19 DE SETEMBRO DE 1892 – PARIS: O FIM DA TEMPORADA APROXIMA-SE…

 


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THÉATRES

À 3 heures 25e grande course de taureaux aux arènes de la rue Pergolèse.

Au programme :

Courses espagnoles : Remijio Frutos (Ojitos) et sa cuadrilla, José Martinez (Pito). Raphael Llorens, Barsulio, Angel Adrada, banderillos, Baulero, Manuel Sanchez et Niquet, picadores ; José Bento d’Araujo, caballero en plaza.

Courses provençales : Marius Monnier de Marseille et son quadrille.


In LE PETIT CAPORAL, Paris – 19 de Setembro de 1892

28 DE AGOSTO DE 1892 – PARIS: ENCHENTE NA MOVIMENTADA 19.ª CORRIDA DA TEMPORADA

 

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THÉATRES ET CONCERTS

Toujours beaucoup de monde aux arènes de la rue Pergolèse. Les amateurs étaient fort nombreux à la 19e course, qui a été des plus mouvementées. Francisco Ojeda et sa cuadrilla se sont montrés intrépides et ont fort bien réussi. José Bento d’Araujo est toujours un caballero en plaza accompli. Les courses landaises avaient, pour la première fois de l’année, remplacé au programme les courses provençales. Marin, le fameux toréador français, et sa cuadrilla, s’y sont révélés de première force, et ont obtenu un légitime succès.

VICTOR ROGER.


In LA FRANCE, Paris – 1 de Setembro de 1892

15 DE AGOSTO DE 1892 – PARIS: CORRIDA COM DOIS CAVALEIROS E TOUREIROS DE ESPANHA E FRANÇA

 


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PETIT COURRIER

         Arènes du Bois de Boulogne

Demain, lundi, à 3 heures, à l’occasion des fêtes de l’Assomption, grande course de taureaux aux arènes de la rue Pergolèse.

Au programme :

Mlle Maria Gentis, caballera en Plaza, José Bento d’Araujo, caballero en Plaza, José Alvarez et sa quadrilla : Lambros et son quadrille «Fin de Siècle».

In LA SOUVERAINETÉ NATIONALE, Paris – 15 de Agosto de 1892

16, 23, 30 DE OUTUBRO E 1 E 6 DE NOVEMBRO DE 1892 – PARIS: AS ÚLTIMAS CINCO CORRIDAS DA TEMPORADA PARISIENSE

 


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SPECTACLES ET CONCERTS

            La direction des Arènes de la rue Pergolése rappelle au public qu’il ne sera plus donné cette saison que cinq grandes courses aux dates suivantes : les 16, 23, 30 octobre ; 1er et 6 novembre.

            Il n’y aura plus de course le jeudi jusqu’à la fin de la saison.

            Pour les courses du 16 et du 23 octobre, la direction a engagé les quadrilles d’Angel Pastor et de Frascuelo ; les pégadores africains, sans oublier José Bento d’Araujo, caballero en plaza, et la charmante caballera Maria Gentis.


            Pour les courses suivantes, nous aurons également des toréadors de marque. Le programme détaillé sera donné ultérieurement.

            La salle sera chauffée.

            Un nouveau convoi de taureaux doit arriver demain à deux heures et un deuxième le samedi suivant.

            C. de N.

In L’OBSERVATEUR, Paris – 15 de Outubro de 1892

1 DE AGOSTO DE 1893 – NIMES: O CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO DÁ DOIS PARES DE ESTALOS A UM JORNALISTA…

 


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CHRONIQUE

Procès-verbal a été dressé contre Joseph Bento d’Araujo, cavalier en place, pour coups et blessures sur la personne de M. Cabanis Jules, rédacteur en chef du journal tauromachique La mise à mort.

In LE PETIT MIDI – Nimes – 1 de Agosto de 1893

12 DE OUTUBRO DE 1892 – PARIS: MUDANÇA DE PROGRAMA ATÉ AO FIM DA TEMPORADA

 



ÉCHOS

 L’administration des Arènes de la rue Pergolèse a l’honneur de prévenir le public que, jusqu’à la fin de la saison, il n’y aura plus de courses le jeudi. Elle compte en donner encore le dimanche jusqu’au 6 novembre inclus, elle fera venir les premières Espadas d’Espagne. Trente taureaux arriveront en deux fois d’ici quelques jours.

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            Dimanche prochain, à deux heures et demie, grande course de taureaux.

Au programme :

            Courses espagnoles avec Frascuelo et sa quadrilla ; José Bento de Araujo, caballero en Plaza ; Mlle. Maria Gentis, caballera en Plaza. Continuation des débuts des pégadores africains qui ont obtenu jeudi dernier un immense succès. Ces toreros d’un genre spécial varient chaque fois leurs exercices et évitent le taureau… en se couchant dessous.


In FIN DE SIÈCLE, Paris – 12 de Outubro de 1892

29 DE JULHO DE 1892 – PARIS: CORRIDA COM TOUREIROS ESPANHÓIS, FRANCESES E PORTUGUESES

 


THÉATRES

 Aujourd’hui jeudi, à 3 heures, 10e grande course de taureaux aux arènes de la rue Pergolèse.

            Au programme : Mlle Maria Gentis, caballera en plaza ; José Bento d’Araujo, caballero en plaza ; courses espagnoles avec Francisco Granja et Juan Rippoll, matadors ; Raphaël Perez, Ramon Bosch, Salvador Fontanet, José Fuello, Angel Adrada, banderilleros ; Tres Cales, Baolero, picadores.

            Courses provençales pour les adieux de Marius Monnier et son quadrille.

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In L’ÉCLAIR, Paris – 29 de Julho de 1892

24 DE JULHO DE 1892 – PARIS: CORRIDA COM UMA “AGRADÁVEL SURPRESA”…

 

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COURRIER THÉATRAL

ARÈNES DU BOIS DE BOULOGNE

Demain dimanche, à 3 h. ½ , 9e grande course de taureaux aux arènes de la rue Pergolèse.

            Au programme :

            Mlle Maria Gentis, caballera en plaza, José Bento d’Araujo, caballero en plaza, Le Mateїto et sa cuadrilla, Marius Monnier et son quadrille provençal ; les picadores. Il paraît que la Direction nous réserve en outre une agréable surprise.

ASCANIO.


In LE PAYS, Paris – 24 de Julho de 1892


21 DE AGOSTO DE 1892 - PARIS: 17.ª TOURADA DA TEMPORADA NA CAPITAL


 

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THÉATRES

Aujourd’hui dimanche, à trois heures, 17e grande course de taureaux aux arènes de la rue Pergolèse.

Au programme :

Mlle Maria Gentis, caballera en Plaza, José Bento d’Araujo, caballero en Plaza; courses espagnoles avec Ojeda de Séville et sa cuadrilla ; courses provençales avec le quadrille de Lombros.

PHILINTE.


In LA PETITE RÉPUBLIQUE, Paris – 22 de Agosto de 1892

29 DE AGOSTO DE 1892 – PARIS: CORRIDA COM TOUREIROS FRANCESES E ESPANHÓIS E O CAVALEIRO PORTUGUÊS JOSÉ BENTO DE ARAÚJO


 


THÉATRES

Aujourd’hui dimanche, à 3 h., 19e grande course de taureaux aux arènes de la rue Pergolèse.

Au programme :

            José Bento d’Araujo, caballero en Plaza, courses espagnoles avec Ojeda, sa cuadrilla, les picadores.

            Pour la première fois de l’année, courses landaises avec quadrille de Marin, toréador français.

            P. DORIA

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In LE LIBÉRAL, Paris – 29 de Agosto de 1892

16 E 23 DE OUTUBRO DE 1892 – PARIS: AS ÚLTIMAS TOURADAS DA TEMPORADA NA PRAÇA DO BOIS DE BOULOGNE

 


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THÉATRES

L’annonce des dernières courses de taureaux de la saison avait amené, dimanche dernier, un public nombreux et choisi aux Arènes de la rue Pergolèse.

            La course a été très brillante et très mouvementée, et a obtenu un légitime succès. Aussi les amateurs ont-ils été mis en goût et la feuille de location est-elle déjà bien garnie pour dimanche.

            Rappelons qu’il n’y aura plus que quatre courses. 

            Celle de dimanche prochain sera pour les adieux de P. Frascuelo. Nous aurons avec lui Angel Pastor et sa cuadrilla, José Bento d’Araujo, Mlle Maria Gentis, et enfin les pégadores nègres, dont le succès a été unanimement constaté.

            Un convoi de taureaux de la ganaderia de Vicente Martinez doit arriver samedi, à deux heures.

Jennius.

In LA LIBERTÉ, Paris – 21 de Outubro de 1892

1 DE JANEIRO DE 1891 - PARIS: O CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO ASSUME A FORMAÇÃO DE MARIA GENTIS

 


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LA CABALLERA EN PLAZA

Nous annoncions dans notre numéro d’octobre 1890, que des pourparlers entre la Direction des Arènes de la rue Pergolèse et une de nos plus gracieuses écuyères d'école, avaient eu lieu et qu’un engagement était près d’être signé.

            Nous étions seul dans la presse en ce moment qui connaissions le but dans lequel ces démarches étaient faites.

            À cette époque, Mlle Gentis qui travaillait sous la direction de notre distingué maître M. Raux, eut l’idée folle en elle-même, d’essayer le travail du cavalier en place.

            En voyant Tinoco, à cette époque rue Pergolèse, cavalcader si gracieusement dans l’immense piste, elle se persuada qu’elle devait arriver avec la science du cheval, et grâce à l’intrepidité qui lui est propre, à exécuter le travail de ce brillant cavalier.

            À cette époque beaucoup de nos lecteurs et amis, adeptes fervents de la belle équitation nous taxèrent d’exagération et plusieurs d’entre eux semblèrent douter de cette chose sans précédent.


            Pourquoi ne précisez-vous pas ? nous disait.on ; nommez l’écuyère et dites-nous en quoi consiste l’engagement dont vous parlez.

            Aujourd’hui, nos lecteurs comprendront, nous en sommes sûr, notre réserve.

            Connaissant la lourde tâche que l’intrépide jeune famme s’était imposée, il nous fallait attendre encore pour parler.

            Et puis, comme il ne rentre pas dans notre programme de faire servir notre plume à une pure réclame, nous eussions craint en faisant connaître plus amplement ce hardi projet de sembler vouloir préparer un succès qui était alors plus que problématique.

Mlle Gentis, par son nouveau travail, mérite qu’aujourd’hui nous nous fassions l’écho de la faveur que le public et la presse entière lui ont accordée.


            Certes le cavalier en place, José Bento de Araujo qui a gracieusement mis à sa disposition toute son expérience, a droit à des éloges pour sa manière d’agir dans cette circonstance ou beaucoup d’autres auraient éprouvé un sentiment jaloux.

            Aussi, en nous rendant compte des difficultés vaincues, nous l’associons dans une large part au triomphe de son élève dans cet art nouveau.

            D’un autre côté, il ne faut pas perdre de vue qu’il eût été impossible d’obtenir un pareil résultat, si Mlle Gentis n’eût été déjà une ecuyère de premier ordre.

            La carrière d’écuyère d’école est semée d’obstacles et c’est bien le cas de citer l’Audaces fortuna juvat.

            Soyez donc audacieuses, vous qui voulez le triomphe et affirmez une fois de plus que dans cet art brillant, le travail et la persévérance seuls mènent au vrai succès.

E. P.

In LA REVUE HIPPIQUE, Paris – 1 de Janeiro de 1891

28 DE MAIO DE 1893 – NÎMES: UMA CORRIDA COM ARTISTAS IBÉRICOS E MUITA CALORAÇA

 


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Les Courses Espagnoles

DE NIMES

            (Par dépêche). — Dès l’arrivée des premiers trains du matin une foule considérable d’étrangers envahissait l'avenue de la gare, nos boulevards et nos rues. Les hôtels, les restaurants, les cafés grands et petits ont été littéralement assiégés. Les restaurateurs ont dû faire de superbes bénéfices, car outre qu’ils avaient augmenté le prix des repas, ils avaient eu en même temps la précaution de diminuer les portions.

            Dès deux heures les portes des arènes, nombreuses cependant, étaient à tel point encombrées,qu’il a fallu faire des poses de près d’une heure, avant de pouvoir pénétrer à l’intérieur.

            On peut dire que depuis bien longtemps les interminables gradins de l’enceinte n’avaient été envahis par tant de milliers de spectateurs (plus de 20,000 au moins) et cela malgré un soleil brûlant.

            L’entrée des toréadors, avec tout le cérémonial espagnol, a été superbe et a produit parmi les assistants une très vive émotion.

            La première course bien menée par le quadrille Henrique Santos, a été assez brillante. Le caballero en plaza José Bento d’Araujo, a obtenu un vif succès.


            À la deuxième course, la foule commence à s’échauffer peu à peu et ne tarde pas à crier : À mort ! À mort !

            Quelques incidents se produisent à ce moment sur les gradins ; plusieurs spectateurs sont frappés d’insolation. Un monsieur notamment a dû être emporté à son domicile.

            Les courses suivantes, à cause sans doute du peu d’entrain que montrent les taureaux, laissent en somme le public assez froid, malgré l’excessive chaleur.

            2e partie : La deuxième partie, après un court entr’acte, commence à 5 h. et demie.

            Cette fois le taureau désemboulé, une superbe bête, envoie de violents coups de cornes aux chevaux des picadors, aux applaudissements de la foule. Le préfet du Gard lui-même et sa dame quelque peu entrainés, applaudissent à leur tour.

In LA RÉPUBLIQUE DU MIDI, Montpellier – 29 de Maio de 1893

28 DE MAIO DE 1893 – NÎMES: UMA CORRIDA COM ARTISTAS IBÉRICOS

 



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ARÈNES DE NIMES

UNE SOLENNITÉ TAUROMACHIQUE

GRANDE COURSE ESPAGNOLE

 

La grande course de taureaux, qui doit avoir lieu à Nimes le 28 mai, s’annonce comme une solennité tauromachique sans précédent. Les demandes de places, provenant de toutes les localités de la région, depuis Toulouse jusqu’à Nice, et de Lyon jusqu’à Perpignan, affluent tous les jours dans les bureaux de la direction.

Le programme présente un attrait jusqu’à aujourd’hui inconnu dans les annales de la tauromachie en France.

Deux grands matadores espagnols combattront six taureaux d’une ganaderia célèbre dans la Péninsule. Les deux derniers seront combattus à l’espagnole, ce qui sera évidemment le clou du spectacle.

Voici d’ailleurs le programme détaillé de cette course :

Dimanche 28 mai 1893, à 3 heures ¾

Gran corrida espanola de 6 toros de 5 ans, provenant de la ganaderia d’Alcas, combattus par les matadores de cartel : Juan Jimenez (a) El Ecijano et Jose Rodriguez (a) Pepete, et le caballero en plaza Jose Bento d’Araujo.

Composition des cuadrillas. — Matadores : Juan Jimenez «El Ecijano» ; Jose Rodriguez «Pepete».

Banderilleros. — Jose Martinez Pito ; Juan Rodriguez Mogino Chica ; Eduardo Albazan Morenito ; Domingo del Campo Dominguin ; José Perez Califo ; Salvador Aparicio El Albanel ; Domingo Almanso El Islino ; Ramon Bosch Ramonet.

Picadores. — Gervasio Ruiz tres Cales ; José Pino ; Felipe Molina Tellillas ; Eduardo Blanc Rinones. 

Alguazils, monosabios, areneros, vaqueros, trains de mulets, cabestros.

Brillant orchestre. Des musiciens spéciaux exécuteront les sonneries espagnoles.


Ordre de la course :

1er toro. — (Papelero), caballero El Ecijano et cuadrilla.

2e toro. — (Carbonero), picadores Pepete et cuadrilla.

3e toro. — (Negociante), picadores El Ecijano et cuadrilla.

4e toro. — (Guindo), caballero Pepete et cuadrilla.

5e toro. — (Criminal), picadores El Ecijano et cuadrilla.

6e toro. — (Pollero), Picadores Pepete et cuadrilla.

Les taureaux seront emboulés pour le travail du caballero et des picadores et désemboulés séance tenante pour le travail des cuadrillas.

Les deux derniers taureaux seront combattus à l’espagnole.

Après le 3e taureau 20 minutes d’entr’acte.

Prix des places : Premières numérotées, 15 francs ; Secondes numérotées, 10 francs ; Toril, 5 francs ; Amphithéatre, 3 francs.

On peut encore retenir des places en écrivant à la direction, hôtel du Luxembourg, à Nimes. Envoyer 50 centimes pour recevoir les cartes par lettre recommandée.

En présence de l’affluence considérable des étrangers, la Compagnie P.-L.-M. organisera des trains spéciaux et supplémentaires sur les principales lignes.

In LA RÉPUBLIQUE DU MIDI, Montpellier – 25 de Maio de 1893

11 DE SETEMBRO DE 1892 – PARIS: UMA CORRIDA “MUITO BOA”

 

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LES SPECTACLES 

Très bonne course, dimanche, aux arènes de la rue Pergolèse.

             Ce qui fait le charme des courses de taureaux c’est que, suivant les dispositions de ces animaux, les tauréadors peuvent toujours effectuer des passes nouvelles et différentes.

             Remigio Frutos et sa quadrille ; les picadores Baulero, Sanchez et Niquet, ainsi que le brillant caballero en plaza José Bento d’Araujo ont obtenu un vif succès qu’ils ont d’ailleurs pleinement justifié et partagé avec le quatrille provençal de Marius Monnier.

             Demain jeudi 24e course.


 In PARIS-JOURNAL, Paris – 15 de Setembro de 1892

12, 15, 16, 19, 26 DE AGOSTO DE 1883 - SAN SEBASTIÁN : «INAUGURACIÓN DE LA TEMPORADA TAURINA DE 1883 CON CORRIDAS HISPANO-PORTUGUESAS (Y EL REJONEADOR PORTUGUÉS JOSÉ BENTO DE ARAÚJO)»




PLAZA DE TOROS

DE

SAN SEBASTIAN

CINCO GRANDES CORRIDAS DE TOROS.

Se verificarán en los días 12, 15, 16, 19 y 26 de Agosto de 1883, lidiándose toros de las más acreditadas ganaderías, por las mejores cuadrillas de España.

Tres de las corridas con los toros más caros de Castilla, Navarra y Andalucía, y las cuadrillas de LAGARTIJO y FRASCUELO. Una corrida con Caballeros en plaza y las cuadrillas de LAGARTIJO y FRASCUELO. Una corrida Hispano-Portuguesa de ocho toros; cuatro á la portuguesa y otros cuatro á la española, con cuatro matadores y cuadrilla de banderilleros y picadores, pegadores portugueses, rejoneadores, indios negros y Caballeros en plaza, lanceando los toros á la antigua usanza. El órden de las corridas será el siguiente:

DIA 12. —PRIMERA CORRIDA.

INAUGURACION DE LA TEMPORADA TAURINA DE 1883.

Se lidiarán seis toros de la acreditada ganadería del Excmo. Sr. Duque de Veragua, vecino de Madrid, con divisa encarnada y blanca, por las inmejorables cuadrillas de

Lagartijo y Frascuelo.

DIA 15. —SEGUNDA CORRIDA.

Se lidiarán seis toros de cinco años e seis yerbas, hermanos de los que tan extraordinario juego dieron en todas las plazas donde se corrieron el año pasado, pertenecientes á la ganadería del Excmo. Señor D. Nazario Carriquiri de Tudela, com divisa verde y encarnada, por las mismas cuadrillas de Lagartijo y Frascuelo.

DIA 16. —TERCERA CORRIDA.

Se lidiarán seis toros de la acreditada ganadería de la Sra. Viuda de D. Juan Manuel Martin, vecina de San Agustin, (Colmenar), com divisa naranja, carmin y caña. Los dos primeros serán rejoneados por los Caballeros en plaza D. José Rodriguez (a) Tabardillo, aplaudidísimo picador, caballista andaluz, vecino de Madrid y el intrépido como celebrado caballero portugués D. José Biento d’Araujo, vecino de Lisboa, siendo los padrinos de campo Lagartijo y Frascuelo. Matará dichos toros el sobresaliente de espada Valentin Martin. Los otros cuatro toros llevarán la lidia ordinaria por todas las cuadrillas dirigidas por Lagartijo y Frascuelo.


DIA 19. —CUARTA CORRIDA.

Corrida Hispano-Portuguesa de ocho toros; cuatro embolados para pegarlos á la portuguesa y los otros cuatro de puntas, para la lidia á la española, siendo los primeros, de la acreditada ganadería de D. Atanasio Rodriguez de Guadalix, con divisa encarnada y rosa y los últimos de una de las más antiguas ganaderías de Castilla, perteneciente hoy á D. Juan Antonio Mazpule, con divisa blanca.

Las cuadrillas se compondrán de Francisco Sanchez Frascuelo (mayor) y Juan Ruiz Lagartija, Caballeros en plaza, indios negros rejoneadores y pegadores Portugueses. El órden de esta corrida será el siguiente:

1.º      Dos toros embolados que rejonearán los negros á puerta de gayola, de rodillas y en otras posturas, pegados despues de frente y de espaldas, sujetados por los hombres forcados Portugueses y muertos por último á estoque por un matador sobresaliente de espada.

2.º      Otros dos toros embolados que serán rejoneados á la portuguesa por los Caballeros (José) Biento d’Araujo y José Rodriguez (a) Tabardillo, con trajes á la antigua de Caballero Portugués y con caballos de gran lujo, amaestrados para quebrar á los toros y pegados en diferentes posturas por los pegadores, y muertos á estoque por outro sobresaliente de espada.

3.º      Dos toros de puntas de Mazpule, quebrados á rejon grande por los mismos Caballeros que se presentarán á la antigua española y apadrinados por los diestros Frascuelo (mayor) y Lagartija.

4.º     Otros dos toros de puntas de la misma ganadería de Mazpule que se lidiarán á la española, picados, banderilleados y muertos á estoque por las cuadrillas de

Frascuelo (mayor) y Lagartija.

DIA 26. —QUINTA Y ÚLTIMA CORRIDA.

Se lidiarán seis toros de la renombrada ganadería del Excmo. Sr. D. Antonio Miura, vecino de Sevilla, con divisa verde y negra, por las incomparables cuadrillas de

Lagartijo y Frascuelo.

La presentacion de los Caballeros en plaza, se hará con gran ostentacion en carruajes tirados por cuatro caballos lujosamente enjaezados, cubiertos con mantas de gran riqueza y penachos. Los trajes de los alguaciles, Caballeros en plaza, pages, palafraneros, etc., han sido construidos por el acreditado sastre del Teatro Real de Madrid, D. Lorenzo París.

Los demas detalles de cuadrillas, precios y condiciones de abono, se anunciarán oportunamente en otros carteles, programas y periódicos. Para pedidos de programas, abono y billetes, dirigirse al escritorio de J. ARANA, San Sebastian.


NOTA: Os cartazes podem ser consultados em BILBOKO LIBURUTEGI DIGITALA (https://www.bilbao.eus/bld/)