JULHO DE 1893 - NIMES: O CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO DÁ UMA SOVA A UM JORNALISTA E AO GERENTE DO JORNAL DE NIMES "LA MISE À MORT"

 


Bibliothèque nationale de France

CHRONIQUE

Procès-verbal a été dressé contre Joseph (José) Bento d'Araujo, cavalier en place, pour coups et blessures sur la personne de M. Cabanis Jules, rédacteur en chef du journal tauromachique La mise à mort.

In LE PETIT MIDI, Nimes - 1 de Agosto de 1893

JULHO DE 1893 - NIMES: O CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO DÁ UMA SOVA A UM JORNALISTA E AO GERENTE DO JORNAL DE NIMES "LA MISE À MORT"

 


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ON DIT

ON DIT que (José) Bento d'Araujo a travaillé à cornes nues le gérant et un des rédacteurs du journal la Mise à Mort.

In LE FURET NIMOIS, Nimes - 29 de Julho a 5 de Agosto de 1893.

4 DE MARÇO DE 1906 - RIO DE JANEIRO: TOURADA COM UM ANIMAL ESPECIAL DE... CORRIDA


Touradas

É hoje que estreará na praça do Campo de Marte  o celebre e amestrado touro Capirote, um bicho que fez successo en Portugal.

Completará a tarde a guapa cuadrilla organizada pelo festejado cavalleiro José Bento de Araujo.

Á los toros!

In JORNAL DO BRASIL, Rio de Janeiro - 4 de Março de 1906

SETEMBRO DE 1893 - BÉZIERS: UMA TOURADA ATRIBULADA

 


BÉZIERS

Les grandes affiches apposées sur les murs de notre grande ville annonçaient une grande course de gala. Beaucoup de monde aux Arènes malgré une pluie fine qui n'a cessé de tomber. Grande affluence sur le passage du caballero (José Bento de Araújo) et toreros pendant le tour de ville. À trois heures la clef du toril est remise à un alguazil et la pose commence (applaudissements) au son de la Marseillaise.

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Trois heures 10 on sonne au toro: Guillaume sort, noir, joli camargue. Quelques passes de manteau, deux paires de banderilles de Templao.

Guadalajara prend la muleta, essaie maladroitement de faire une passe. Le toro le soulève et l'envoie contre las tablas; il a été dégagé par Método et Loquillo. Guadalajara se retire (sifflets) et ne reparait plus dans la piste..... que pour le paseo final. Le simulacre a été posé et enlevé par Método.

3º Toro, blanc, tête noire, espagnol, paraît emboité pour le travail du caballero. (José) Bento (de Araújo) lui pose une javeline; le bicho ne bouge pas, on le dirait empaillé; la cuadrilla cherche à l'attirer; le toro fait semblant de la poursuivre, le caballero en profite pour lui poser deux javelines (on entend à plusieurs reprises lou ferré.)

Il revient desembolé, quelques passes de Valverde et de Dedieu (qui remplace Caretera malade). Método pose le simulacre qu'il enlève immédiatement (Applaudissements).

3º Toro rouge fuyard ne cherche qu'à sauter las tablas; on cherche en vain de le caper. Loquillero est malheureux aux banderilles, n'en pose qu'une demi-paire. Colon se fait applaudir en posant une bonne paire. Templao pose assez bien un simulacre.

4º toro rouge et noir, fuit le manteau. Método, malgré sa bonne volonté, ne peut faire qu'une passe de cape. La pluie tombe fine mais très serrée. Après une paire de Colon, Método prend muleta, adresse le brindis à la présidence, à la ville de Béziers et aux demoiselles, s'avance vers le toro, le pique trois fois, la boue l'oblige à se déchausser, il glisse tout le temps et le bicho fuit la muleta, le pique encore une fois et réussit à lui enfoncer l'épée jusqu'à la garde; mais dans l'épaule. Cette estocade basse donne lieu à quelques sifflets. Le puntillero l'achève et les mulets enlèvent le toro de la piste.

5º toro rouge et noir espagnol, 2 paires de Templao et Morenito. Método prend la muleta. À la 3ème fois, qu'il essaie d'estoquer le toro il est renvoyé sur les tablas et sa tallaguilla déchirée laisse sortir un drapeau blanc (Rires). Il rentre dans la piste en boitant, lui fait une passe et lui enfonce l'épée jusqu'à la garde, mais au milieur de l'épaule (sifflets); l'épée ressortait sous la jambe gauche. Método prend une autre épée et tue le toro par une bonne estocade. Le puntillero lui donne son coup de grâce.

6º toro noir, jolie bête espagnole emboulée; se lance sur le caballero (José Bento de Araújo) qui lui pique une bonne javeline. Le toro poursuit toujours et s'en laisse planter encore quatre (Applaudissements). (José) Bento (de Araújo) se retire. La cyadrilla sous une pluie de sifflets travaille l'emboulé.

Método ne pouvant se tenir s'était retiré de la piste. Une bonne paire de Colon.

Templao prend la muleta essaie de faire une passe et roule sous les pieds du toro.

Il se relève pose et enlève le simulacre.

Course mauvaise. Le bétail était vieux et roublard. Les deux bichos estoqués n'étaient pas à leur première sortie. La pluie, c'est vrai, a contribué à rendre le travail difficile. Les toreros étaient déchaussés, la piste était pleine de boue. Un peu de sable n'aurait pas été de trop. (José) Bento (de Araújo) a été très applaudi au dernier toro (qui était assez bon et le meilleur de la journée).

Método, quoique blessé, a donné une bonne estocade au dernier. Je ne parlerai pas de Guadalajara qui s'est retiré après avoir reçu une égratignure du premier toro. Templao, Dedieu et Colon ont été passables.

La blessure que Método a reçue à la cuisse a 3 centimètres d'étendue sur 4 de profondeur.

Il en sera quite pour 6 jours de repos.

R.

In LE TORERO, Paris - 1 de Outubro de 1893

27 DE AGOSTO DE 1893 - MARSELHA: CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO NUMA CORRIDA ATRIBULADA COM TOUROS DE MORTE

 


TOROS DE MUERTE

À MARSEILLE

Corrida du 27 août — La direction Richaud qui nous avait déjà donné lors de la corrida de Fabrilo des preuves de son incapacité organisatrice, risquant par cela de compromettre une journée taurine qui ne doit son succès qu'aux estocades intelligentes du matador, vient de se payer, ou plutôt de faire payer au public, une fantaisie dont l'aficion, pourrait bien ressentir les conséquences.Quant à nous, obéissant à la règle que nous nous sommes imposée nous ferons toujours une guerre à outrance aux charlatans, qui déploient un luxe d'affiches extraordinaire et usent de tous les artifices de la réclame pour ne donner en définitive que des taureaux vétérans de l'arène au lieu de toros neufs.

Il serait temps que l'on soengeât un peu à mettre MM. les empresarios dans l'obligation de tenir leurs engagements et pour cela, le bétail soumis à un crontrôle sévère ne devrait paraître dans l'arène qu'après autorisation dûment accordée par l'autorité locale. Nous sommes surpris en l'occurrence de ce que M. le Maire voyant le prix exagéré des places, puisque MM. Richard et Cie avait cru nous prenant sans doute pour des Anglais pouvoir faire payer 3 fr. 30 à Marseille, la même corrida qu'on avait payée à Nîmes 1 fr. 50, n'ait pas pris les garanties nécessaires pour que le public ne soit pas leurré.

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Voici le compte rendu qui expliquera les scènes de violence dont les arènes furent le théatre à l'issue de la corrida.

Après un paseo réussi avec carosse de gala, muletiers etc, la course commence à l'heure indiquée.

Premier taureau PIPO, véritable boeu, sort au pas et s'arrête à environ 3 mètres du toril. Impossible de le déloger. (Nombreux cris et sifflets.) On lui pose 2 paires 1/2 de banderilles, et après un travail de muleta insignifiant, Manene lui pose au deuxième essai un mauvais simulacre.

Deuxième ESCAMILLO, noir piqué de blanc, de forte encolure. (José) Bento (de Araújo) lui pose 4 rejones 2 banderilles et une paire (grandes ovations).

On désemboule le taureau et les banderilleros, avec force précautions posent encore une paire et 2 demies. L'animal est de sentido et Gavira s'avance sans confiance. À la première passe, il est saisi, piétiné, mais il se relève sans mal, l'épaulette droite de son costume arrachée. Il prend un simulacre qu'il pose assez bien.

Troisième DOURO, chatain foncé, prend 6 varas des picadors; l'animal peu vigoureux se trouve bientôt aplomado. Il est désemboulé et reçoit une paire et deux demies. Manene prend çes trastros et s'avance. Après un travail de muleta précipité, il envoie trop vite un bon pinchazo suivi de 2 autres et une estocade à la media vuelta (puntillero au premier essai), (nombreux sifflets).

Quatrième GARABATO, taureau vicieux, reçoit 2 paires et une demi-paire de banderilles et un simulacre de Gavira.


Cinquième BOLERO, de même couleur que le troisième. (José) Bento (de Araújo) exécute un magnifique travail et pose 4 javelines, 1 banderille et une paire (grandes ovations, musique). La taureau désemboulé nous revient mou et fuyard; il reçoit 2 paires 1/2 de banderilles. Manene s'avance avec l'estoque et, après avoir passé le taureau sans confiance il lui porte un premier coup, puis une estocade contraire qui le fait agenouiller. Puntillero au deuxième essai.

Bittero, sort emboulé pour le travail des Picadors. On est obligé de le rentrer pour lui mettre un emboulage plus solide, car on voit paraître la corne.

Pendant l'opération Gavira discute avec M. Fayot et ne veut pas tuer Bittero prétextant qu'il n'est pas puro.

Cependant le taureau ressort et prend 3 varas pour une chute. Il ne veut plus de la pique et l'on fait rentrer les picadors (protestation).

Après un travail très long, les banderilleros parviennent à lui poser 2 paires 1/2. L'animal est sur la défensive et personne n'ose l'aborder. Gavira s'avance sans confiance et, après 3 passes de muleta de très loin, il porte un bon pinchazo, mais il est saisi, bousculé par le fauve. Gavira se relève et porte un bajonazo et un autre coup, (les cris et les sifflets se succèdent; on jette des pierres et des chaises dans l'arène). De plus en plus décontenancé, le matador envoie un coup en avant et essaye deux fois le descabello. Enfin l'animal finit par s'agenouiller et est achevé au 2ème essai par le puntillero. Les cris et les sifflets redoublent et des spectateurs en viennent aux mains. On jette toujours des chaises. Les bancs sont arrachés et l'on met le feu en plusieurs endroits. La police débordée essaye mais en vain d'éteindre l'incendie. On forme un bûcher dans la piste et on met le feu au pavillon de la musique.

Les toréadors se sauvent poursuivis par le public. On déchire leurs capes de paseo qui se trouvent aux premières et Gavira est même frappé près de réservées. Seul (José) Bento (de Araújo) se retire entouré et applaudi.


Nous comprenons l'exaspération du public, mais la foule arraché à son sang-froid, n'apprécie pas sainement les choses et elle fait retomber trops souvent sur des comparses des responsabilités qui incombent à d'autres personnages. ─ Certes, les toreros ne furent pas brillants, je le confesse, mais leur tord principal consista dans l'acceptation du combat avec des bêtes rompues aux rius de l'arène. Les coupables sont les directeurs seuls.

RÉSUMÉ

Les toros: de vrais boeufs de charrette, qui avaient déjà été combattus. Le 1er et le 5º seuls pouvaient être neufs.

Les espadas: Bien difficiles à juger avec un bétail semblable. Manene a été faible. Gavira a été mauvais, quoique vaillant; ce muchacho en présence de ces toros de sentido a fait preuve par moment d'un grand courage.

DON LUIS


In LE TORERO, Paris - 3 de Setembro de 1893

12 DE JULHO DE 1891 - PARIS: OITAVA TOURADA DA TEMPORADA NA GRAN PLAZA COM ARTISTAS FRANCESES, ESPANHÓIS E O CAVALEIRO JOSÉ BENTO DE ARAÚJO

 

Petites Nouvelles

Demain dimanche, à trois heures et demie, huitième grande course de taureaux aux arènes de la rue Pergolèse.

Au programme:

Mlle Maria Gentis et José Bento de Araujo; Valentin Martin, le Mateïto et leurs cuadrillas; les picadores; le quadrille landais de Candau.

A. B.

Bibliothèque nationale de France

In LE RADICAL, Paris - 12 de Julho de 1891

23 DE AGOSTO DE 1891 - PARIS: MAIS UMA CORRIDA NA PRAÇA DE TOUROS DA CAPITAL

 


FOYERS ET COULISSES

Aujourd'hui, dimanche 23 août à trois heures, quatorzième grande course de taureaux aux Arènes de la rue Pergolèse.

Bibliothèque nationale de France

Au programme: Bernardo Hierro, Ojéda, matadores, et leurs cuadrillas; le caballero en plaza José Bento de Araujo; les picadores.

In LE PETIT JOURNAL, Paris - 23 de Agosto de 1891

12 DE JUNHO DE 1898 - RIO DE JANEIRO: ESTREIA DOS CAVALEIROS ALFREDO TINOCO E JOSÉ BENTO DE ARAÚJO NA PRAÇA CARIOCA

 


Biblioteca nacional do Brasil

SPORT

PRAÇA DE TOUROS. — É bom não esquecer que amanhã estréa nas touradas o popular e sympathico cavalleiro José Bento (de Araújo).

In A GAZETA DE NOTICIAS, Rio de Janeiro - 11 de Junho de 1898

21 DE ABRIL DE 1907 - LISBOA: UMA BOA TOURADA

 

Bibliothèque nationale de France

LISBONNE

21 avril 07

Les caballeros (José) Bento d'Araujo et Morgado, très bons. Guerrerito en remplacement de Regaterin, bien avec la muleta et les banderilles. Revertillo très bien toréant, piqua une paire de banderilles supérieure, au cambio. Les toros de Infante, réguliers. 

LUIS SIDONIA.

In LA CORRIDA, Marselha - 28 de Abril de 1907

12 DE OUTUBRO DE 1891 - PARIS: TOUREIROS ESPANHÓIS E CAVALEIRO PORTUGUÊS NA GRAN PLAZA

 

Bibliothèque nationale de France

THÉATRES ET CONCERTS

Aujourd'hui à 2 h. et demie, 21ème grande course de taureaux aux arènes de la rue Pergolèse.

Au programme:

Angel Pastor, Valentin Martin et leurs caudrillas; José Bento de Araujo, Caballero en Plaza et les picadores.

EMILE DANIEL

In LA PETITE PRESSE, Paris - 12 de Outubro de 1891

16 DE AGOSTO DE 1891 - PARIS: ENCHENTE E NOVOS MATADORES ESPANHÓIS


Bibliothèque nationale de France

FOYERS ET COULISSES

Nombreuse assistance hier à la 13ème corrida, aux arènes du Bois-de-Boulogne. Fernando Hierro et Ojeda, les nouveaux matadores, ont fait des passes tout particulièrement intéressantes et ont été couverts d'applaudissements.

Très fêtés également (José) Bento de Araujo, le Pouly et son quadrille, les picadores et l'amateur français, qui pique à la mexicaine.

In LE PETIT JOURNAL, Paris - 17 de Agosto de 1891

15 DE AGOSTO DE 1891 - PARIS: CORRIDA BRILHANTE COM NOVOS MATADORES ORIUNDOS DE ESPANHA

 


FOYERS ET COULISSES

Très brillante reprise des courses, hier, à la Gran Plaza.

Bibliothèque nationale de France

Excellents débuts des matadores Bernardo, Hierro et Ojéda. Belles passes de Valentin Martin et de (José) Bento de Araujo. Enfin, gros succès pour le Pouly et son fils, les picadores et l'"amateur" français.

Aujourd'hui, à trois heures, même programme.

In LE PETIT JOURNAL, Paris - 16 de Agosto de 1891

22 DE JUNHO DE 1890 - PORTO: GRANDE CORRIDA COM VEDETAS FRANCESAS, ESPANHOLAS E PORTUGUESAS NO REAL COLYSEU PORTUENSE

 



In A REPUBLICA, Lisboa - 22 de Junho de 1890

21 DE AGOSTO DE 1892 - PARIS: CORRIDA COM ARTISTAS DE FRANÇA, ESPANHA E PORTUGAL

 


COURRIER DES THÉATRES

Aujourd'hui dimanche, à trois heures, 17ème grande course de taureaux aux arènes de la rue Pergolèse.

Bibliothèque nationale de France

Au programme:

Mlle Maria Gentis, caballera en plaza; José Bento de Araujo, caballero en plaza; courses espagnoles avec Ojeda, de Séville, et sa cuadrilla; courses provençales avec le quadrille de Lombros.

In LE PARISIEN, Paris - 21 de Agosto de 1892

8 DE MAIO DE 1898 - RIO DE JANEIRO: PRIMEIRA TOURADA NA NOVA PRAÇA DAS LARANJEIRAS COM ARTISTAS EUROPEUS

 

Biblioteca nacional do Brasil

SPORT

Da Europa chegou hontem o habil e conhecido toureiro José Bento (de Araújo) que trouxe consigo, além de diversos cavalheiros, bandarilheiros e moços de forcado, mais 18 touros de superior e fina raça.

In A GAZETA DE NOTICIAS, Rio de janeiro - 3 de Maio de 1898

23 DE AGOSTO DE 1891 - PARIS: MAIS UMA CORRIDA NA PRAÇA DE TOUROS DA CAPITAL

 


FOYERS ET COULISSES

Dimanche 23 août, à trois heures, quatorzième grande course de taureaux aux Arènes de la rue Pergolèse.

Au programme: Valentin Martin, Bernard Hierro, Ojeda, matadores et leurs cuadrillas; le caballero en plaza José Bento de Araujo, les picadores; le Pouly, de Beaucaire, et son quadrille.

Bibliothèque nationale de France

In LE PETIT JOURNAL, Paris - 21 de Agosto de 1891

8 DE MAIO DE 1898 - RIO DE JANEIRO: PRIMEIRA CORRIDA NA NOVA PRAÇA DAS LARANJEIRAS

 


SPORT

Está marcada para domingo proximo a primeira corrida de touros na nova praça das Laranjeiras. O gado que chegou com os toureiros é de excellente apparencia. Todo elle é das manadas do opulento criador Estevão. A empreza espera ainda mais touros, que já deixou escolhidos e afastados.

In A GAZETA DE NOTICIAS, Rio de janeiro - 5 de Maio de 1898

27 DE JANEIRO DE 1907 - RIO DE JANEIRO: TOUROS E CARNAVAL

 


Tauromachia

A tourada do proximo domingo, além de todos os actrativos que já tinha, conta agora com o valioso concurso do Club Tenentes do Diabo, a quem ella é dedicada, como acontece todos os annos por occasião da festa de José Bento de Araujo.

Os valentes foliões resolveram sahir em passeiata até a Praça de Touros, assistindo o espectaculo, partindo do Club ás 2 horas da tarde.

O espectaculo é, como se sabe, á antiga portugueza, com pagens, charamelleiros a cavallo, netto  azemola de farpas, casa da guarda, etc., etc. 

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NOTA

O Club Tenentes do Diabo era uma sociedade carnavalesca.

In JORNAL DO BRASIL, Rio de Janeiro - 25 de Janeiro de 1907