10 DE AGOSTO DE 1893 – NIMES : MAIS UMA GRAN CORRIDA COM «TOROS DE MUERTE»…


 

Bibliothèque nationale de France

Toros de Muerte

            Nîmes. — Aujourd’hui a eu lieu, aux arènes, la quatrième gran corrida de toros de Muerte. Cette solennité tauromachique avait attiré plus de 20,000 spectateurs dans cet amphithéatre.

            Les six toros ont été combattus par le matador de cartel Cara-Ancha, le matador Fuentes, et leurs quadrilles.

            Les quatre derniers taureaux ont été tués, deux par Cara-Ancha, deux par Fuentes. Cara-Ancha a envoyé ad patres son premier par un pinchazo et une estocade. Fuentes a tué son premier avec une estocade profonde, son second par trois coups d’épée.

            En résumé, la course a été des plus brillantes.

O bandarilheiro José Moyano Fernández (EL RUBIO) actuou também em Lisboa e no Porto.
FONTE : EL NAZARENO
https://www.periodicoelnazareno.es/

            Les toréros excellents, notamment Mayano (NOTA : o nome correcto do bandarilheiro sevilhano é José Moyano Fernández - EL RUBIO), qui a banderillé deux toros d’une façon supérieure ; les matadors vaillants, les caballeros en plaza, (José) Bento de Araujo et Maria Gentil (NOTA : Apelidos correctos : Maria Gentis ou Maria Genty), très applaudis. Huit chevaux ont été tués.

In LE JOURNAL, Paris – 14 de Agosto de 1893

9 DE JUNHO DE 1918 – ALGÉS : FRANCISCO BENTO DE ARAÚJO (FILHO DO CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO) «ANDOU REGULARMENTE» NUMA CORRIDA «BURLESCA»…

 


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TAUROMACHIA

Praça de Algés

            Os amadores das touradas burlescas decerto ficaram satisfeitos com a corrida realisada hontem n’esta praça, pois a lide esteve animada, mormente durante a ferra das maravilhas, que deu origem a varios episodios mais ou menos comicos, do que resultou publico rir bastante.

            Na lide, como de costume, tomaram parte varios amadores os quaes, se não mostraram grandes aptidões para o toureio, em compensação evidenciaram arrojo.

            Muito apreciados, alcançando um successo de gargalhada, os intervallos comicos a cargo do popular Antonio Preto, e muito desunidos os forcados cujo trabalho teve a collaboração de varios espectadores que executaram algumas peças.

            O cavalleiro Francisco Bento d’Araujo andou regularmente nos touros que farpeou, tendo principalmente no 1.º, algumas sortes á tira e á meia volta bem executados que lhe valeram muitas palmas.

            No trabalho de bandarilhas, apenas se destacou o amador Joaquim do Carmo na colocação de um par a quarteio. — S. C.

In DIARIO NACIONAL, Lisboa – 10 de Junho de 1918

20 DE JULHO DE 1891 – PARIS : A JOVEM MARIA GENTIS (OU MARIA GENTY) COMEÇA A PARTICIPAR EM TOURADAS (COM O APOIO DO CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO)


 


Bibliothèque nationale de France

THÉATRES

            On sait avec quel enthousiasme ont été accueillis les débuts de Mlle Gentis.

            Voici quelques détails sur la vaillante cavalière en plaza, qui fait en ce moment courir tout Paris. Mlle Gentis, dont les débuts comme écuyère de haute école remontent à trois ans, a été successivement à l’Hippodrome et au Nouveau-Cirque. Au commencement de cette saison, l’idée hardie lui vint de tenter le combat au javelot contre le taureau.

Bibliothèque nationale de France

            L’originalité de cette innovation séduisit la direction des Arènes (NOTA : Mr Payot), et Mlle Gentis commença à répéter au mois d’avril. Le caballero José Bento de Araujo, quoique engagé pour deux représentations seulement, se mit, avec la meilleure grâce du monde, à la disposition de la direction pour aider Mlle Gentis de ses précieux conseils et de son expérience. Devant cette attitude courtoise et désintéressée, la direction s’est attaché l’habile cavalier en place pour toute la saison.

            Le cheval que monte Mlle Gentis est un étalon très difficile, qui n’est à Paris que depuis deux mois. C’est donc après quelques essais sommaires que la charmante jeune femme est parvenue, grâce à l’habileté qu’on lui connaît, à l’accoutumer à ces exercices tout spéciaux. Les résultats qu’elle a obtenus sont surprenants et justifient pleinement le succès consacré par tous les afficionados.

Jennius.


In LA LIBERTÉ, Paris – 25 de Julho de 1891

1891 - PARIS : A JOVEM MARIA GENTY (OU MARIA GENTIS) NO MUNDO DAS TOURADAS COM OS CAVALEIROS PORTUGUESES...

 
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Affiche des Arènes du Bois de Boulogne

Imprimerie Émile Lévy (Paris), 1891

Lithographie en couleur, 130 x 96 cm

      À l’aube de l’Exposition universelle de 1889, le comité d’organisation et le conseil de Paris s’entendent pour ériger des monuments plus ou moins durables, comme la Tour Eiffel, et programment des événements destinés aux nombreux visiteurs internationaux, comme des courses de taureaux. En 1857, déjà, l’Hippodrome de Passy avait organisé des ferrades, courses de jeunes taureaux ou de vachettes sans effusion de sang, renouvelées en janvier 1887 à l’Hippodrome de l’Alma pour lever des fonds au bénéfice des « Inondés du Midi ». Les afficionados et les toreros protestent chaque fois contre l’interdiction de « pique » et de mettre à mort le taureau.

       Ainsi, ils espèrent que la règle sera modifiée lorsque, en 1889, sont construites, en bois, les Arènes du Champ-de-Mars, d’une jauge de 14 000 spectateurs. Ouvertes le 27 juin 1889, elles présentent des courses – corridas – espagnoles et des courses françaises, prétextes à valoriser les exercices de sauts avec perche et sans perche au-dessus de « vaches » landaises notamment. La mise à mort du taureau fait l’objet d’un simulacre avec l’envol d’une colombe. Mais très vite, aux dires de la presse de l'époque, les toreros espagnols et provençaux passent outre l’interdiction d’effusions de sang, renforçant de ce fait le débat sur l’issue d’un combat de taureaux. Fermées à la fin de l’été, les Arènes du Champ-de-Mars seront remplacées par la Gran Plaza de Toros, bâtie à l’automne au Bois de Boulogne par un aéropage d’éleveurs espagnols menés par le Duc de Veraga. Inaugurées avec faste le 9 octobre 1889, les arènes présentent des cuadrillas provençales et espagnoles à pied dans leurs costumes traditionnels, et des cavaleirosportugais en tenue du XVIIIe siècle. Sous un dôme de fer et de verre immortalisé par l’artiste peintre française Berthe Morisot en 1893, les courses se poursuivent chaque année avec mise à mort du taureau. En juillet 1891, la presse annonce un évènement Maria Gentis – ou Genty –, une écuyère de haute-école formée par le maître écuyer Auguste Raux, connue du public du Cirque d’Hiver et du Nouveau Cirque, combattra le taureau en caballera en plaza, la version portugaise du rejoneadorespagnol. Le caractère exceptionnel de son intervention est double : peu de femmes remplissent cet emploi, et qui plus est, c’est en amazone qu’elle monte à cheval armée d’un javelot, pour attaquer un taureau aux cornes « emboulées » pour ne pas blesser son cheval. Revêtue d’un costume d’amazone de l’époque Loui XV, Maria Gentis apparaît ainsi entre 1891 et 1894 comme cavalière en plaza auprès de son mentor portugais, José Bento de Araújo, dans des courses organisées à Paris et dans des ferias régionales comme celles de Nîmes ou de Bayonne, montée sur son cheval Orloff. 

        C’est auréolée de ses nouveaux succès qu’elle poursuit ses exercices de haute école sur les pistes des grands cirques.

In Bibliothèque nationale de France (BnF, département des Estampes et de la photographie, ENT DN-1) (LEVY,Emile/1)-GRAND ROUL )

1 DE JULHO DE 1898 – RIO DE JANEIRO : O CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO ABALA…

 
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TAUROMACHIA

            Não há mal que sempre dure, nem bem que não se acabe.

            Assim diz o dictado, e assim é. Esta nossa vida é um verdadeiro vae-vem continuo de illusões e desillusões, tristezas e alegrias.

            Em compensação a essas alegrias, que não duram, temos as nossas tristezas, que felizmente tambem acabam. E tanto assim é que tenho hoje duas boas noticias a dar aos amadores de touradas e assiduos frequentadores da bella praça das Laranjeiras.

            A primeira boa noticia é a seguinte: José Bento (de Araújo), o sympathico e arrojado cavalleiro, parte brevemente para a Europa.

            Mas, meu Deus ! Decerto exclamarão os meus caros leitores. Vamos ficar muito peior de que já estavamos. Se o Club Tauromachico Federal já tanto se resentia da falta de bons toureiros, como poderemos regosijar-nos com a partida de José Bento (de Araújo), um dos poucos artistas de valor que possuimos !? Pois é verdade.


            José Bento (de Araújo) parte e os leitores d’estas chronicas tauromachicas devem alegrar-se, e muito, ao saber qual o motivo da sua partida. Eil-o :

            José Bento (de Araújo) parte, mas volta breve : vai tão sómente com o fim de contratar bons artistas e comprar touros, mas touros bons de casta e puros. Se por um lado vamos ficar privados do sympathico artista por algumas semanas, teremos como recompensa a esta ausencia a certeza de que dentro em breve vamos gozar no redondel das Laranjeiras verdadeiras touradas com uma quadrilha de artistas, escolhida entre toureiros de primeira ordem, e com boas féras.

            Assim, pois, acabará aquella pasmaceira, a que tristes temos assistido todos os domingos, e, com enchentes á cunha, será ella substituida por delirante enthusiasmo.

            Entre os artistas que José Bento (de Araújo) espera contratar figura o celebre espada Faico.

            É um bom artista. Vimol-o trabalhar por differentes vezes em Madrid e Sevilha, e podemos garantir que deve agradar muito aqui. Em Madrid é elle tido hoje como um dos primeiros espadas hespanhoes.

            Emquanto aos touros, dizem-nos que serão apartados por José Bento (de Araújo) em pessoa, e tirados das manadas dos melhores ganaderos de Portugal. Isto equivale a dizer que teremos boas féras.

            Levantemos, pois, todos um hurrah a José Bento (de Araújo), que não se poupa a sacrificios quando se trata de bem servir o publikco. Boa viagem, e que volte breve a encontrar n’esse mesmo publico, por quem se sacrifica e que tanto estima, justa recompensa a esses sacrificios.

Minuto.

In A NOTICIA, Rio de Janeiro – 1 – 2 de Julho de 1898

1926 - O CAVALEIRO JOSE BENTO DE ARAÚJO E OS OUTROS NO LIVRO «O VIRTUOSISMO DA CAVALARIA PORTUGUESA» - DO IMENSO PEPE LUÍS...

 


«O VIRTUOSISMO DA CAVALARIA PORTUGUESA»

Evocação de Vimioso, D. João de Meneses, Joaquim Alves e Morgado de Covas. — D. Luís do Rego, Alfredo Tinoco e José Bento (de Araújo) em Paris.

            Os portugueses foram sempre os luminares do toireio equestre.

            Não precisamos citar nomes ao acaso para encontrar os «virtuosos», os correctíssimos cavaleiros, como o conde de Vimioso, que toireou em selim raso e sem estribos, D. João de Meneses e Joaquim Alves, que seguravam a boca do cavalo apenas com um débil retrós, Morgado de Covas, que toireou segurando moedas de vintém no selim raso, as quais não sofriam o menor desvio durante a lide do toiro ; D. Luís do Rego, (Alfredo) Tinoco e José Bento (de Araújo), que em Paris, tanto nos bosques (NOTA : O jornalista Pepe Luís confunde «bosques» com o lugar onde existiu a «Gran Plaza de Toros du Bois de Boulogne» de Paris entre 10 de Agosto de 1889 e a demolição, em1893. Ficava no Bosque de Bolonha – «Bois de Boulogne». Hoje, o local da antiga praça pertence ao 16.º bairro de Paris. Ver : https://clubtaurindeparis.com/2024/12/01/toreros-dans-la-ville-lumiere-a-paris/ ) como na praça de toiros da Rua de Pergolèse (NOTA : a morada exacta era rua Pergolèse sem o «de», número 60), fizeram as delícias de numeroso público, e tantos outros. (Ver : https://ubtf.fr/wp-content/uploads/2020/04/des-taureaux-a-paris-min.pdf ou ainda https://patrimoinecourselandaise.org/2019/09/17/1889-la-gran-plaza-de-toros-du-bois-de-boulogne-a-paris/ )


Praça de Touros de Paris : «Société Anonyme de la Gran Plaza de Toros du Bois de Boulogne»
FOTO © DR

            No nosso país não é habitual o torneio em pontas nem tão-pouco a morte do toiro.

            Devido a sangrentas notas de infortúnio ocasionadas por tantos rasgos de audácia que eram sintomas claros da rija têmpera da raça portuguesa, o absolutismo de alguns reis, de sangue um pouco distinto do dos seus antepassados, deu às toiradas uma outra feiçãoque não é bem aquela que corresponde à lealdade da luta e ao acalorado desejo do português que ama a sua festa favorita.

            Não são, portanto, os artistas da actualidade os culpados de não haver corridas de verdad em Portugal.

            Houve tempos em que se buzinou uma sonhada superioridade de (Antonio) Cañero sobre os cavaleiros portugueses porque o cordovês lidava toiros em pontas e matava a rojão.

            Então os nosso cavaleiros quando vão a Espanha não o fazem também?

            E a arte que os artistas portugueses revelam nos seus mais pequenos pormenores e o seu valor estético saborosìssimamente toireiro não representam uma vantagem sobre a forma de toirear de Cañero? (NOTA : ver https://www.elespanol.com/cultura/20190806/antonio-canero-genocida-franquista-cordobes-polemica-nombre/419208947_0.html )

            Ainda mais uma vez, em Junho de 1926, se pretendeu, em nova tentativa, obter vitória.

            Creio que está na recordação de toda a gente aficionada o que naquelas corridas ocorreu.

            Na primeira tarde trabalhou José Casimiro e na segunda D. Rui da Câmara. O reclame gritava que estes nossos compatriotas toireavam em competência com Cañero, ressaltando entre os nomes dos competitores a palavra «contra».

            Cañero contra José Casimiro.

            Cañero contra D. Rui da Câmara.

            Faço esta observação para responder, em princípio, àquelas pessoas que se esganiçavam a apregoar que Cañero tinha uma maneira diferente de toirear.

            Se o toireio era diferente, como podia haver competência?

            Como é possível um torneio com regulamentação especial para cada concorrente?

            Toirear não é uma questão de corridas nem de desvarios. Tem o seu tempo de preparação, entrada, centro da sorte e remate. O toireio não depende de execução atrabiliária, porque possue regras de insofimável concepção.

O cavaleiro José Bento de Araújo
FOTO © MCT - France

            O toireio equestre foi aperfeiçoado pelos Portugueses, que o estilizaram a ponto de se poderem matar toiros praticando a Arte com todas as suas regras, como tantas vezes sucede na vizinha Espanha, nas várias ocasiões em que os nossos cavaleiros a visitam.

            O que há é quem toireie melhor e quem toireie pior. Assim é que está certo.

            Quanto a Cañero nunca vi melhorar o seu trabalho. Montando cavalos de meio sangue, que só correm em linha recta, que não se dobram na cara do toiro, e accionam ainda sujeitos a um terrível ferramental de castigo, aquele toireiro profissional exibia-se num vertiginoso toireio acampinado, não conseguindo que o toiro humilhasse, não elegendo terrenos, não definindo as sortes, não marcando implìcitamente o centro das ditas, saindo delas de qualquer maneira e, por vezes, para o lado contrário ao que mandam os princípios elementares do toireio. O local onde deixava a ferragem também não era da preocupação de Cañero. Aguentava-se bem sobre o cavalo — por isso era capitão de cavalaria… — e desses fenónemos temos por cá muitos!...

Antonio Cañero
Foto : DR

            Cañero fazia tiras e meias voltas e tentava sortes de cara, embora imperfeitamente.

            Agora digam os do «pregão» :

            — Não é isto um dos aspectos da autêntica arte de toirear a cavalo?

            Não me falem pois no «fenómeno, espanto de Córdova», porque esse nunca existiu.

In «AO ESTRIBO», Pepe Luiz (NOTA : pseudónimo do jornalista, escritor e grande crítico tauromáquico José Luís Ribeiro, 1890-1962), Livraria Popular de Francisco Franco, Lisboa, 1926.

28 DE AGOSTO DE 1912 – ESPINHO : O CAVALEIRO FRANCISCO BENTO DE ARAÚJO NUMA TOURADA COM ARTISTAS DE ESPANHA E DE PORTUGAL

 


Biblioteca nacional de Portugal

Espinho

            — No proximo dia 28 do corrente, pelas 16 e meia horas, tem logar uma surpreendente tourada, promovida pelo nosso amigo Paleño, com artistas do Campo Pequeno, que alternam com dois eximios diestros do paiz visinho. O cavaleiro é o afamado Francisco Bento de Araujo (NOTA : Filho do cavaleiro José Bento de Araújo).

O cavaleiro Francisco Bento de Araújo
FOTO © Rui Araújo


In A LIBERDADE, Aveiro – 1 de Agosto de 1912

18 DE AGOSTO DE 1918 – LISBOA : CORRIDA NA PRAÇA DO CAMPO PEQUENO COM FRANCISCO BENTO DE ARAÚJO, FILHO DO CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO

 


Biblioteca nacional de Portugal

Grandiosa corrida de touros

Batalha de Flôres

Com a assistencia do Ex.mo Sr. Presidente da Republica

            No proximo domingo, 18, realisa-se na Praça do Campo Pequeno uma grandiosa corrida de 10 touros, sendo dois lidados em hastes limpas (desembolados). Tomam parte n’este esplendido torneio os distintos amadores srs. D. Alexandre de Mascarenhas, D. Pedro de Bragança e Gama Lobo e um grupo de forcados de que é seu cabo o sr. José Valerio. Dão o seu valioso concurso os profissionaes Eduardo Macedo e Francisco Bento d’Araujo, cavaleiros, e Teodoro Gonçalves, Torres Branco, Augusto Salgado, Guilherme Tadeu e Luciano Moreira, bandarilheiros.

O cavaleiro Francisco Bento de Araújo

            A batalha de flôres que se realisa antes de começar a corrida, é um numero interessantissimo, tomando parte na «luta» as mais distintas Atrizes dos teatros de Lisboa. Para este numero de efeitos seguros mais uma vez os distintos floristas Fernando Sanc hez, da rua Nova do Carmo, Lisboa, e Moreira da Silva, do Porto, vieram em nosso auxilio, fornecendo-nos lindos exemplares dos seus viveiros. Como é festa cheia de novidades e atrativos, teremos tambem o concurso do tenor portuguez Romão Gonçalves, que no intervalo se fará ouvir em alguns trechos d’opera, canções portuguezas como o «fado do Ganga» e «Ó ai é linda», em que, sem duvida, o nosso amigo Estevão Amarante, quando o ouvir, «até se comoverá» lamentando não possuir tão excelente garganta.

            Afiança-nos o tenor absoluto Romão Gonçalves que mesmo durante o côro executado pelos seus numerosos amigos, na canção brazileira o «Carambó», a sua potente voz sobrelevará a todas.

            Os dois touros completamente desembolados serão lidados a sós, um pelo espada Pacomio Peribanez e o outro pelo arrojado bandarilheiro Luciano Moreira.

            Dirige a corrida o nosso estimado colega Eduardo Fernandes, «Esculapio», abrilhantando-a a banda de infantaria 5 e uma banda popular.

In O SÉCULO, Lisboa – 16 de Agosto de 1918

2 DE SETEMBRO DE 1917 – SETÚBAL : O CAVALEIRO FRANCISCO BENTO DE ARAÚJO NA FESTA DO BANDARILHEIRO AGOSTINHO CARVALHO

 



TAUROMAQUIA

Em Setubal

        Reaparece no proximo domingo na praça Carlos Relvas, n’uma corrida em seu benefício, o joven e valente bandarilheiro Agostinho Carvalho, que dedica a sua corrida á classe maritima setubalense, onde conta numerosos amigos ; serão lidados dez magnificos touros do lavrador de Vendas Novas, sr. Francisco da Silva Vitorino. Cavaleiro, Francisco Bento de Araujo. Para esta corrida estão preparados grandes atrativos.

Biblioteca nacional de Portugal

In O SÉCULO, Lisboa – 28 de Agosto de 1917

21 DE MAIO DE 1891 - MADRID : «GRAN CORRIDA EXTRAORDINARIA» COM LUIS MAZZANTINI, MANUEL GARCÍA (EL ESPARTERO), RAFAEL GUERRA (GUERRITA) E DOIS CAVALEIROS PORTUGUESES (MANUEL CASIMIRO DE ALMEIDA E JOSÉ BENTO DE ARAÚJO)

 


Agencia Estatal Boletín Oficial del Estado

ESPECTÁCULOS

PLAZA DE TOROS DE MADRID.— A las cuatro y media.— Gran corrida extraordinaria á beneficio de la Sociedad de peluqueros y barberos de Madrid, titulada «La Precursora», en la que se lidiarán ocho toros: dos de la ganadería de D. Benjamín Arrabal, de Avila, que serán rejoneados por los renombrados caballeros en plaza portugueses D. José Bento d’Araujo y D. Manuel Casimiro d’Almeida; y seis de la renombrada ganadería del Excmo. Sr. Duque de Veragua, vecino de Madrid, que serán estoqueados por Luis Mazzantini, Manuel García (el Espartero) y Rafael Guerra (Guerita).

In GACETA DE MADRID, Madrid – 21 de Maio de 1891

28 DE OUTUBRO DE 1896 – BELÉM DO PARÁ : O CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO REGRESSA (VIA RIO DE JANEIRO) A LISBOA

 


Biblioteca nacional do Brasil

Belem Elegante

            Apresentou-nos hoje suas despedidas, por ter de seguir para Lisbôa - via Rio de Janeiro, o sympathico artista tauromatico (tauromáquico) José Bento de Araujo que tão justamente foi applaudido pelo publico paraense.

            Desejamos-lhe boa viagem.

In O PARÁ, Belém – 28 de Outubro de 1896

16 DE SETEMBRO DE 1883 – LISBOA : BENEFÍCIO DO CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO NA PRAÇA DE SANT’ANNA

 


Biblioteca nacional de Portugal

ESPECTACULOS

            5 h. — PRAÇA DO CAMPO DE SANT’ANNA — Domingo, 16. — Extraordinaria corrida de 14 touros pertencentes ao sr. Emilio Infante, em beneficio do cavalleiro José Bento d’Araujo. — Entre os 14 touros vem o celebre Raiado que desfeitou o cavalleiro José Monteiro na tarde de 29 de junho ultimo, offerecendo tanto o beneficiado como o lavrador um premio ao cavalleiro que lhe metter um par de bandarilhas sem ser colhido. — Cavalleiros: Mourisca, Calhamar e o beneficiado (José Bento de Araújo). — Bandarilheiros: J. Cadete, Peixinhos, Calabaça, Sancho, Cortez e A. Monteiro. — Alem d’outros attractivos, exhibirá as suas danças, no intervallo, a troupe hungara.

            Preços os do costume — Bilhetes á venda na tabacaria Climaco, rua da Bitesga, 71.

In DIARIO ILLUSTRADO, Lisboa – 13 de Setembro de 1883

22 DE JUNHO DE 1919 – CASCAIS : O CAVALEIRO PROFISSIONAL FRANCISCO BENTO DE ARAÚJO NA PRAÇA INAUGURADA NA TARDE DE 6 DE OUTUBRO DE 1895 PELO SEU PAI, JOSÉ BENTO DE ARAÚJO

 


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TAUROMAQUIA

            EM CASCAES. — Realisa-se hoje n’esta praça uma corrida mixta de 5 touros e 5 vacas, pertencentes ao lavrador sr. Manuel Ventura Vitorino.

            Na lide toma parte o notavel cavaleiro amador D. Alexandre de Mascarenhas e o profissional Francisco Bento de Araujo. Na lide de pé tomam parte D. Carlos e D. João de Mascarenhas e João Malhou da Costa, auxiliado pelos artistas José da Costa, Rodrigo Largo e Alvaro Xavier.

In A IMPRENSA, Lisboa – 22 de Junho de 1919