de 1910