30 DE ABRIL DE 1893 – NÎMES: RELATO DA PRIMEIRA CORRIDA DA TEMPORADA


 

Bibliothèque nationale de France

PLAZA DE NÎMES

Inauguration de la Temporada

Ceux de nos lecteurs qui croiraient trouver à cette place un compte-rendu minutieux et détaillé de la course d’inauguration de la Temporada, seraient grandement déçus. Nous leur avouons franchement que le petit nombre de notes que nous avons prises pendant cette course, ne nous permettant pas de le faire avec toute l’exactitude que nous aurions voulu y apporter, nous avons dû laisser ce soin à d’autres plus habiles ou plus experts que nous. Au reste ceux de nos lecteurs qui désirent connaître tous les détails de cette course les trouveront dans les journaux quotidiens généralement bien renseignés.

Toutefois pour remplir notre devoir envers les aficionados et sans faire aucune offense à la vérité, nous pouvons dire que la cuadrilla de novilleros et les toros présentés dans cette course par M. Fayot, sont bien au-dessus de la moyenne de tout ce que nous avons pu voir dans nos arènes. Les toros beaux et puissants, de belle performance, bien armés, de poids (sauf le 4ème et le 5ème, un peu moins forts) ont tous fourni une bonne carrière, et bien défendu l’honneur de leur caste. Le dernier, le coq de la course, pourrions-nous dire, claro y sencillo, a permis à nos jeunes novilleros de montrer l’adresse et l’agilité qui les distinguent.

Les recortes, veronicas, navarras qui ont été faits à ce toro para Pepe Hillo et Gonzalito ont fait l’admiration de tous les aficionados. — Dans la pose des banderilles, Leal et Gonzalito se sont particulièrement distingués. Les quatre paires, trois al sesgo, la dernière de Gonzalito al cuarteo aprovechando, ont été posées en bonne place, dans une surface pas plus grande que la main.

Des applaudissemeents mérités ont récompensé ce travail que rien ne saurait payer. Descompuesto en sortant de la pose de banderilles, le toro s’est mal prêté à la faena de muleta, néanmoins, Pepe a su lui faire encore de bonnes passes parmi lesquelles quelques-unes bien rematadas. L’estocade qui a terminé a été donnée à la meilleure place, en la cruz. Bravo Hillo! Continuez ainsi et vous ajouterez de l’éclat, si cela est possible au nom célèbre que vous avez adopté.

Tous les autres muchachos ont bien gagné leur solde, et ont été vivement applaudis.


M. (José) Bento d’Araujo est toujours l’habile et gracieux caballero que nous avons admiré la saison dernière. Dimanche, comme si cela était nécessaire, il nous a donné une nouvelle et éclatante preuve de sa science d’écuyer et du sang froid imperturbable qu’il apporte dans son travail difficile et dangereux.

Le toro, deuxième de la course, qui lui était destiné, était de sentido y codicioso, mal intentionné, désireux d’essayer la trempe de ses cornes. La tête haute, il se gardait des javelines dont il semblait connaître le gout. Dès qu’un des muchachos lui jeatit sa percaline, il fondait sur lui avec la rapidité de l’éclair, le poursuivait jusqu’aux tablas, qu’il frappait de ses cornes. Malheur si le muchacho eut manqué l’étrier! Aussi n’est-ce qu’à la force d’adresse, de bonne volonté et de beaucoup de sang-froid que M. (José) Bento (de Araújo) aidé par la cuadrilla est parvenu à javeliner ce bicho vindicatif. M. (José) Bento (de Araújo), mis plusieurs fois en danger par les charges furieuses que ce cornupeto faisait aux moments qui lui paraissaient opportuns, s’est magistralement tiré d’affaire; nous lui en faisons tous nos compliments. Les bruyants et unanimes applaudissements du public lui ont prouvé combien son beau travail était apprécié.

Il nous reste maintenant à dire un mot des pégadores africains. Cette cuadrilla composée de quatre noirs, tous plus affreux les uns que les autres, fagotés à la façon de ces épouvantails dont se servent les jaardiniers pour écarter les moineaux pillards nous a ecœurés. Tout le travail de ces harapientos consiste à se traîner dans la poussière, à faire des grimaces et des contorsions épouvantables, qui ont fini par exaspérer le public. Le grand art du Toreo n’a rien à voir avec cette acrobatie ignoble et idiote, on ne peut que l’abaisser et l’avilir en le mêlant à des exhibitions aussi stupides. Du reste la protestation du public a été assez bruyante et assez énergique pour que M. Fayot l’ait entendue. Y no digo más.

En résumé bons toros, bons toreros, bonne course qui aurait été excellente, si les deux toros des pégadores avaient été courus par les novilleros.

Après-midi splendide. Beaucoup de monde aux premières et à l’amphithéatre; assez aux seconces; peu ou point aux troisièmes et au toril. Señor Fayot! Toros de cincos y torero de veinte inco y la plaza sera un lleno.

Juancho RESDAYÉ

In LA MISE À MORT, Nîmes – 6 de Maio de 1893

30 DE ABRIL DE 1893 - NÎMES: PRIMEIRA CORRIDA DA TEMPORADA - SUCESSO DO CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO


 

Bibliothèque nationale de France

ARÈNES DE NIMES

Voici l'instantané de la première course.

TAUREAUX convenables, certains un peu mous — premier et sixième excellents — irréprochables.

CUADRILLA BLANCHE. — Bonne tête avec Pepe-Hillo et son sobresaliente. Les autres moins Gonzalito e´taient par trop spectateurs.

CUADRILLA NÈGRE (pegadores). — Ce sont des Lafont moins la peur. Et certes, il méritait mieux que des huées ce gros diable de nègre qui a pris le 4ème taureau à bras le cou, mais que ses collègues n'ont pas aidé. Quanta esquichado!

CABALLERO EN PLAZA. — C'est le succès de la course. (José) Bento (de Araújo) est parfait. Amoureux de son art, il communique sa flamme à tous les spectateurs!

In LE FURET NIMOIS, Nimes - 6 a 13 de Maio de 1893

30 DE ABRIL DE 1893 – NÎMES: PROGRAMA DA CORRIDA DE INAUGURAÇÃO DA TEMPORADA COM O CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO


 

PLAZA DE NÎMES

Ouverture de la saison taurine 1893

Dimanche 30 avril, gran Corrida de six toros de 5 ans, dont 3 de la ganaderia de Maximo Hernan (marque O, devise bleu et ciel) et 3 de la ganaderia de Manuel Banuelos (marque A, devise bleu foncé) qui seront comabttus par le matador de Novilleros GAYETANO LEAL (a) PEPE-HILLO.


BANDERILLEROS

Luis Leal (a) Il Maestro.

José Gonzalès (a) Gonzalitto.

Benito Leal.

Eduardo Leal.

CABALLERO EN PLAZA

José Bento d’Araujo.

PÉGADORES NÈGRES AFRICAINS

Jose Preto (chef de quadrille).

Antonio Espirito.

Joaquin André.

Manoel Geixeira.

La Musique des Touristes du Gard (50 musiciens) prêtera son concours.


ORDRE DU SPECTACLE

1.  Pepe-Hillo et sa cuadrilla.

2.  Caballero et la cuadrilla.

3.  Pégadores.

(20 minutes d’entracte)

4.  Pégadores.

5.  Caballero et la cuadrilla.

6.  Pepe-Hillo et sa cuadrilla.

Les toros seront emboulés pour le travail du caballero et des Pégadores seulement.

Les taureaux sont arrivés mercredi soir et ont été conduits à l’établissement de la rue Henri IV.

L’année dernière lorsqu’on annonça pour la Course du 5 Juin la cuadrilla des Ninos Sévillanos la Mise à Mort seule, signala aux aficionados que ce titre n’appartenait plus qu quadrille de Faïco et que les véritables Ninos Sévillanos avaient pour matadores Pachon et Pepe-Hillo.

Pour demain, M. Fayot nous annonce comme matador de novillos Pepe-Hillo.

Nous aurions voulu offrir à nos lecteurs un portrait à la plume et la biographie du jeune novillero, mais le Pepe-Hillo qu’on nous présentera dimanche, n’ayant de commun que le nom avec le célèbre chef des Niños Sévillanos nous avons dû nous abstenir.

Combien y a-t-il de Pepe-Hillo? — Et de José Duran (Pepe-Hillo) ou Cayetano Léal (Pepe-Hillo). Quel est le vrai?

Nous insérerons volontiers leurs réponses.

Louis de MONTJOIE

In LA MISE À MORT, Nîmes – 28 de Abril - 4 de Maio de 1893

30 DE ABRIL DE 1893 – NÎMES: AUMENTO DE PREÇOS E RECLAMAÇÕES

 
 Bibliothèque nationale de France

TEMPORADA DE 1893

L’ouverture de la saison taurine, si impatiemment attendue, aura lieu demain avec le concours d’une cuadrilla de novilleros, des Págadores nègres et du célèbre rejonéador José Bento d’Araujo qui fut tant applaudi le 7 août dernier.

Cette course peut être brillante, mais nous doutons fort qu’il y ait affluence de spectateurs.

Malgré les reclamations qui s’élèvent de tous côtés, les prix fixés par la direcxtiopn n’ont pas été modifiés. L’amphithéatre reste à 2 francs.

Sans être pessimiste, nous regrettons cette mesure, pour la direction et pour le public.

Pour le public, parce que ce prix, trop élevé pour la majorité de nos ouvriers, les empêchera d’assister régulièrement aux corridas comme ils en avaient l’habitude.

Pour la direction en ce que les recettes se ressentiront forcément de ces défections.

Il y a là un écueil que la diection ferait bien d’éviter pour assurer le succès même de son entreprise. Si le public ouvrier s’abstient d’aller aux arènes, comme il en manifeste le dessein; M. Fayot espère-t-il compenser ces absences par l’élévation du prix des places de ceux qui s’y rendront? — Nous la voudrions mais ne l’espérons guère.

Dans le dernier nº de la Mise à Mort, nous avons dit que que nous avions la plus grande sympathie pour la nouvelle direction et nous répétons.

Nous désirons la voir aboutir, parce qu’elle tend à relever l’art taurique en France, parce qu’en organisant de grandes solennités, la plaza et la ville de Nîmes y gagneront, parce qu’elle nous permettra enfin de voir quelques célébrités taurines.

Mais nous le répétons aussi, nous voyons de si près les ouvriers nimois, nous connaissons si bien leurs besoins, leurs moyens et leur désiderata, nous sentons tellement que le prix de 2 francs est au-dessus de leurs ressources que nous avons demandé à la direction de l’abaisser.

Nous insistons aujourd’hui encore sur ce point. La course de demain en nous donnant raison, sera peut-être notre meilleur argument.

Quoiqu’il en soit, M. Fayot en créant les abonnements d’amphithéatre, que nous avions demandé, a bien agi et a droit à nos remerciements. Un pas lui reste a faire: réduire lr peix des places d’amphithéatre. Nous comptons que la nouvelle direction, dans l’intérêt même de l’œuvre qu’elle poursuit et pour satisfaire nos aficionados ouvriers, y consentira.

C’est ce que nous souhaitons.

J. MARY de LÉO.

In LA MISE À MORT, Nîmes – 22 de Abril de 1893

30 DE ABRIL DE 1893 – NÎMES: ANÚNCIO DO PRINCÍPIO DA TEMPORADA TAUROMÁQUICA


 

Bibliothèque nationale de France

PLAZA DE NIMES

La date d’ouverture de la saison taurine 1893 n’est pas encore fixée. Elle aura probablement lieu le 30 si tout est prêt pour fournir une bonne course.

Les chevaux de J. (José) Bento de Araujo, que ce caballero en plaza présenta le 7 août dernier à la course CARA-ANCHA, sont arrivés.

Le corral de la rue Henri IV a reçu en outre deux chevaux noirs, race russe, appartenant à Mlle Maria Gentis, écuyère de haute école, la célèbre caballera en plaza, qu’il nous sera donné d’applaudir comme rejonéadora.

In LA MISE À MORT, Nîmes – 22 de Abril de 1893

8 DE NOVEMBRO DE 1891 – PARIS: FESTA DO CAVALEIRO PORTUGUÊS JOSÉ BENTO DE ARAÚJO NA PRAÇA DE TOUROS DO BOIS DE BOULOGNE

 

Bibliothèque nationale de France

Gazette des Coulisses

À deux heures et demie, 26ème course de taureaux aux Arènes de la rue Pergolèse. Cette course, donnée au bénéfice de José Bento de Araujo, le brillant caballero en plaza, promet d’être des plus intéressantes. Mlle Maria Gentis, la charmante caballera, y prêtera son gracieux concours, ainsi qu’un toréador célèbre qui, se trouvant dans la salle comme simple spectateur, descendra dans l’arène et mettra des banderilles à un taureau.

 Au programme également: Valentin Martin, José Ruiz (Joseito) et leurs cuadrillas et les picadores. M. José Bento de Araujo, pour remercier la presse parisienne du bienveillant accueil qu’elle lui a fait depuis le commencement de la saison, lui dédiera un des taureaux qu’il piquera seulement avec des banderilles très courtes.

In L’ATTAQUE, Paris – 7 de Novembro de 1891

5 DE MAIO DE 1901 - LISBOA: UMA TOURADA COM ALTOS E BAIXOS


 

LISBOA (PORTUGAL)

Corrida efectuada en Campo Pequeño el 5 de Mayo.

Biblioteca nacional de España

La empresa de nuestra plaza continúa organizando carteles que agradan completamente á la afición lusitana, aun á la más exigente.

Habiendo sido grande el entusiasmo en la corrida que toreó Reverte, y magnífica la impresión que dejaran los toros de Duarte d'Oliveira, la empresa trató de repetir aquella parte del programa, presentándonos de nuevo al diestro de Alaclá, y otros diez toros de la ganadería del Cartaxo.

Y con algunas pequeñas variantes en el personal, se llevó á efecto la segunda extraordinaria, con una buena entrada, porque no era de esperar otra cosa.

La verdad sea dicha, no es posible dar á esta corrida la misma clasificación que se dió á la primera de Reverte; esto es: de muy buena.

Sin embargo, todos los aficionados se conformarían con que las sucesivas no fuesen inferiores.

EL GANADO. — Si no nos es lícito censurar en absoluto al Sr. Duarte d'Oliveira por la última corrida que nos envió, también es cierto que no podemos felicitarle, como fuera nuestro deseo, y como lo hicimos en el penúltimo número de SOL Y SOMBRA.

Quien escoge diez reses como las que el Sr. Duarte d'Oliveira nos dió el día 28 de Abril, que tenían sangre, cuerpo, carnes, presencia y tipos de toros, de ningún modo nos debía presentar aquellas otras que, excepto en la estampa, que era buena, en nada se parecían á las primeras, careciendo éstas de todas las buenas cualidades que abundaban en aquéllas.

A decir verdad, fué Reverte quien escogió los toros en la vacada, y de ahí tal vez la razón de que viéramos tantos chotitos en la plaza, por haberse dejado los toros en el campo.

Mas aunque eso sea, no disminuye la responsabilidad del ganadero, pues viendo que le apartaban toretes, dejándole los toros, su deber era no facilitar la corrida, y con eso ganaría en crédito lo que perdiera en dinero.

Como ya dejamos dicho, los 10 toros de Duarte d'Oliveira resultaron ordinarios, comparándolos con los anteriores.

Clasificándolos, diremos que el que salió en séptimo lugar, que fué el mejor de la tarde, resultó un toro de buena ley, el único; los segundo, octavo y décimo, demostraron algo de bravura; los cuarto y sexto cumplieron nada más, debido á la frescura, pero fué desarmado y perseguido al simular la estocada.

Con el capote, en los segundo, tercero y sexto (éste fué enseguida trasteado de muleta) estuvo parado á veces, ejecutando algunos lances buenos y de efecto. Banderilleando, agarró dos pares en el quinto y uno en el octavo, á su manera, resultando archisuperiores los dos primeros.

Recortó capote al brazo en varios toros, quebrando una vez á cuerpo limpio en el toro séptimo.

De regular puede calificarse la faena de Antonio Reverte en su segunda presentación al público de Lisboa, que fué muchas veces premiada con repetidos y justísimos aplausos.

«Revertito», que figuró como sobresaliente, aunque algo mejor que en la última, no consiguió todavía satisfacernos, sobre todo á quien ya lo ha visto

Trabajar en temporadas anteriores.

Pasó la muleta al segundo (que había sido toreado de capa por su tío), pero poco logró hacer; el cuarto, que estaba dando buen juego, cuando el señor presidente mandó terminar el trasteo y salir los cabestros; el octavo, que fué en el que estuvo mejor, dando pases completos, de cabeza á rabo, lo que le valió justa ovación, y, por último, el décimo, que brindó al público del 4, y en el que no pudo demostrarnos lo que vale.

Con los palos, cambió en el quinto un par que resultó malo, repitiendo con otro al cuarteo, muy bueno; en el octavo, cuarteó dos pares, siendo volteado al colocar el primero, no oyendo aplausos ni por uno ni por otro.

Estuvo muy activo toda la tarde, ayudó á su tío cuanto pudo y, por fin, fué multado por el señor presidente por no obedecerle inmediatamente cuando le mandó suspender el trabajo de muleta en el toro cuarto.

JOSÉ BENTO D'ARAUJO EN EL TORO PRIMERO

LOS CABALLEROS. ̶  José Bento (de Araújo) estuvo aceptable en los dos toros que le correspondieron. En el primero clavó tres rejones en su sitio; en el sexto dejó cinco: tres buenos, uno regular y otro malo, y terminó con una banderilla buena.

Fernando d'Oliveira estuvo superior en la lidia del cuarto, por la inteligencia con que lo toreó y como le obligó á marrar; en suertes variadsas empleó el primoroso artistas cuatro rejones, tres muy buenos, quedando uno algo caído, y remató con dos banderillas archisupeiores. En el noveno, que era el peor de la corrida, nada consiguió, á pesar de su buena voluntad.

LOS BANDERILLEROS. ̶  Juan Calabaça ejecutó una suerte de «gaiola» de mucho efecto en el segundo toro, aunque las banderillas no quedaron en muy buena colocación; repitió con otro par bueno al cuarteo, que le valió muchas palmas.

A Theodoro Gonçalves correspondió banderillear el segundo con Calabaça, y el séptimo con Manuel de los Santos. En su primero estuvo bien, clavando un par bueno al cuarteo y otro al sesgo de mucho mérito, por la manera como preparó y como clavó. En su segundo, salvo el par que dejó á «porta gaiola», que fué superior, su trabajo no estuvo á la altura de sus méritos.

Theodoro es hoy, sin disputa, el primer peón portugués, poseyendo valor, conocimientos y valentía; y en un artista con tales condiciones, no es propio, ni se comprende la necesidad de torear con la precipitación con que lo hizo en el toro en que alternó con Manuel de los Santos.

Convénzase Theodoro de que con precipitación no se puede torear bien. Y la prueba la tuvo en la lidia del séptimo, sin duda ninguna el mejor toro de la corrida, en que su trabajo fué delicatísimo, por el motivo expresado; lo que no le ocurriría, seguramente, si torease con aplomo, como acostumbra, sin preocuparse por ideas de rivalidades, que no tienen razón de ser, ni pueden tampoco tomarse en serio. Que la lección sirva de escarmiento.

Cadete dejó medio par bueno á la salida del tercero, y nada  más consiquió, porque el toro era manso; el el décimo clavó un par superior, y uno y medio regulares.

Torres Branco solo pudo prender en el morrillo del tercero un par algo abierto, oyendo después abundantes palmas de un grupo del 2, por la diligencia y valentía que demostró, citando en corto y metiéndose en la cabeza.

Manuel de los Santos, si recordase aquel célebre refrán: «Quien todo lo quiere, todo lo pierde», no hubiera sufrido el fracaso que sufrió en la segunda extraordinaria. ¡Perdió en un solo día lo que había avanzado en tantos; retrogradó en una corrida lo que había ganado en dos temporadas! ¡Fué tal vez la tarde que, durante su carrera, peor impresión dejó en el público que le admira!

De bueno, tuvo solamente dos pares de banderillas: uno en el séptimo y otro en el décimo. ¡Todo lo demás, «cero»!

En el séptimo, el quiebro en silla, con la precipitación con que lo hizo, sin preparar ni esperar, habiendo ya el toro emprendido su viaje, fué sencillamente una temeridad y nada más. El otro que hizo enseguida con los piés sobre un pañuelo, tampoco «fué» nada. Todo eso se le podría perdonar, todo se le podría disculpar, atendiendo á su mucha fuerza de voluntad. Mas lo que nadie le perdona ni disculpa, ni siquiera los revisteros que le son afectos, fué lo que hizo con la muleta en el mismo toro séptimo, ¡pues el fiasco resultó «monumentalísimo»! 

Manuel de los Santos es, sin duda, un muchacho de vountad y que vale, pero le faltan todavía la competencia y los conocimientos necesarios para presentarse toreando de capa ó de muleta ante el público de la primera plaza del país. Debe tener en cuenta que la plaza de Campo Pequeño, en corridas formales, no debe ni puede ser transformada en escuela. Así es que, por honra de su propio nombre, ¡debe praticar antes en las plazas de segundo y tercer orden, para poder presentarse después al lado de los maestros y ante un público que está acostumbrado á ver los mejores diestros. De no hacerlo así, sólo conseguirá repetir el espectáculo que nos ofreció esta tarde, y que fué poco edificante. Por otra parte, tenga Manuel de los Santos la seguridad de que el buen resultado del trabajo del artista no depende sólo de «querer», pues además es necesario «saber». En estas páginas hemos elogiado muchas veces á Manuel de los Santos; hoy no podemos hacer lo mismo, porque llevamos siempre por norte de nuestros trabajos, la verdad.

«Cutrinche», «Niño de la huerta» y «Alcalareño», quedaron regularmente, sobresaliendo el primero.

LOS FORCADOS. ̶  Hicieron dos pegas buenas de frente en los toros segundo y tercero.

El jefe, Fressura, fué multado y se prescindirá de sus servicios en corridas sucesivas por no acatar las órdenes del presidente en el toro cuarto.

 

LA DIRECCIÓN. ̶  Estuvo confiada, como de costumbre, á «Pescadero», que dirigió con acierto hasta el toro tercero. En el cuarto anduvo algo precipitadillo, mandando sacar los cabestros justamente cuando «Revertito» estaba agradando con la muleta. Por ese motivo se promovió una bronca mayúscula, como jamás la hemos presenciado.

A la corrida asistieron S. A. El Sr. Infante D. Slfonso y la oficialidad del crucero brasileño «Floriano», á quien brindaron suertes algunos diestros.

 

(INSTANTÁNEAS DE F. VIEGAS, HECHAS EXPRESAMENTE PARA «SOL Y SOMBRA»

CARLOS ABREU.

In SOL Y SOMBRA, Madrid - 23 de Maio de 1901

26 DE OUTUBRO DE 1898 - RIO DE JANEIRO: AS NIÑAS TOUREIRAS ESPANHOLAS E FRANCESAS DÃO QUE FALAR...


 

Biblioteca nacional do Brasil

João Romero trouxe ha pouco de Lisboa cinco toureiras de contractou para trabalhar no Club Tauromachico Federal.

Toda esta capital conhece estas toureiras, mas o que todos ignoravam com certeza é que Romero exercesse sobre ellas uma força suggestiva extraordinaria, a ponto tel-as presas e incommunicaveis nos quartos do hotel onde estavam hospedadas.

Mas não ha suggestão maior do que a do prejuizo, e Romero, que havia seduzido as niñas com promessas as mais brilhantes, desta vez nem ao menos queria restituir-lhes o que ellas haviam ganho nas corridas que deram aqui e, que é mais, preparava-se já para leval-as para novas explorações. Foi isto que perdeu Romero; as niñas, que não se amedrontam diante de terriveis pontas de bravissimos touros, não podiam mais supportar aquelle cativeiro e por isso, quebrando todos os grilhões, foram ter com o delegado da 7ª circumscripção, a quem relataram tudo quanto acima ficou referido.

Chamado Romero a dar explicações, disse quanto ás prisões em quartos fechados que assim procedia para melhor conservação dos toureiros e garantia da empreza tauromachica; quanto ao dinheiro não restituia por serem ellas menores e ser elle o seu tutor.

O delegado não se conformando com estas razões, mandou recolher Romero no xadrez, arrecadando antes do preso a quantia de 1.624$ em nossa moeda e mais 8 notas de 20$  fortes e duas notas de 100 pesetas hespanholas.

As niñas serão hoje apresentadas aos seus respectivos consules, visto serem menores. São tres hespanholas e duas francezas.

In GAZETA DE NOTICIAS, Rio de Janeiro - 26 de Outubro de 1898

27 DE OUTUBRO DE 1898 - RIO DE JANEIRO: NIÑAS TOUREIRAS - A EXPLICAÇÃO DO CAVALEIRO


 

Biblioteca nacional do Brasil

Fomos hontem procurados pelo conhecido e popular cavalleiro José Bento (de Araújo) que nos apresentou documentos mostrando que as niñas matadoras estavam pagas e muito bem pagas pelo Sr. José Romero. É exacto que viviam sob rigorosa vigilancia, mas isso, por ser necessario, para que cumprissem o contracto.

In GAZETA DE NOTICIAS, Rio de Janeiro - 27 de Outubro de 1898

28 DE MAIO DE 1893 - NÎMES: CONVERSAS A PROPÓSITO DA TOURADA DE 28 DE MAIO



Bibliothèque nationale de France

Passavant el Mejor!

Dialogue en une foule d'intéressés sur la Course du 28 mai

UN ABONNÉ. — Eh bien, Madame la Presse, vous avez un fier toupet de dire que la course du 28 mai a été plutôt bonne que mauvaise! Vous n'assistiez donc pas à la fête?

PRESSE. — Pardon, j'y assistais; et j'ai même, à pluysieurs reprises, manifesté mon mécontentement par de petits couls de sifflets discrets; comme il convient à quelqu'un qui n'a pas payé sa place, du moins en numéraire.

UN SÉNATEUR. — Comment se fait-il alors que vos compte-rendus n'expriment pas ce mécontentement. Vousa savez bien que vous avez charge d'âme. N'est-ce pas se moquer de vos lecteurs que de ne pas leur dire la vérité? Sans compter que vous encouragez la Direction dans ses errements!

LA PRESSE. — Telle n'est pas notre intention, Monsieur le Sénateur; mais il était à craindre que l'autorisation de muerte ne fût retirée, si la presse, dépassant les bornes d'une critique juste, eût écrit contre la course et par cela même contre la Direction.

UN OUVRIER. — Mais, entre nous, vous savez, c'est pas ça ! — Moi croyant bien faire, j'y suis allé de mon toril à 5 francs, et puis... quesque je te vois?: des toros qui allaient aussi doucement que le percement de la rue des Greffes.

LA PRESSE. — Vous comprenez, mon ami, que le directeur ne savait pas si les taureaux seraient fougueux ou mauvais. Il les a payés pour bons.

UN AMATEUR DE COURSE LIBRE. — Ah vaï.... il le savait pas! Quesque vous cvenez me chanter? Il savait bien que le cinquième et le sixième seraient bons. Pourquoi c'étaient pas tous des cinquièmes et des sixièmes. Quand les Directeurs ils mettent une cocarde de 100 francs sur un camargue, ils savent bien que çà sera pa un agneau ou une vaquette.

LA PRESSE. — Enfin, d'après vous, les taureaux étaient mauvais, la course mauvaise, etc., etc., et il faudrait le crier par dessus les toits, au risque de compromettre le succès des futures grandes courses.

UN MONTPELLIERAIN. — Il ne s'agit pas des courses prochaines, il s'agit de celle du 28 ,ai à laquelle nous sommes venus en foule. — Si le lendemain nous avions lu un compte rendu véridique, c'eût été au moins une consolation, tandis qu'on nous a fait passer pour des ignorants ou des aveugles.

LA PRESSE. — Eh bien, si nous le faisions le compte-rendu, là, tout doucement, à la bonne franquette.

UN ANCIEN DIRECTEUR. — Je dirai mon mot.

LA PRESSE. — Commençons.

L'ancien directeur. — Primo et d'une, les toros de la manade d'Aléas ne vont pas franchement au picador et refusent souvent de rentrer au toril, ce qui rend les courses ennuyeuses. On en a vu rester jusqu'à 9 heures du soir dans le cirque.

Maintenant que je ne suis plus directeur je vois les fautes des autres. Je crois qu'il eût mieux valu mettre un quadrille de moins, et des toros meilleurs.

UN CAFETIER. — Et surtout finir la course avant 7 heures, de façon que notre absinthe du soir ne soit pas ratée comme elle l'a été le 28 mai.

UN RAZETIER. — On pourrait aussi, essayer de désembouler les taureaux au razet, en rolérant les crochets, bien entendu. — On priverait le public d'une corrida de cabestros, mais le toréador Chocolat aurait moins de travail.

UN ARTILLEUR. — Vous parlez du toréador Chocolat. En voilà un guerrier! C'est à lui que reviennent les honneurs de la journée. Tortero n'est auprès de lui, qu'un enfant de troupe. Quelle frousse, mon capitaine! (chantant: je suis jeune et je tiens à la vie.) Il a tué son taureau en décomposant: Une patte, l'autre patte, le dos, le cou, la tête et le bec.... comme dit la chanson. Je crois même qu'au quatrième coup d'épée il a manqué l'animal. Il est beau garçon cependant et avait empoigné son public qui l'appaludissait jusqu'au moment où il a lâché épée et muleta. Grand et beau, comme un artilleur, et se laisser faire la barbe par un petit Ecijano, comme qui dirait un fantassin! C'est raide!

UN ABONNÉ. — Cet Ecijano je le gobe, moi, il est gracieux,.... il prend son temps...

UN SÉNATEUR. — Et comment avez-vous fait pour savoir que tel toréador était Tortero, tel autre Ecijano, etc. Moi j'ai vu une foule de toréadors dans l'arène, mais l'affiche n'indiquant pas la couleur des costumes, je les ai baptisés au petit bonheur.

UN ABONNÉ. — Vous avez fait comme le Journal du Midi pour les picadors qu'il a désignés par le cheval noir et le cheval blanc.

UN SPECTATEUR DE L'AMPHITHÉATRE. — Cependant le public ne connaissait pas la couleur du costume du Directeur et il l'a bien reconnu pour leui faire une petite ovation lorsqu'il a paru dans le cirque.

En outre, pourquoi avoir deux cuadrillas et annoncer qu'elles combattront leur taureau, chacune à tour de rôle, puisque dès le premier elles se sont mélangées et ont travaillé ensemble tous les taureaux,

UN TORÉADOR NIMOIS. — Remarquez aussi que les toréadors espagnols font preuve de beaucoup de solidarité et que le cumul des fonctions leur est permis. Ainsi la cuadrilla Adrada est composée d'une partie des cuadrillas Ecijano et Tortero, à moins que ce ne soit tout le contraire.

UN ARENERO. — Vous cherchez la petite bête, mais vous ne dites pas que (José) Bente d'Araújo a été admirable, le défi superbe, les picadors parfaits, la présidence irréprochable.


GAVROCHE. — C'est bien, monsieur l'employé!

LA PRESSE. — Et c'est tout ce que vous avez à dire? Il ne valait pas la peine de me rappeler que j'avais charge d'âme!

L'ABONNÉ. — Oh! nous ne demandons pas la mort de M. Fayot.

M. FAYOT (entrant). — Vous êtes bien aimables. Je vous remercie de vore indulgence; mais, croyez-moi, je connais aussi bien et même mieux que vous tous, quels ont été les points faibles de la course du 28. L'annonce de celle du 25 juin pour laquelle j'ai engagé Espartero et Quinito qui combattront six toros de la marquise de Concha (avec 2 toros en plus) en est la meilleure preuve.

UN MONTPELLIÉRAIN. — Alors nous pouvons revenir en toute confiance pour le 25 juin.

M. FAYOT. — Si vous ne voulez pas venir, vous resterez, je ne viendrai pas vous chercher. L'affiche fera connaître le programme, c'est à vous de décider.

Je ne fais pas de boniments.

L'ANCIEN DIRECTEUR. — Et moi qui me creusais la tête et celle de mes amis, pour faire de chics boniments!

LA PRESSE. — Messieurs, concluons!

L'OUVRIER. — Voyons, vous l'abonné, écrivez nos conclusions en style du Palais.

L'ABONNÉ. — Je veux bien:

ATTENDU qu'il vaut mieux un excellent toréador que deux passables, et que les nimois tolèreraient même la médiocrité chez un torero à condition que les toros soient irréprochables.

CONSIDÉRANT que (José) Bento d'Araujo est un caballero admirable, mais qu'on se lasse même des plus belles choses, et que les Nimois autorisaraient une économie dans la mise en scène à condition que les toros soient irréprochables.


Attendu que si M. Fayot n'avait pas foi au succès de la course du 28 mai, l'empressement du public nimois lui a prouvé qu'il peut compter sur de belles recettes chaque fois que les toros seront combattus à l'espagnole.

LES AFICIONADOS:

reconnaissant que les courses ordinaires de novillos et hispano-portugaises ont pu laisser quelques déboires à la Direction, déboires largement rachetés par le succès du 28;

Passent l'éponge sur tout ce qui a été fait;

Prennent note de la diminution du prix des places;

Demandent à la Direction de publier un nouveau programme;

La supplient de mettre tous ses soins au choix des toros.

Et, en attendant avec impatience la course du 25 Juin, crient quand même et tous en chœur:

PASSAVANT EL MEJOR!

In LE PETIT FURET, Nimes - 3 a 10 de Junho de 1893 

28 DE MAIO DE 1893 - NÎMES: O CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO NUMA CORRIDA ATRIBULADA...



LES JOURNAUX et la course du 28 mai

Bibliothèque nationale de France

Le Petit Méridional:

Le 1er toro est une bête molle... etc.

Le second toro fait une brillante sortie, mais après avoir reçu cinq piques se refuse au châtimenrt. Le désemboulage pénible fait tomber cet animal dans un état comateux; il est banderillé avec peine et le public fait renvoyer au toril cette bête paisible, indigne de l'estocade.

Le troisième toro est aussi mauvais que les précédents, sans volonté, mou; il refuse d'abord la pique qu'il finit par accepter avec peine trois fois. Fuyard aux banderilles, il franchit la barricade et passe aux mains de El Ecijano qui le passse bien à la muleta et porte une bonne estocade. — (Chapeaux et cigares).

Le quatrième toro fait une brillante sortie...

Le cinquième toro est un vrai fauve...

Le sixième toro arrive cornes nues, bien armé, brave et puissant, dur au fer etc.

Le Petit Marseillais:

Correspondance de Nîmes:

Cette course, commencée à 4 heures moins le quart, s'est terminée à 7 heures du soir. En somme, grand succès pour (José) Bento (de Araújo); quadrilles travailleurs et pleins de bonne volonté, assez homogènes; picadors excellents. Taureaux d'une bellee performance, mais mous et vicieux, sauf les deux derniers.

Correspondance de Montpellier:

— Les Montpeliérains fort nombreux qui se sont rendus dimanche à Nîmes, pour assister à la corrida de toros sont revenus généralement mécontents. Ils regrettaient beaucoup de s'être dérangés pour une course très médiocre.

L'Eclair dit: ... Enfin, on sonne à la mort... Passes mauvaises de Tortero, le taureau, bête forte et ardente, est loin d'être prêt pour l'estocade. Néanmoins, Tortero l'estoque une fois sans pénétrer, une deuxième fois à peine de 10 centimètres de lame. Des huées se font entendre. Tortero perd la tête, lui lance un nouveau coup d'épée et... manque complètement le taureau. Plusieurs autres coups ne sont pas plus heureux; enfin un septième coup porte, et un brillant descabello foudroie le taureau. Manifestations diverses du public.

Le dernier taureau Polero, fait une brillante entrée; il a les cornes nues.

Les picadors parvienent à lui donner de bonnes varas en protégeant les chevaux, ils se retirent tous montés; des applaudissements éclatent dans l'assistance.

Enfin, El Ecijano s'avance; il fait de superbes passes, donne deux coups d'épée et termnine par une estocade; l'épée s'enfonce jusqu'à la garde et le taureau tombe. De frénétiques applaudissements saluent le toréador.

En somme, les trois premiers taureaux ont été faibles, et les trois autres bons. El Tortero a été médiocre, et El Ecijano excellent. La course a été assez mouvementée et plutôt bonne que mauvaise.

Le Petit Républicain du Midi:

Malheureusement les courses fournies par les quatre premiers taureaux, très mous, fuyards, difficiles au travail, ne permettent pas aux toreros de se faire valoir et soulèvent de nombreuses et bruyantes protestations.

Le Journal du Midi:

Que dire du résultat de la course? A-t-elle été bonne? a-t-elle été médiocre? Sur ce point les avis sont très partagés. Néanmoins nous croyons que l'opinion du plus grand nombre est que l'ensemble de la représentation a été satisfaisant.

Le bétail — une partie du moins — n'as pas été ce que l'on était en droit d'attendre, et ceux de nos concitoyens qui ont pu, avant la course, admirer ces superbes taureaux, n'ont pas été le moins déçus. Il est, en effet, bien difficile d'apprécier un taureau sur simple vue et tel animal qui paraîtra médiocre ou mauvais parce qu'il n'a pas un aspect imposant, fournira quelquefois une très belle course, tandis qu'un autre qui aura l'oeil vif et qui paraîtra bien planté sur ses jarrets, courra d'une façon pitoyable.

De là l'impossibilité d'avoir des taureaux absoliment parfaits, nul ne pouvant prédire en les voyant au repos s'ils seront bons ou mauvais.

Il ne faudrait donc pas incriminer la direction sur ce point, ce fait se produisant partout à quelque manade qu'appartiennent les taureaux.

Le peu de vigueur des premiers taureaux ayant nui un peu au succès complet de la course, ces explications étaient nécessaires pour dégager la responsabilité d'une direction qui ne cherche qu'à bien faire et qui mérite tous les encouragements.

In LE PETIT FURET, Nimes - 3 a 10 de Junho de 1893

19 DE FEVEREIRO DE 1899 - CAMPOS: DEPOIS DA PRAÇA DO RIO DE JANEIRO O CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO PROMOVE MAIS CORRIDAS


 

Biblioteca nacional do Brasil

Theatros e...

Estreou domingo em Campos a cuadrilla tauromachica dirigida pelo bravo cavalleiro José Bento de Araujo.

 

In  GAZETA DE NOTICIAS, Rio de Janeiro - 23 de Fevereiro de 1899

25 DE JUNHO DE 1891 – PARIS: “GRANDE SUCESSO NA SEXTA TOURADA" DA TEMPORADA

 


Bibliothèque nationale de France

Grand succès pour la sixième course de taureaux donnée dimanche aux Arènes de la rue Pergolèse.

Le Matëito et sa cuadrilla; José Bento de Araujo, le caballero en plaza; les picadores; Le Pouly d’Aygues Mortes et son quadrille ont, chacun pour leur part, contribué à ce succès.

Ils se sont tous montrés très brillants. Un amateur français a piqué un taureau à la mexicaine et a été également applaudi. Dimanche prochain, septième course avec une surprise que nos lecteurs apprendront cette semaine.

In LE DROIT - JOURNAL DES TRIBUNAUX, DE LA JURISPRUDENCE, DES DÉBATS JUDICIAIRES ET DE LA LÉGISLATION, Paris – 1 de Julho de 1891

25 DE AGOSTO DE 1892 – PARIS: CORRIDA COM TOUREIROS ESPANHÓIS E CAVALEIRO PORTUGUÊS

 

Bibliothèque nationale de France


COURRIER DES THÉATRES

Aujourd'hui jeudi, à 3 heures, 18ème grande course de taureaux aux Arènes de la rue Pergolèse.

Au programme:

José Bento de Araujo, caballero en plaza; courses espagnoles avec Ojeda de Sevilla et sa cuadrilla; courses provençales avec le quadrille de Lombros; les picadores.



In LE PETIT PARISIEN, Paris – 25 de Agosto de 1892