23 DE OUTUBRO DE 1892 - PARIS : A PRIMEIRA DAS QUATRO DERRADEIRAS CORRIDAS DA TEMPORADA

 

Bibliothèque nationale de France

THÉATRES

            L'annonce des dernières courses de taureaux de la saison avait amené, dimanche dernier, un public nombreux et choisi aux Arènes de la rue Pergolèse.

            La course a été très brillante et très mouvementée, et a obtenu un légitime succès. Aussi les amateurs ont-ils été mis en goût et la feuille de location est-elle déjà bien garnie pour dimanche.

Rappelons qu'il n'y aura plus que quatre courses.

Celle de dimanche prochain sera pour les adieux de P. Frascuelo. Nous aurons avec lui Angel Pastor et sa cuadrilla, José Bento d'Araujo, Mlle Maria Gentis, et enfin les pégadores nègres, dont le succès a été unanimement constaté.

            Un convoi de taureaux de la ganaderia (NOTA: ganaderia) de Visente (NOTA: Vicente) Martinez (NOTA: Martínez) doit arriver samedi, à deux heures.

In LA LIBERTÉ, Paris - 21 de Outubro de 1892

28 DE AGOSTO DE 1892 - PARIS - ÚLTIMAS CORRIDAS DA TEMPORADA NA PRAÇA DO BOIS DE BOULOGNE

 
Bibliothèque nationale de Paris

THÉATRES

            L'annonce des dernières courses de taureaux de la saison avait amené dimanche dernier un public nombreux et choisi aux Arènes de la rue Pergolèse.

            La course a été très brillante et très mouvementée, et a obtenu un légitime succès. Aussi les amateurs ont-il été mis en gout, et la feuille de location est-elle déjà bien garnie pour dimanche. Tappelons qu'il n'y aura plus que 4 courses.

            Celle de dimanche prochain sera pour les adieux de P. Frascuelo. Nous aurons avec lui Angel Pastor et sa cuadrilla; José Bento d'Araujo, Mlle Maria Gentis; et enfin les picadores nègres dont le succès a été unanimement constaté.

            Un convoi de taureaux de la grenaderia (NOTA: ganadería) de Visente (NOTA: Vicente) Martinez doit arriver samedi à 2 heures.

In L'ORDRE DE PARIS, Paris - 25 de Agosto de 1892

30 DE JUNHO DE 1892 - PARIS: ENCHENTE NA SEGUNDA CORRIDA DA TEMPORADA


 

Bibliothèque nationale de France

THÉATRES ET CONCERTS

            Beaucoup de monde, hier, aux Arènes de la rue Pergolèse. La deuxième course de taureaux a été très brillante et a valu de nombreux applaudissements à Mlle Maria Gentis, José Bento de Araujo, Angel Pastor, le Pouly et les picadores, qui se sont montrés à la hauteur de leur réputation.

In LE CLAIRON, Paris - 2 de Julho de 1892

4 DE JUNHO DE 1891 - PARIS: ESTREIA DO CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO NA PRAÇA DE TOUROS DA CAPITAL DA FRANÇA

 
Bibliothèque nationale de France

SPECTACLES ET CONCERTS

            Jeudi prochain, 4 juin, troisième grande course aux Arènes de la rue Pergolèse.

            L'administration, désireuse de donner toujours au public de nouvelles attractions, a engagé un nouveau «Caballero en Plaza», M. José Bento de Aranjo, dont la renommée n'est plus à faire.

            Les matadores Valentin Martin, José Rinz et les picadores prendront part à cette course qui promet d'être des plus brillantes.

In L’OBSERVATEUR FRANÇAIS, Paris - 2 de Junho de 1891

27 DE SETEMBRO DE 1891 - PARIS: ARTISTAS DE ESPANHA E DE PORTUGAL NA PRAÇA DO BOIS DE BOULOGNE

 
Bibliothèque nationale de France

Courrier des Théatres

— Aujourd'hui, à 3 heures, 19ème grande course de taureaux aux Arènes de la rue Pergolèse.

Au programme: Angel Pastor, le Mateїto et leurs cuadrillas; José Bento de Araujo, caballero en plaza et les picadores.

In LA GAZETTE DE FRANCE, Paris - 28 de Setembro de 1891

12 DE MARÇO DE 1911 - BENGUELA: O REGRESSO DOS TOUREIROS IBÉRICOS É ADIADO...

 
Biblioteca nacional de España

España taurina

Noticias

            En la plaza de toros de Benguella (NOTA: Benguela), (Africa portuguesa) (NOTA: Angola) se ha celebrado una corrida de seis toros, resultando la fiesta bastante buena, pues el diestro José Quirós (Carpinterito) toreó con valentía, demostrando una vez más el conocimiento que en las lides taurinas tiene.

            En banderillas y en la suerte de matar estuvo muy bien, siendo ovacionado.

            Los banderilleros Leopoldo Alves y Víctor Mendes, como Francisco Bento D'Araujo (NOTA: Filho de José Bento de Araújo, outro cavaleiro), también cumplieron muy bien.

O cavaleiro Francisco Bento de Araújo
FOTO: © Rui Araújo

            Dentro de breves días tendremos á Carpinterito entre nosotros, dándole la bienvenida y felicitándole por la campaña buena que ha realizado por lejanas tierras. (

NOTA: A estadia dos toureiros ibéricos por terras de Angola foi prolongada. O regresso, inicialmente  previsto para 24 de Março de 1911, ocorreu muito depois.

In ESPAÑA NUEVA, Madrid - 6 de Maio de 1911

15 DE SETEMBRO DE 1892 - PARIS: MAIS UMA EXCELENTE CORRIDA PARA TODOS OS ARTISTAS...

 
Bibliothèque nationale de France

THÉATRES

            Excellente course jeudi aux arènes de la rue Pergolèse. Succès très vif et bien mérité pour Remigio Frutos et sa cuadrilla ainsi que pour les picadores et José Bento d'Araujo, le brillant caballero en plaza. Marius Monnier et son quadrille provençal ont également fait merveille.

Inn LE PETIT CAPORAL, Paris - 18 de Setembro de 1892

17 DE JULHO DE 1910 - CAUDETE: O CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO ACTUA NA CORRIDA DE INAUGURAÇÃO DA PRAÇA

 


Biblioteca nacional de España

ESTAFETA TAURINA

            La corrida del domingo próximo em Caudete constará de dos novillos de Flores, rejoneados por (José) Bento de Araujo y estoqueados (si hubiera  necesidad) por Almanseño.

            Además serán lidiados seis toros de Saltillo por Machaquito y quien sustituya á Manuel Megías.

In EL HERALDO DE MADRID, Madrid - 13 de Julho de 1910

21 DE JULHO DE 1892 - PARIS: OITAVA CORRIDA DA TEMPORADA NA PRAÇA DE TOUROS DO BOIS DE BOULOGNE


 

Bibliothèque nationale de France

THÉATRES

            Aujourd'hui à 3 heures 1/2 , 8ème grande course de taureaux aux arènes de la rue Pergolèse.

            Au programme: Mlle Gentis, caballera en plaza; José Bento d'Araujo, caballero en plaza; le Mateїto et sa cuadrilla; Marius Monnier et son quadrille provençal; les picadores.

In L'ÉCLAIR, Paris - 22 de Julho de 1892

17 DE SETEMBRO DE 1893 - MARSELHA: UMA CORRIDA (COM O CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO) PARA AJUDAR AS VÍTIMAS DE UM INCÊNCIO TRÁGICO...

 
Bibliothèque nationale de France

POUR NOS SINISTRÉS


L'émulation en Ville. — Les Fêtes de Charité Aux Arènes du Prado

Les concerts et Festivals. — Les Souscriptions

            Nous apprenons que M. José Bento d'Araujo, le caballero en plaza qui a obtenu un si vif succès dimanche dernier, aux arènes du Prado, organise pour le 17 septembre, une grande course de taureaux au bénéfice des victimes des incendies du quartier Saint-Lazare. Rien n'a été pour donner le plus vif attrait à cette fête tauromachique.

            D'un autre côté, nous apprenons que la Société des Concerts populaires, malgré sa clôture officielle de fin d'année, vient d'avoir l'excellente idée de reconstituer dans le but de donner, le mercredi 6 septembre prochain, un grand concert vocal et instrumental au bénéfice des sinistrés du quartier Saint-Lazare.

            Cette bonne pensée ne nous étonne pas de la part d'artistes qui se sont toujours fait un devoir d'apporter le concours gracieux de leur talent au soulagement des malheureux.

(...)

In LE PETIT PROVENÇAL, Marselha - 1 de Setembro de 1893

14 DE ABRIL DE 1898 - MADRID: REVISTA «SOL Y SOMBRA» COM RETRATO DO CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO


 
Biblioteca nacional de España

NOTICIAS

El número 52 del popular semanario taurino ilustrado Sol y Sombra,  que verá la luz el jueves 14 de Abril contiene el siguiente sumario:

Texto: Crónica taurina. Juicio crítico de las corridas inaugural y primera de abono celebradas en Madrid los días 10 y 11 del actual, por Sentimientos. —  ¡Guerra y Bomba!, por Luis Falcato. — La fiesta nacional, por Pedro Tejera. — A mi chatilla, por Antonio Alonso de G. — Cogida y muerte de Juan Ripoll y Orozeo, por Juan Franco del Río. — José Bento d'Araujo, por S. Costa. Estafeta taurina.

In EL NACIONAL, Madrid - 13 de Abril de 1898

NOTA:

Esta página do semanário madrileno «SOL Y SOMBRA» pode ser consultada aqui:

https://corridasportugalespanafrance.blogspot.com/2016/09/14-de-abril-de-1898-un-retrato-desde.html

23 DE OUTUBRO DE 1892 - PARIS: ÚLTIMAS CORRIDAS DA TEMPORADA COM "NUMEROSOS E BONS" AFICIONADOS

 
Bibliothèque nationale de France

THÉATRES

            L'annonce des dernières courses de taureaux de la saison avait amené dimanche dernier un public nombreux et choisi aux Arènes de la rue Pergolèse.

            La course a été très brillante et très mouvementée, et a obtenu un légitime succès. Aussi les amateurs ont-ils été mis en gout, et la feuille de location est-elle déjà bien garnie pour dimanche. Rappelons qu'il n'y aura plus que 4 courses.

            Celle de dimanche prochain sera pour les adieux de P. Frascuelo. Nous aurons avec lui Angel Pastor et sa cuadrilla; José Bento d'Araujo, Mlle Maria Gentis; et enfin les picadores nègres dont le succès a été unanimement constaté.

            Un convoi de taureaux de la grenadaria (NOTA: ganadería) de Vicente Martinez doit arriver samedi à 2 heures.

In L'ORDRE, Paris - 25 de Outubro de 1892

30 DE OUTUBRO DE 1892 - PARIS: TERCEIRA CORRIDA ANTES DO FIM DA TEMPORADA E PRIMEIRAS DESPEDIDAS...

 


Bibliothèque nationale de France

Mémento

— Demain dimanche, à deux heures et demie, 33ème grande course de taureaux aux arènes de la rue Pergolèse.

Au programme:

            Adieux d'Angel Pastor et sa cuadrilla, Frascuelo et sa cuadrilla; José Bento d'Araujo, caballero en Plazza;  (NOTA: PlazaMlle Maria Pontis (NOTA: Maria Gentis), caballera en Plazza; les picadores.

            Fantaisie tauromachique par les picadores africains.

            Mardi 1er novembre, à deux heures et demie, à l'occasion de la Toussaint, 34ème et avant-dernière grande course de taureaux.

In PARIS, Paris - 30 de Outubro de 1892

2006 - PORTUGAL: A LIDE E AS "SORTES" DO TOUREIO A CAVALO


 

Junta de Andalucia, Sevilla.

LA LIDIA Y LAS SUERTES DEL REJONEO


— Las suertes del rejoneo

— Los cánones del rejoneo

— La lidia


— Banderillas cortas

            Debido a la menor longitud que tiene el palo, resulta más difícil clavarlas, ya que obliga a acercarse mucho más al toro. Por ello, la suerte se suele ejecutar casi siempre a la media vuelta, ya que es el mejor procedimiento para llegar al enemigo con menor riesgo, aunque lo más ortodoxo y arriesgado es, lógicamente, ponerlas de frente y despacio. Esta suerte se prodiga mucho, sobre todo en los dúos, poniendo cada rejoneador sucesivamente y de forma sincronizada una banderilla. También, en algunas ocasiones, se colocan pares de banderillas cortas a dos manos, lo que entraña un gran riesgo y dificultad. El clavar banderillas cortas tiene la consideración de complemento, de adorno a la faena, por lo que se suelen colocar al final del terio de banderillas.


O cavaleiro José Bento de Araújo na imprensa lisboeta.
Biblioteca nacional de Portugal

            El cavaleiro portugués José Bento (de Araújo) fue el primero en poner banderillas cortas, a principios del siglo XX. A éste le siguieron Simao da Veiga y Álvaro Domecq Díez (NOTA: O nome correcto é Álvaro Domecq y Díez. Mais informação aqui: https://historia-hispanica.rah.es/biografias/14164-alvaro-domecq-y-diez) y, posteriormente, todos los demás.


HISTORIA DEL TOREO A CABALLO

— Las fiestas de toros en Portugal

            A veces, las Fiestas de Cañas y Toros, que también se celebraban en Portugal, resultaban cruentas, produciéndose heridos e incluso muertos. Por esta razón, muchas personas y especialmente el clero cuestionaben su celebración. Dentro de esta polémica, en varias ocasiones a lo largo de la segunda mitad del siglo XVI, los papas prohibieron las fiestas de toros en la forma en que se desarrollaban, bajo pena de excomunión de todos los participantes y asistentes. La primera prohición la dictó Pio V (1567). En 1575, el papa Gregorio XIII atenuó las disposiciones de la bula de Pio V, aunque, de nuevo, Sixto V (1583) condenó las fiestas de toros con el máximo rigor, condena que paliaría más tarde Clemente VIII (1596).

            En su bula de prohición, Pio V condicionaba la celebración de las fiestas de toros al enfundado o al corte de las astas de las reses para prevenir los accidentes. En España, Felipe II no acató dicha prohición.

(NOTA : Felipe II reinó desde 1556 a 1598. El rey Don Sebastián reinó en Portugal desde 1557 a 1580. A su muerte, el trono pasó a Felipe II y, posteriormente, a sus herederos hasta 1640 en que Portugal logró su independencia del reino de España.)

            Sin embargo, en Portugal, el rey Don Sebastián si atendió los requerimientos papales y obligó a enfundar los cuernos de los toros. Otros condicionantes, como el deseo de fiferenciarse de los españoles, otra sensibilidad y ciertas presiones hicieron que estos espectáculos evolucionaran, a lo largo de los siglos XVII y XVIII, de forma diferente. Y aunque también se celebraron corridas de toros a pie al modo español, actuando en ellas cuadrillas españolas encabezadas por los matadores de más prestigio como Pepe-Hillo, Pedro Romero o Curro Guillén, éstas no tuvieron gran aceptación.

            De esta manera, a lo largo del siglo XVIII, el toreo a caballo se consolida en Portugal, adquiriendo gran protagonismo las cortesías o saludos que se realizan al inicio del espectáculo.

            Quizás debido al menor riesgo que suponía para los toreros de a pie, la lidia de toros con los cuernos enfundados o embolados, las suertes que practicaban dejaron de interesar al público, excepto la de banderillas, que fue muy apreciada a lo largo del siglo XIX, y la suerte de mancornar, que modificada y hecha en grupo, dio lugar a la "pega" que pratican los forcados.

            En 1790, el marqués de Marialva (NOTA: A sua história pode ser consultada aqui: https://sites.uab.pt/cantanhede-historia-arte-e-patrimonio/resumo/o-marques-de-marialva-e-a-sua-escola-de-arte-equestre-de-lisboa-a-quioto/) publicó el tratado "Luz da liberal e noble arte de caballería", (NOTA: O título exacto é «Luz da liberal e nobre arte da cavallaria») en el que se recopilan las reglas de montar a caballo y los ejercicios que se pueden realizar.

Biblioteca nacional de Portugal

La popularidad de este libro y de su autor fue tal que, a partir de entonces, en Portugal al rejoneo se le llama arte de Marialva. (NOTA: O livro pode ser lido no sítio da Biblioteca Nacional de Portugal: https://purl.pt/29638/4/res-784-a_PDF/res-784-a_PDF_24-C-R0150/res-784-a_0000_1-698_t24-C-R0150.pdf) La vestimenta a la "federica" que usan los rejoneadores portugueses procede entonces, ya que, con anterioridad, vestían con el traje de golilla al igual que los caballeros españoles.

            Durante el siglo XIX, el toreo a caballo a la portuguesa sufre algunas modificaciones como la sustitución del rejón con cuchilla por el arpón, también llamado rejoncillo o farpa. El uso de farpas, mucho menos cruentas, desembocó en la desaparición de la muerte del toro en el ruedo. En este tiempo el rejoneador seguía llevando a un auxiliador al estribo para distraer al toro con la capa en el momento del embroque.

            La gran figura del rejoneo portugués en la primera mitad del siglo XIX, es el conde de Vimiosos, (NOTA: Vimioso) quien gracias a su maestría consolida y fija definitivamente las corridas a la portuguesa. Otros rejoneadores destacados de esta época son Francisco de Paula de Portugal y Castro y el marqués de Castello Mehlor. (NOTA: Melhor)

            En el último tercio del siglo XIX y principios del siglo XX surgió en Portugal un gran plantel de rejoneadores, entre los que destacan José Mª casimiro Monteiro, José Bento de Araujo, Alfredo Tinoco da Silva, Adelino de Senna Raposo, Luis do Rego da Forneca, (NOTA: Fonseca) Manuel Casimiro de Almeida y Fernando de Oliveira. Todos ellos actuaron no sólo en Portugal sino también en las principales plazas de Francia y España, obteniendo grandes éxitos.


O cavaleiro José Bento de Araujo
CARTAZ: © Museu Tauromáquico de Nimes, França.

            La actuación de los rejoneadores portugueses en España, lleva a algunos aficionados españoles a querer practicar esta forma de toreo, que desembocará en el nacimiento del "rejoneo a la española", que coincide en el tiempo con la aparición en los ruedos de Simao da Veiga y Joao Branco Nuncio, quizás los dos más grandes cavaleiros que ha habido en la historia del rejoneo portugués. La presencia en el ruedo de estos magníficos rejoneadores influirá decisivamente, no sólo en el devenir del rejoneo en su país sino también en el nuestro, iniciándose desde entonces una etapa de mutua influencia aunque liderada durante mucho tiempo por los rejoneadores portugueses.

            El liderazgo del rejoneo portugués, quizás haya sido debido a la gran aceptación que ha tenido esta forma de toreo en el país vecino, lo que ha supuesto una mayor demanda de espectáculos de este tipo y un mayor conocimiento y exigencia por parte de los espectadores y, por lo tanto, una mayor competencia y la búsqueda de una mayor perfección. También una mayor dedicación y mayor selección y doma de las cabalguras. Todo ello ha supuesto que los rejoneadores portugueses practiquen un rejoneo de un nivel muy superior al que tradicionalmente han realizado los españoles, lo que ha hecho que haya sido imprescindible la presencia de los cavaleiros en los cosos de nuestero país. Sin embargo, el auge que en los últimos años han tenido en España los festejos de rejones ha propiciado una mayor profesionalización, una mayor competencia y la posibilidad de una mayor dedicación, lo que ha dado lugar a que haya, en la actualidad, un plantel de rejoneadores de igual categoría, si no superior, a la de los portugueses, que se influyen mutuamente, por lo que podría decirse que, en la actualidad, al igual que ocurre con el toreo a pie, el rejoneo es único aunque haya varias formas de interpretarlo.

Junta de Andalucia, Sevilla.

In CUADERNOS DE AULA TAURINA: El Rejoneo - José María Martínez Parras - Dirección General de Espectáculos Públicos y Juego - Consejería de Gobernación - Junta de Andalucía, Sevilla, 2006.

ENLACE

https://ws199.juntadeandalucia.es/almacen/libros/Cuadernos_de_Aula_Taurina/El_Rejoneo/files/assets/common/downloads/Rejoneo.pdf

NOTA

        Este texto em castelhano suscitou-me algumas dúvidas...


        Pedi ao meu amigo Manuel Peralta Godinho e Cunha para me ajudar a separar o trigo do joio. É escritor, poeta e aficionado. E sabe de tauromaquia como poucos. O seu blogue Partebilhas ( https://godinhoecunha.blogs.sapo.pt/ ) é excelente!


        Eis a interessante resposta (que agradeço desde já!):


        "O artigo faz uma abordagem ao historial da lide a cavalo e às diferenças entre o 'rejoneo' e o toureio a cavalo, que não me parecem totalmente correctas.


        Se é verdade que essas lides têm um passado comum onde os nobres lidavam toiros a cavalo do mesmo modo em Portugal e em Espanha, passou a haver diferenças após a morte de Carlos II, quando terminou a dinastia da Casa de Áustria por este rei não ter descendentes directos e o trono de Espanha passou para um seu sobrinho-neto – o francês Duque de Anjou – que se fez coroar como Filipe V de Espanha.


        Ora, esse rei afrancesado não entendia nada do toureio, nem gostava e deu a entender aos nobres espanhóis para deixarem de o fazer. O povo não se conformou e, a partir daí, começou a desenvolver-se o toureio a pé.


        Em Portugal não houve essa interrupção e a lide a cavalo desenvolveu-se e aprimorou-se, nomeadamente com o toureio de frente e dando vantagem aos toiros. Porém, no reinado de Dona Maria II, cerca do ano 1830, foi proibido matar os toiros nas lides a cavalo e os toiros passaram a sair embolados, depois de ter havido algumas mortes nas arenas. A partir daí começam a aparecer com regularidade os moços de forcado para pegarem os toiros.

Em Espanha, o rejoneio era insipiente e em algumas corridas com 6 toiros para a lide a pé, saía um primeiro toiro para ser lidado por um rejoneador, a que os aficionados espanhoís chamavam 'el número del caballito'


        Em Portugal, o toureio a cavalo foi evoluindo mais e, principalmente, desde que o cavaleiro João Branco Núncio exigiu que os toiros tinham que sair “puros” – sem terem sido lidados – o que anteriormente não acontecia, porque a maioria dos toiros eram corridos várias vezes e em praças diferentes, ficando, portanto, cheios de “sentido”.


        Mas na realidade no começo dos anos 60 começaram a aparecer em Espanha alguns rejoneadores com mais importância, nomeadamente os irmãos Peralta e Álvaro Domecq que foram muito acompanhados pelo cavaleiro português José Samuel Lupi. Este cavaleiro, integrado neste quarteto, demonstrou em diversas corridas de 6 toiros para rejoneio a diferença do toureio à portuguesa, esperando pelo toiro, controlando a sua investida, recebendo-o na espádua do cavalo e cravando os ferros no seu sítio. Acontece que os três rejoneadores que com ele saíam foram também melhorando as suas actuações e houve, na verdade, um maior interesse nas corridas de rejoneio durante esse período e depois, bem mais tarde, com o aparecimento de Pablo Hermoso de Mendoza que introduziu um rejoneio mais de verdade.


        Mas em Espanha esse rejoneio começa, em cada lide, com a colocação de dois ou três rojões de castigo – uns facalhões – que deixam os toiros a sangrar uma enormidade e ficam quase parados quando passam para as bandarilhas.


        Em Portugal, esses rojões são proibidos e são utilizados os ferros compridos – colocados dois ou três – antes das bandarilhas, mas que incomodam muito menos os toiros.

        Em Portugal, há sempre a intenção de lidar – toureando – os toiros. Em Espanha com o rejoneio, faz-se muitos números de circo, com os toiros já “parados” com os rojões."

26 DE DEZEMBRO DE 1910 - LUANDA: CORRIDA COM TOUREIROS IBÉRICOS NA PRAÇA DE TOUROS DA CAPITAL DE ANGOLA

 
Biblioteca nacional de España

Toros en Africa y América

(POR EL CABLE)

LOANDA 26

            El valiente matador de novillos José Quirós (Carpinterito) ha empezado su campaña toreando una corrida de toros en Loanda (Africa portuguesa), simulando la muerte de matar con tanta precisión y valentía que fué durante toda la tarde ovacionado, por lo bien que quedó en la suprema suerte y los floreos que con el capote hizo, siendo sacado en hombros de la plaza.

            También fueron muy aplaudidos los banderilleros Vital Mendes y Leopoldo Alves, por la gran faena que ejecutaron ambos, como asimismo también el caballero en plaza Francisco Bento D'Araujo (NOTA: Filho do cavaleiro José Bento de Araújo).

            La Sociedad del Comercio, á quien Carpinterito brindó uno de los toros, celebró un banquete en honor de este simpático diestro y de todos seus compañeros, en el que reinó la más cordial armonía, concluyendo la fiesta con vivas á España y al arte del toreo. — C.

In ESPAÑA NUEVA, Madrid - 18 de Janeiro de 1911