7 DE MAIO DE 1893 - NIMES: A SEGUNDA CORRIDA DA ÉPOCA


Bibliothèque nationale de France

PROGRAMME

de la course du 7 mai 1893

Composition de la cuadrilla et couleurs des costumes

1. Pepe-Hillo, bleu marin et or.
2. Luis Léal, bleu marin et noir.
3. José Gonzalez (Gonzalito) grenat et argent.
4. Benito Léal, azur céleste et or.
5. Eduardo Léal, azur céleste wt noir.
6. Jacinto Padilla (Méri) corinte et or.

Picadors

Manuel Gonzolez (Baulero) vert et argent.
Manuel Sanchez (Rubio).

(José) Bente d'Araujo, caballero en plaza.

Noms des taureaux

1. Papelero, Pepe-Hillo et cuadrilla.
2. Volundero, caballero et Pepe-Hillo.
3. Juíndo, picadors et Pepe-Hillo.

Entr'acte de 20 minutes

4. Pajarito, Pepe-Hillo et cuadrilla.
5. Comerciante, Caballero et Pepe-Hillo.
6. Hojalatero, picadors et cuadrilla.

Les taureaux seront désemboulés après le travail du caballero et des picadors.

L'orchestre est composé de 10 musiciens qui exécuteront pendant les défilés et l'entr'acte, les meilleurs morceaux de leur répertoire.

Bars et buffets, seront tenus par M. Barandon du café des Deux-Mondes, les consommations seront de premier c hoix, le prix des consommations sera affiché à chaque bar et buffet.


Et de quoi parle-t-on, partout et à toute heure? ... Des arènes de Nimes!

Je vais résumer tout ce que j'ai pu dire, rapidement, sinon le Furet n'y suffirait pas; je ne signalerai que pour mémoire les parties faibles du programme ou de l'organisation générale auxquelles M. Fayot a déjà remédié. Il reste cependant quelques améliorations à faire, c'est du moins l'avis de nombreux aficionados, dont je suis l'interprète.


Voici l'instantané de la première course.

TAUREAUX convenables, certains un peu mous  premier et sixième excellents  irréprochables.

CUADRILLA BLANCHE. — Bonne tête avec Pepe-Hillo et son sobresaliente. Les autres moins Gonzalito étaient par trop spectateurs.

CUADRILLA NÈGRE (pegadores). — Ce sont des Lafont moins la peur. Et certes, il méritait mieux que des huées ce gros diable de nègre qui a pris le 4ème taureau à bras le cou, mais que ses collègues n'ont pas aidé. Quanta esquichado!

CABALLERO EN PLAZA. —  C'est le succès de la course. (José) Bento (de Araújo) est parfait. Amoureux de son art, il communique sa flamme à tous les spectateurs!


Les abonnés d'amphithéatre demandent à être casés aux places de troisièmes devenues places du toril.

La musique des Touristes du Gard ne b'est pas foulée la rate et pourrait jouer des morceaux plus brillants.

Les sonneries espagnoles valent-elles mieux que les sonneries nimoises? - Ou bien le trompette nimois ne vaut-il pas les trompettes espagnols? Toujours est-il que les canards sont aussi désagréables à entendre en espagnol qu'en français.

À Nimes, il est d'usage que tous les taureaux soient mantellés, banderillés et estoqués. Le programma de demain semble dire que certains taureaux travaillés par le caballero (José Bento de Araújo) et Pepe-Hillo ne recevront pas de banderilles. Le fait s'est produit dimanche dernier et a fait égosiller bon nombre de spectateurs.

Il y aurait lieu de bien l'annoncer au programme, ou mieux de faire banderiller tous les taureaux. - C'est la mode à Nimes.

Le défilé final devrait avoir lieu immédiatement après la rentrée du dernier taureau sinon le public s'en va. - Puis, de défilé perd de son importance par la descente ou plutôt la sautée de tous les gamins dans le circe. Quuelques procès-verbaux suffiraient pour empêcher cet envahissement.

Dimanche dernier, le cheval de (José) Bento (de Araújo), en caracolant, a failli blesser des enfants.

De l'avis d'un de ses confrères en spectacle (et c'est aussi mon avis) M. Fayot a péché par excès de franchise, mais à l'avantage du public.

Tandis que les précédents directeurs ne faisaient connaître leurs spectacles, que quelques jours à l'avance, nous connaissions dès l'ouverture, et presque à date fixe, lr programme de M. Fayot. Cela permet aux aficionados du dehors de réserver leur visite à Nimes pour telle ou telle course, tandis qu'ils viendraient à la première grande course s'ils craignaient qu'il n'y en eût qu'une, puis à la seconde si la première les eût satisfaits, et ainsi de suite.

A signaler comme absents à la première course: le grand Mallet. — Les marchands d'oranges. — L'illustre Lafont. — et l'aficionado à la blouse bleue des premières.

Les taureaux pour picadores, et pour caballero en plaza seront emboulés. Aussitôt le travail des picadores terminé et celui du caballero en plaza, les taureaux seront désemboulés dans la barrière sous les yeux du public. À cet effet, un petit toril a été fait dans la barrière, pour qu'ils soient travaillés à cornes nues par le banderillero et le matador.

Les places de troisièmes sont supprimées et deviennent places de toril.

L'amphithéatre pour la course de demain est à 4,50 et le toril à 3,50.

Les bars ont reçu beaucoup de visiteurs surtout pendant la pose où ils ont été pris d'assaut.

Les ballochards qui avaient l'habitude de se présenter aux guichets vers la moitié de la course pour obtenir un rabais ont dû payer place entière. Encore une habitude qui se perd!

In LE FURET NIMOIS, Nimes - 6 a 13 de Maio de 1893

27 DE MARÇO DE 1910 - LISBOA: UMA CORRIDA DEVERAS EXCEPCIONAL NA PRAÇA DO CAMPO PEQUENO


Biblioteca nacional de España

POR TELEGRAFO

Lisboa 28 (8 n.).

Con gran lleno y entusiasmo se celebró la corrida inaugural.

Los toros de Infante, bravos.

Los rejoneadores, Sres. (José) Bento (de Araújo) y Casimiro, han sido ovacionados.

Antonio Pazos, único espada, ha tenido una gran tarde. 

Toreó tres toros admirablemente, y con la muleta entusiasmó al público. 

Banderilleó dos toros á puerta de gayola, con tres pares al quiebro.

Las ovaciones fueron continuadas.

Pazos ha sido contratado nuevamente.

De los banderilleros se distinguió Calderón. - X.


In EL TOREO, Madrid - 4 de Abril de 1910

12 DE MARÇO DE 1897 - RIO DE JANEIRO: CAVALEIROS PORTUGUESES COMPRAM PRAÇA DE TOUROS NO BRASIL


Biblioteca nacional de España

NOTICIAS

La plaza de toros de Río de Janeiro ha sido adquirida en 21.000 duros (moneda brasileña) por los célebres rejoneadores (José) Bento de Aranjo y Tinoco da Silva.

Dichos señores han comprado también treinta toros y han contratado para diez funciones á Sebastián Silván (Chispa) para torearlas en la plaza referida.


In EL ENANO, Madrid - 12 de Março de 1897

14 DE ABRIL DE 1912 - LISBOA: A SEGUNDA CORRIDA DA TEMPORADA FOI UM DESAIRE


Biblioteca nacional de España

LISBOA 15 DE ABRIL DE 1912

Corrida concurso celebrada el día 14 de Abril.

Con una buena tarde y cerca de tres cuartos de casa se ha celebrado la segunda corrida de la temporada, en la cual se conferia un premio de 10 libras en oro al banderillero que mejor quedase en la suerte de banderillas.

El ganado, que como en la corrida anterior era propiedad del ganadero Sr. Infante da Cámara, estaba muy bien presentado y cumplió en su mayoría, sobresaliendo los jugados en 5.º, 9.º y 10 lugar.

Los rejoneadores eran José Bento de Araujo y José Casimiro. El primero, aunque valiente, no ha tenido suerte; siendo el caballo cogido tres veces; ha colgado todavía algunos rejoncillos regulares. José Casimiro ha quedado muy bien, principalmente en su primero, oyendo muchos aplausos.

Los banderilleros, en los toros del concurso, que eran los lidiados en 2.º, 3.º, 4.º y 7.º lugar, han hecho lo siguiente:

Teodoro Gonçalves y Jorge Cadete, en el 2.º: dos pares regulares y uno bueno cada uno (al cuarteo).

Torres Branco y Daniel do Nascimento, en el 3.º: un par bueno y dos regulares al cuarteo, el primero; un par al quiebro, bueno (tras una salida en falso), y dos al cuarteo, el segundo.

Manuel dos Santos y Custodio Domingos, en el 4.º: dos medios pares pescueceros y uno muy bueno al cuarteo, el primero; dos superiores pares al cuarteo, después de citar al quiebro, no llegando á clavar, pero entrando y saliendo de la suerte con mucha guapeza, el segundo.

Tomás da Rocha y Guilherme Tadeu, en el 7.º : un par al quiebro, caído, y dos al cuarteo regulares, el primero; tres pares al cuarteo regulares, el segundo.

En la segunda parte de la corrida, y ya fuera del concurso, los banderilleros Cadete, Rocha, Tadeu y Nascimento pincharon algunos pares que se aplaudieron. En la brega, Teodoro y Daniel do Nascimento.

Ahora vamos con el premio: el jurado lo ha copncedido al banderillero Manuel dos Santos, alegando que este artista, en el último par que colgó, ha observado todas las reglas del toreo; no lo contesto, pero me parece que un par sólo no es lo bastante para conceder el premio, tanto más que los dos primeros medios pares, colgados por dicho artista, han sido de lo peor. En mi opinión, el premio no se debería tener adjudicado, pues que ninguno lo merecia de veras; pero de concederse á alguien, deberia haber sido á Custodio Domingos, que ha sido el que mejor quedó.

Y nada más teniendo que decir, me despido por hoy de ustedes.

Lepoldo Freitas Cardeira.


In ARTE TAURINO, Madrid - 30 de Abril de 1912

21 DE JULHO DE 1892 - PARIS: MAIS UMA CORRIDA NA CAPITAL COM TOUREIROS FRANCESES E PORTUGUESES


Bibliothèque nationale de France

TABLETTES THÉATRALES

AUJOURD'HUI:

À la Gran Plaza de Toros, à trois heures, course de taureaux. Au programme: Mlle Maria Gentis, caballera en plaza; José Bento de Araujo, caballero en plaza; le Mateito et sa cuadrilla; Marius Monnier et son quadrille provençal; les picadores.


In LE MATIN, Paris - 21 de Julho de 1892

16 DE MAIO DE 1906 - LISBOA: O CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO REGRESSA DO BRASIL


Biblioteca nacional de España


Desde Lisboa

12 de Abril de 1906.

- De regreso del Río de Ganciro son esperados por estos dias los caballeros José Bento de Araujo, Simoes Serra, Morgado de Covas y Victor Marques, y los banderilleros Joao de Eliveira, Alexandre Vieira, Eduardo Cercó (Punteret) y Antonio Burgos (Malagueño).

MANUEL J. GÓMEZ.


In EL TOREO, Madrid - 19 de Abril de 1906

25 DE AGOSTO DE 1901 - MATOSINHOS: UMA BOA TOURADA NA PRAÇA NORTENHA


Biblioteca nacional de España

LA FIESTA NACIONAL

En Portugal.

Mathosinhos 25 (7,10 t.)

La corrida de hoy resultó buena.

Los caballeros en plaza (José) Bento (de Araújo) y Marcelino fueron ovacionados.

El espada Carrillo superior toreando de capa y en banderillas. - C.

In EL HERALDO DE MADRID, Madrid - 26 de Agosto de 1901

1 DE AGOSTO DE 1915 - PORTO: O CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO NA INAUGURAÇÃO NA NOVA PRAÇA DE TOUROS


Biblioteca nacional de España

Desde Oporto

Corrida celebrada el 1.º de Agosto de 1915.

Mucha animación había en Oporto para presenciar esta fiesta taurina, inauguración de la nueva plaza.

Empezaremos por decir que el lleno fué imponente, pues la empresa organizó un cartelito de veras atractivo, entrando en la combinación el vetereno de los caballeros, el valiente José Bento (de Araújo), que no trabaja hace muchas temporadas. Los toros del Sr. Pinto Barreiros, no nos han convencido. Exceptuando el cuarto y el noveno, ningún otro nos asombró, ni por su tipo ni por su bravura, pues mansurronearon de lo lindo, ofreciendo grandes dificuldades en la lidia.

Había grandes deseos de aplaudir á José Bento (de Araújo), que aún conserva un poco de su toreo alegre.

En su primero estuvo bien, clavando tres rejones como los suyos de mejores tiempos. Agradó tanto, que la empresa lo contrató nuevamente para el próximo domingo.

Manuel Casimiro tuvo un toro bravo, que salió en cuarto lugar, pero no lo supo lidiar.

Como tenía ganas al caballo y recargara sobre la izquierda, Manuel se llenó de pánico, y por eso difícilmente se acercó al toro.

Cuando hay toros no hay toreros, cuando hay toreros no hay toros.

Manuel Torres (Bombita) no nos ha producido ninguna desilusión, pues nosotros le conocíamos demasiado.

No analizaremos su trabajo con mimuciosidad, bastándodonos para poner de relieve su mal éxito, recordar las malas faenas de capote y muleta, en que estuvo francamente mal, malísimo.

Banderilleando, Cadete, Froes y Luciano Moreira, que han colocado un gran par cada uno. Bregando, Bizoqui y Thomé.

JOSÉ VICENTE.


In EL TOREO, Madrid - 26 de Agosto de 1915

11 DE OUTUBRO DE 1891 - PARIS: MAIS UMA CORRIDA COM TOUREIROS ESPANHÓIS E PORTUGUESES NAS ARENAS DO BOIS DE BOULOGNE


Bibliothèque nationale de France

THÉATRES ET CONCERTS


Dimanche prochain, à deux heures et demie, 21ème grande course de taureaux aux arènes de la rue Pergolèse.

Au programme: Angel Pastor, Valentin Martin et leurs cuadrillas; José Bento de Araujo, caballero en plaza, et les picadores.


In LE JOURNAL DES DÉBATS POLITIQUES ET LITTÉRAIRES, Paris - 8 de Outubro de 1891

11 DE DEZEMBRO DE 1903 - LISBOA: O CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO NA CORRIDA DE HOMENAGEM A ALFONSO XIII ("EL AFRICANO"), REI DE ESPANHA


Biblioteca nacional de España

Extranjero

INFORMACION TELEGRÁFICA

(DE LA AGENCIA FABRA)

Más sobre el viaje.

Comunican de la frontera portuguesa á la Agencia Fabra que el banquete de gala en honor de D. Alfonso se verificará el día 10, la corrida y baile el 11, las iluminaciones el 12 y las representación teatral el 13.

La escuadra inglesa, cuya venida se anuncia, estará formada por tres cruceros.

El adorno de los paseos y la construcción de tribunas y pabellones están aún bastante atrasados.

Câmara Municipal de Lisboa

En el Entroncamento esperarán á D. Alfonso el presidente del Ministerio, ministro de Negocios Extranjeros y personal de la Legación española.


En la corrida de toros tomarán parte los caballeros en plaza José Bento (de Araújo) y Fernando de Oliveira. Los toros, escogidos ya, son de hermosa estampa y exceden de cinco años.

Câmara Municipal de Lisboa

In EL CORREO ESPAÑOL, Madrid - 4 de Dezembro de 1903

25 DE OUTUBRO DE 1891 - PARIS: TOUREIROS ESPANHÓIS E PORTUGUESES NUMA DAS ÚLTIMAS CORRIDAS DA TEMPORADA


Bibliothèque nationale de France

TABLETTES THÉATRALES

Dimanche prochain, à deux heures et demie, 23ème course de taureaux aux arènes de la rue Pergolèse.

Au programme:

Valentin Martin, José Ruiz (Joseito) et leurs cuadrillas; José Bento de Araujo, caballero en plaza et les picadores. Ainsi que nous l'avons dit, cette course est l'une des dernières de la saison. Les retardataires feron bien de se hâter.

In LE MATIN, Paris - 23 de Outubro de 1891

18 DE AGOSTO DE 1892: INAUGURAÇÃO DA PRAÇA DO CAMPO PEQUENO - 23 DE MAIO DE 1895: INAUGURAÇÃO DA PRAÇA DE ALGÉS


Biblioteca nacional de España

DOS CARTELES

Aunque son algo modernas las fechas de inauguración de los circos taurinos de Campo Pequeño y de Algés, pocos aficionados se acordarán de los carteles que anunciaron las corridas de toros con que abrieron sus puertas dichos circos.

Y la razón es sencilla. Los carteles, aun los más artísticos, gozan una vida efímera. Aguardados con interés y curiosamente leídos en vísperas del espectáculo, concluído éste pierden la oportunidad, han terminado su corta existencia; así resulta que pasan al olvido, reemplazados por los que vienen á informar al público de la próxima fiesta que ha de celebrarse.

Los antiguos carteles de toros, en Portugal, poca novedad presentaban; pero la apertura del nuevo circo de Lisboa vino á desarrollar esta clase de anuncios, dándoles una nota más artística, no sólo en la ejecución del dibujo, sino en la mejor armonía de colores.


El pueblo de Lisboa, aficionado como el que más, y que durante cinco años estuvo sin plaza de toros - porque la antigua de Campo de Santa Ana fué demolida en 1888 - aguardó con el mayor interés y entusiasmo la inauguración del nuevo circo.

El día 18 de Agosto de 1892 - un jueves - celebróse, en fin, el estreno de plaza, y el público pudo entonces gozar su diversión favorita. El deseo de asistir á la fiesta fué extraordinario. El papel anduvo por las nubes y pagáronse localidades á precios inverosímiles, pues los revendedores explotaron bien el negocio.

¡Aquello fué el disloque y una... desilusión! Porque la corrida resultó mala, pero mala de verdad.

Para el estreno había contratado la empresa lo mejorcito de nuestra torería; pero el ganado, de Emilio Infante da Cámara, resultó muy ordinario.

Rejonearon Alfredo Tinoco y Fernando de Oliveira, y fueron banderilleros Vicente Roberto, Roberto da Fonseca, José J. Peixinho, Sancho, Calabaça, Raphael Peixinho, J. Roberto, Vicente Méndez, Pescadero, y Felipe Aragó, Minuto.

Para conocer las buenas intenciones de los cornúpetos, basta decir que fueron cogidos los siguientes banderilleros: Vicente Roberto, Roberto da Fonseca, José peixinho, Minuto y Pescadero!!! Los dos últimos, de tal manera que ingresaron en la enfermería y no pudieron seguir trabajando.

El domingo siguiente, 21 de Agosto, celebróse la segunda corrida, que fué algo mejor.

Trabajó Valentín Martíns, que, como se comprende, tuvo la particularidad de ser el primer espada que  toreó en el redondel de Campo Pequeño.

De los toreros que inauguraron dicha plaza, Tinoco, Vicente Roberto, José peixinho y Minuto han muerto. Roberto da Fonseca, Sancho, J. Roberto y Pescadero están retirados del arte.

Praça de Touros de Algés

La inauguración de la plaza de Algés también se efectuó en jueves, 23 de Mayo de 1895.

El ganado, que resultó regular, procedía de las vacadas del inteligente aficionado y ganadero Victorino Froes.

Formaban la cuadrilla los aplaudidos rejoneadores Alfredo Tinoco, (José) Bento de Araujo, Fernando de Oliveira y Manuel Casimiro, acompañados de nuestros banderilleros J. Roberto, Theodoro Gonçalves, Jorge Cadete y Francisco Saldanha, y de los españoles Felipe Aragó, Minuto, Vicente Méndez, Pescadero, Rodas y Moyano.

En la segunda corrida, celebrada el 25 de Mayo, fué contratado el espada Antonio Fuentes.

Mi amigo Fernando Viegas, buen aficionado y distinguido amateur fotográfico, tuvo la idea de sacar sendos clichés de dichos carteles. por eso sirven estos ligeros apuntes para acompañar los respectivos fotograbados, quedando así archivada en las páginas de SOL Y SOMBRA, para conocimiento de los aficionados venideros, la forma gráfica en que fueron anunciadas las corridas de inauguración de las dos plazas que actualmente posee la capital portuguesa.

SEGISMUNDO COSTA.

Lisboa.


In SOL Y SOMBRA, Madrid - 6 de Março de 1902

3 DE NOVEMBRO DE 1891 - PARIS: MAIS UMA CORRIDA COM ARTISTAS ESPANHÓIS E PORTUGUESES NAS ARENAS (COM AQUECIMENTO) DO BOIS DE BOULOGNE


Bibliothèque nationale de France

Propos de Coulisses

Aurjourd'hui, à deux heures et demie, grande course de taureaux aux arènes de la rue Pergolèse.

Au programme:

Valentin Martin, José Ruiz (Joseito) et leurs cuadrillas; José Bento de Araujo, caballero en plaza et les picadores.

La salle será chauffée.

In GIL BLAS, Paris - 3 de Novembro de 1891

5 DE JULHO DE 1903 - LISBOA: CORRIDA DE BENEFÍCIO DO CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO COM GRANDES ARTISTAS NACIONAIS E ESTRANGEIROS


Biblioteca nacional de España

ESTAFETA TAURINA

Mãnana torearán en Lisboa ganado de la tierra de los espadas Algabeño y Morenito de Algeciras, á beneficio de D. José Bento d'Araujo, tomando parte en la corrida, acompañándole también los caballeros Fernando de Oliveira, Joaquín Alvés y Eduardo de Macedo.

EL BARQUERO.


In EL HERALDO DE MADRID, Madrid - 4 de Julho de 1903

7 DE NOVEMBRO DE 1897 - RIO DE JANEIRO: OS CAVALEIROS ALFREDO TINOCO E JOSÉ BENTO DE ARAÚJO NUMA TOURADA CARIOCA


Biblioteca nacional de España

RIO JANEIRO


Corrida celebrada el 7 Noviembre.

Emplazado que he sido
por Sabañones
á dejarme de juergas
y diversiones;
á no comer sardínas
de las de Nantes,
y asistir á los toros,
pero cuanto antes;
temiendo á Sabañones,
- ¡naturalmente! -
pues es cosa que pica
muy lindamente,
acudo presuroso,
su cita al darme
para no tener luego
de qué rascarme.
¡Y, déjese de molestias
el Sabañones!
pues ya sabe que tiene
para juzgar el arte
sus condiciones.

¡Y no es porque lo diga yo, que lo dice... to el mundo!


La corría del domingo, en beneficio de Avelino Faría, estaba anunciada á la moda portuguesa antigua, que tiene un paresido con las corrías reales de nuestra tierra, sustituyendo los enforcaos á nuestros alabarderos y con el llamado nieto en la arena, que es el clásico alguacil de las corrías españolas.

Por lo demás, sala la cuadriya y con ella la Asémola (no es sopa), Las Farpas, una mula cargada con dos baules, que lleva á sus dos taos los enforcaos y que me hace el efecto de una partida de quinquilleros ambulantes. Descargaos los artículos, y después de tomar posición los de la pega con el forcado en ristre, el alguasil Sr. Teixeira Cardoso da orden de salía al primer toro.

La fiera no da juego, y á duras penas coloca Tinoco un hierro; Chispa al cabar una larga salta la barrera desastradamente; y en la caída se produce una luxación en un pié y hay que llevárselo en brazos á la enfermería. La lidia se resiente de la falta del diestro, y no hay Dios que saque al torito de la barrera.

El Gordito coloca medio par, tropieza, cae y el toro lo acaricia; va á capear, y recibe nuevo achuchón. A todo esto vueltas y más vueltas de Tinoco, y el toro que nones. Se lo yevan.

Y sale otro que paese el mismo. Tinoco cuelga tres rejones á toro parao y bien parao; el público grita ¡fuera!; los enforcaos rechazan un asalto á punta de horquilla y los mansos se yevan aquel compañero, digno también de un senserro.

En el tercero, á vueltas de algunos pares puestos en el aire, coloca Cruz dos en el toro, bien puestos; Calabaza dos medios y Pontes dos pares bastante aceptables. Las honras del toro caben al caballero Teixeira, que coloca dos hierros superiores dignos de un maestro, cuanto más de un aficionado como él.

El cuarto sale con voluntad y muchos piés. Los enforcaos tienen que aguantar varios ataques, en los que el animal destrosa dos horquiyas y carga con otra enredada en los pitones. Teixeira coloca un buen rejón y Faría cuatro buenos, sobre todo el último con una entrada valiente. Cruz se porta hasiendo unos recortes de capa bien hechos.

Sale el quinto, y el Chispa cojeando, pone un par bueno, Calabaza otros dos de la misma calidá y el Morenito tres como él sabe, es decir, con todas las reglas del arte. El testarudo del Chispa, en su afán de trabajar, capea al bicho, y á pesar de la cojera, le hace al pelo, acabando con una navarrita de primera. Sin, embargo como era de esperar, al saltar la barrera, el pie lastimado le falla, y para evitar una cogida el maestro, tiene que arrojarse como puede, y se convence de que no puede trabajar. Nada de tonterías y á curarse pronto, porque está probado que en la plasa hase falta la capa del Chispa. En este toro Cabeza hase una pega de espaldas que vale una ovación fenomenal.

El sexto lo adorna el Gordito con cinco pares buenos, sobre todo el tercero, citando en corto y entrando y saliendo muy bien, y después de unos pases de muleta bastante buenos y ceñíos, señala una estocada á paso de banderillas, no maleja del todo. Pega buena de Antonio Fernández.


¿Y que diré del último? El toro no quiere acometer, y (José) Bento (de Araújo) le adorna como puede con tres rejones y uno corto bien puesto.

El trabajo está cumplido,
el lector libre de carga,
Sabañones complacido,
y con revista tan larga
el público ya aburrido.

ALIFONSO MONTERIYA.

In EL TOREO, Madrid - 20 de Dezembro de 1897